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2020-05-07T18:55:22-05:00
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Juan Felipe Miranda Medina
This work presents to dance/music scholarship the concept of competence, developed and deployed by Greimas, together with the semiotic concepts of counterpoint and harmony. I emphasize on competence as a time process that requires sanction by an external entity, and that corresponds to the level of surface narrative syntax within Greimas’s method of generative trajectory. To exemplify the application of the generative trajectory to dance, I take as a case study the contrapunto de zapateo from Peru. In this step dance, two or more dancers take rounds and perform for an audience that claps and cheers for them, on which their competence depends. To better account for the complex relations between all actors in the contrapunto, I resort to the concept of semiotic counterpoint, which is first explained by means of input–output boxes, inspired by black box modeling in engineering. Counterpoint is also represented using equations, especially to address memory/retention and prediction/protention, with a subsequent discussion of its relevance and articulation to Greimas’s semiotics. Finally, I complement counterpoint with Leibniz’s definition of harmony and Spinoza’s principle of maximization of action, in order to account for different kinds of fluent interactions between dancers, arguing for its application not only to the contrapunto de zapateo, but also to dances such as Capoeira, break dancing, and contact improvisation.Cette contribution présente, dans le cadre des études en musique et en danse, le concept de compétence, développé par Greimas, conjointement à ceux de contrepoint et d’harmonie. On souligne le rôle de la compétence en tant que processus temporel demandant une sanction par une entité externe, correspondant au niveau de la syntaxe narrative de surface dans le parcours génératif greimassien. Afin d’exemplifier l’application du parcours génératif à la danse, on s’attardera sur le contrapunto de zapateo du Pérou. Dans cette danse, deux ou plusieurs danseurs tournent et se produisent face à un public dont dépend l’appréciation de leur compétence. On formule le concept de contrepoint sémiotique afin de mieux rendre compte des relations complexes parmi les acteurs impliqués. Ce concept est compris d’abord comme un circuit d’inputs et d’outputs, à l’instar de la modélisation des boîtes noires en ingénierie. Le contrepoint est également représenté par des équations – en particulier par rapport aux processus de rétention/mémoire et de protention/prédiction –, ce qui conduit à un examen de sa pertinence et de son articulation dans la sémiotique greimassienne. Finalement, la notion de contrepoint sera complétée par la définition leibnizienne d’harmonie et par le principe spinozien de maximisation de l’action. Cela nous permettra de rendre compte des différents types d’interactions entre les danseurs, et de suggérer que le modèle peut s’adapter non seulement au contrapunto de zapateo, mais aussi à d’autres danses telles que la capoeira, la break dance, et la danse contact.
Signata, 11 | 2020
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