¿Hay hoy razones filosóficas fuertes y plausibles para ser ateo o, en todo caso, para rechazar la religión? «El Nuevo Ateísmo» ofrece argumentos propios de una razón científica neopositivista, para criticar las creencias religiosas. Sus autores lo hacen aduciendo logros actuales de las ciencias, sin tener nunca en cuenta sus límites intrínsecos y mostrando gran desconocimiento de la interpretación de las creencias religiosas por parte de las comunidades que las profesan. Se muestran especialmente críticos con lo que consideran el potencial (...) de violencia de dichas creencias. Su difusión no hay que buscarla en sus aportaciones teóricas, sino en haber generado un movimiento cultural en la web, con una influencia inimaginable por los ateos clásicos. Dialogar críticamente con el Nuevo Ateísmo requiere poner a punto los argumentos filosóficos en el contexto de la cultura científica actual. En particular, la cuestión del naturalismo, difundida como naturalización de la espiritualidad, «el problema realmente duro» de las neurociencias. (shrink)

En s’appuyant sur les résultats de la psychologie évolutionniste, nous examinons les différentes fonctions importantes que puisse remplir la conscience dans les robots autonomes : action contrôlée, prise de conscience, conscience de soi, métacognition, conscience du moi. Nous distinguons l’intentionnalité intrinsèque de la conscience, mais soutenons également l’importance de la compréhension de la cognition robotique. Enfin, nous étudions le « Hard Problem » concernant les robots, c’est-à-dire la question de savoir s’ils peuvent connaître une prise de conscience subjective, dans une (...) perspective de la théorie du protophénomène. (shrink)

Dix modèles de conscience sont discutés. Les modèles en question sont proposés par des individus ne semblant pas comprendre « le problème difficile de la conscience phénoménale », vraisemblablement parce qu’ils n’ont pas de qualia eux-mêmes. Alors que les demandes des Zombies sont rejetées, la qualité de leurs commentaires et de leurs contributions augmente. La conclusion est qu’aucune solution précoce ne devrait être proposée à ce stade. Plutôt, il est suggéré que le problème devrait d’abord être pleinement examiné par les (...) scientifiques et les étudiants de toutes les universités concernées par le traitement de l’information dans le cerveau humain. Enfin, reste la question pourquoi le cerveau, lorsqu’il est dans un état particulier, vit sa propre activité de façon qualitative. La réponse à cette question contribuera probablement au développement de l’actuelle ontologie de la physique. (shrink)

Seit der Veröffentlichung von Chalmers einflussreichem Werk The Conscious Mind war es üblich, die philosophischen Probleme des Bewusstseins in zwei Gruppen zu teilen. Während sich das sogenannte „schwere Problem des Bewusstseins“ auf die Natur des phänomenalen Bewusstseins und die Perspektive der ersten Person bezieht, befasst sich das „leichte Problem des Bewusstseins“ vor allem mit dem Begriff der Intentionalität. Doch es stellt sich die Frage, ob es tatsächlich möglich ist, Intentionalität eingehend zu erforschen, ohne dabei die erfahrungsbezogenen Dimensionen zu berücksichtigen? Und (...) vice versa, ist es möglich, die Natur der Subjektivität und der Erfahrung zu verstehen, wenn man die Intentionalität ignoriert, ohne sich dem Risiko auszusetzen, den cartesianischen Dualismus von „Subjekt“ und „Welt“ wieder ins Leben zu rufen, das alles ignoriert, was mit dem „In-der-Welt-sein“-Syntagma umschrieben ist? In meinem Artikel untersuche ich, ob das phänomenale Bewusstsein und die Intentionalität nicht zwei Seiten einer und derselben Medaille sind, die nicht zertrennt werden können, ohne dass bei der Teilung ein Fehler begangen wird. (shrink)