Most relational theories assert both that spatial discourse is reducible to talk about physical objects and their spatial relations, and that the relation of congruence derives from a non-metrical relation which intervals bear or possibly bear to measuring instruments. We have shown that there are serious logical difficulties involved in maintaining both these positions and the thesis of the continuity of space. We have also shown that Grünbaum's motivating argument for the reduction of congruence is unsound, and, moreover, that the (...) prospects of formulating the kind of definition which this reduction requires seem to rest upon a wholly vague notion of physical possibility. Alternatively, if congruence is taken as primitive, it seems plausible that spatial discourse can be reconstructed so that there is no ontological commitment to spatial objects other than physical objects. Whether or not this relational thesis is ultimately defensible requires more elaboration of the relational theory, and investigation of its role in the formalizations of current physical theories. It is odd, considering the wide currency of relational theories, that this work has never been done. (shrink)

Existen muchas definiciones posibles de “tecnología” y discutiré algunas de estas en este libro. Sin embargo, en esta introducción, usaré una definición intuitiva de tecnología: "aquellas actividades, dirigidas hacia la satisfacción de las necesidades humanas, "que producen cambios en el mundo material". En consecuencia, desde esta perspectiva, una tecnología "rota" podría definirse como aquellas actividades, dirigidas hacia la satisfacción de los deseos humanos destinados a producir cambios en el mundo material que no logran satisfacer estos deseos o no producen cambios (...) en el mundo material, o ambos. Cualquier definición de tecnología implica el uso de términos como "actividad" y expresiones como "dirigidas hacia" que son muy difíciles de definir sin entrar en consideraciones filosóficas profundas. Veremos que una discusión filosófica será cada vez más necesaria a medida que pasemos por los diferentes aspectos de las tecnologías rotas. (shrink)

The debate on the ontological status of spacetime in General Relativity has historically seen two principal philosophical contenders: substantivalism, roughly the view that holds that spacetime exists apart from the material contents of the universe, and relationism, the doctrine that spacetime does not exist, i.e., it is a mere abstract web of spatiotemporal relations among bodies. This dispute, however, has rarely been fought on a cosmological battlefield. In this paper an attempt in this direction is made. The question at issue (...) is the following: is there any feature of our universe that requires or is best explained in terms of a substantival space? I claim that there is indeed: the expansion of the universe, perhaps the most important phenomenon in cosmology, can play such a role. (shrink)

On propose quelques réflexions sur le concept de temps, tout d'abord rappelant la diversité des expériences et des consciences du temps, et montrant comment le temps des sciences et de la physique est relié à cette expérience et à cette conscience qui en est prise, notamment en ce qui concerne le rapport entre l'instant et la durée. On s'efforce ensuite de tirer deux leçons des développements sur le concept de temps tel qu'il se présente en physique. La première est que (...) le concept de temps est construitpar la pensée, et ne nous est pas directement donné, soit par la nature, soit par notre «sens interne». Cela apparait, notamment, avec l'introduction du temps comme paramètre de la dynamique par Galilée, puis avec la définition du temps «absolu et mathématique » par Newton en vue de constituer le «temps instantané» de la loi fondamentale de la mécanique, et enfin avec la critique des limites de cette conception qui aboutit à la formulation de la relativité du temps et de son lien de constitution à l'espace (construction de l'espace-temps). La seconde leçon est que le temps se définit et se détermine par les phénomènes(et les objets) de la nature (qui se ramènent aux propriétés de la matière), alors qu'on a longtemps cru l'inverse. Cela apparait notamment avec la soumission du temps, dans la reconstruction du concept effectuée par Einstein, d'abord à des principes physiques(avec la relativité restreinte), ensuite avec sa détermination, conjointement à l'espace (dans l'espace-temps), par les champs de gravitation, qui sont des propriétés de la matière. Ce caractère est également confirmé par la deuxième loi de la thermodynamique et par les développements récents de la cosmologie. (shrink)