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  1. Explicating Meyerson: The Critique of Positivism and Historical Épistémologie.M. Anthony Mills - 2015 - Hopos: The Journal of the International Society for the History of Philosophy of Science 5 (2):318-347.
    To many contemporary scholars, Émile Meyerson is a footnote in an obscure history: early twentieth-century French philosophy of science. While the traditions of épistémologie are beginning to enjoy the scrutiny they deserve, Meyerson’s role remains overlooked. This article provides an overview of Meyerson’s philosophical project to help sow the seeds for a more systematic recuperation of its legacy. By orienting his work historically, I elucidate the nature of Meyerson’s critique of positivism, his distinctive method, and the implications these have for (...)
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  • Meyerson: Science and the “irrational”.Mario Biagioli - 1988 - Studies in History and Philosophy of Science Part A 19 (1):5-42.
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  • Ettore Majorana et la Philosophie.Charles Alunni - 2013 - Revue de Synthèse 134 (1):53-73.
    Il s’agit d’affronter la « figure » d’Ettore Majorana et d’en proposer un premier « profil philosophique ». La question des « fictions » apparaît alors centrale chez Majorana. On établit ensuite la dimension surrationaliste et européenne de ses affinités électives avec Giovanni Gentile Junior. Les deux oeuvres sont restituées dans le cadre d’un mathématisme constructif et inductif (Gaston Bachelard, puis Robert Blanché) qui s’oppose au géométrisme classique (Emile Meyerson) et au pythagorisme spiritualiste (Arthur Eddington).
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  • Le Secret Majorana de la Science à la Légende, et Retour.Charles Alunni - 2013 - Revue de Synthèse 134 (1):1-8.
    Il s’agit d’affronter la « figure » d’Ettore Majorana et d’en proposer un premier « profil philosophique ». La question des « fictions » apparaît alors centrale chez Majorana. On établit ensuite la dimension surrationaliste et européenne de ses affinités électives avec Giovanni Gentile Junior. Les deux oeuvres sont restituées dans le cadre d’un mathématisme constructif et inductif (Gaston Bachelard, puis Robert Blanché) qui s’oppose au géométrisme classique (Emile Meyerson) et au pythagorisme spiritualiste (Arthur Eddington).
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