Abstract
L’article explore les liens entre
l’impermanence, la pensée bouddhique et
taoïste, et l’esthétique Wabi-Sabi, en soulignant
le concept unificateur du mouvement et son rôle
dans l’illustration de la fluidité et de la
transformation de la vie. L’analyse porte sur la
manière dont le mouvement fonctionne comme
un principe unificateur, mettant en évidence la
fluidité, la transformation et la croissance qui
caractérisent l’existence. Cette perspective
s’appuie sur les principes taoïstes et
bouddhistes, qui insistent sur l’acceptation de la
réalité dans sa forme la plus authentique et le
détachement des attaches matérielles—révélant
ainsi la beauté de l’imperfection et de la
simplicité. En adoptant ce point de vue, nous
sommes incités à nous engager pleinement dans
notre environnement, à valoriser le caractère
transitoire de chaque instant et à accueillir le
changement comme une s o u r c e d e
transformation.