This is the second edition of an important introduction to Leibniz's philosophy of logic and language first published in 1972. It takes issue with several traditional interpretations of Leibniz while revealing how Leibniz's thought is related to issues of great interest in current logical theory. For this new edition, the author has added new chapters on infinitesimals and conditionals as well as taking account of reviews of the first edition.

Legendary since his own time as a universal genius, Gottfried Wilhelm Leibniz (1646-1716) contributed significantly to almost every branch of learning. One of the creators of modern mathematics, and probably the most sophisticated logician between the Middle Ages and Frege, as well as a pioneer of ecumenical theology, he also wrote extensively on such diverse subjects as history, geology, and physics. But the part of his work that is most studied today is probably his writings in metaphysics, which have been (...) the focus of particularly lively philosophical discussion in the last twenty years or so. The writings contain one of the great classic systems of modern philosophy, but the system must be pieced together from a vast and miscellaneous array of manuscripts, letters, articles, and books, in a way that makes especially strenuous demands on scholarship. This book presents an in-depth interpretation of three important parts of Leibniz's metaphysics, thoroughly grounded in the texts as well as in philosophical analysis and critique. The three areas discussed are the metaphysical part of Leibniz's philosophy of logic, his essentially theological treatment of the central issues of ontology, and his theory of substance (the famous theory of monads). (shrink)

Cette édition numérique a été réalisée à partir d'un support physique, parfois ancien, conservé au sein du dépôt légal de la Bibliothèque nationale de France, conformément à la loi n° 2012-287 du 1er mars 2012 relative à l'exploitation des Livres indisponibles du XXe siècle. Douze études portant sur divers points cruciaux d'interprétation de la science et de la métaphysique cartésiennes et leibniziennes. « Copyright Electre » Pages de début Préface Sigles utilisés pour les références aux sources principales I - L'ingenium (...) selon Descartes et le chiffre universel des Règles pour la direction de l'esprit II - La géométrisation du regard. Réflexions sur la Dioptrique de Descartes III - La « Fable du Monde » et la signification métaphysique de la science cartésienne IV - L'origine de la négation V - Leibniz et l'universel VI - De l'individuation à l'individualité universelle VII - Mécanisme et métaphysique : le rétablissement des formes substantielles (1679) VIII - De la puissance à l'action : la singularité stylistique de la dynamique IX - La notion de système dans la physique de Leibniz X - « Pour la beauté et pour l'harmonie » : le meilleur de la dynamique XI - Les axiomes de l'identité et la démonstration des formules arithmétiques : "2 + 2 = 4" XII - Leibniz et l'exigence de démonstration des axiomes : "La partie est plus petite que le Tout" XIII - Ernst Cassirer et les commencements de la science classiqueIndications bibliographiques Index nominum Pages de fin. (shrink)

Cette édition numérique a été réalisée à partir d'un support physique, parfois ancien, conservé au sein du dépôt légal de la Bibliothèque nationale de France, conformément à la loi n° 2012-287 du 1er mars 2012 relative à l'exploitation des Livres indisponibles du XXe siècle. Douze études portant sur divers points cruciaux d'interprétation de la science et de la métaphysique cartésiennes et leibniziennes. « Copyright Electre » Pages de début Préface Sigles utilisés pour les références aux sources principales I - L'ingenium (...) selon Descartes et le chiffre universel des Règles pour la direction de l'esprit II - La géométrisation du regard. Réflexions sur la Dioptrique de Descartes III - La « Fable du Monde » et la signification métaphysique de la science cartésienne IV - L'origine de la négation V - Leibniz et l'universel VI - De l'individuation à l'individualité universelle VII - Mécanisme et métaphysique : le rétablissement des formes substantielles (1679) VIII - De la puissance à l'action : la singularité stylistique de la dynamique IX - La notion de système dans la physique de Leibniz X - « Pour la beauté et pour l'harmonie » : le meilleur de la dynamique XI - Les axiomes de l'identité et la démonstration des formules arithmétiques : "2 + 2 = 4" XII - Leibniz et l'exigence de démonstration des axiomes : "La partie est plus petite que le Tout" XIII - Ernst Cassirer et les commencements de la science classiqueIndications bibliographiques Index nominum Pages de fin. (shrink)

This paper argues that Locke has a representative theory of sensitive knowledge. Perceivers are immediately aware of nothing but sensory ideas in the mind; yet perceivers think of real external substances that correspond to and cause those ideas, and they are warranted in believing that those substances exist (at that time). The theory poses two questions: what warrants the truth of such beliefs? What is it in virtue of which sensory ideas represent external objects and how do they make perceivers (...) think of those objects? Both the epistemic and semantic issues need to be addressed. This paper urges that Locke's basic account of warrant is roughly reliabilist. The causal origin of sensory ideas assures that, in general, sense based beliefs are true. Locke defines the limit of this warrant by the theoretical point that we cannot discuss skeptical doubt without assuming the truthfulness of our perceptual faculty. Turning to the semantic question, the paper argues that ideas are mental modifications or entities. They are not intrinsically representative (satisfiable), but rather represent only by virtue of their causal origin. They merely “track” the presence of substances and their qualities. Ideas nevertheless prompt perceivers to think of their causes. This is roughly because sensory ideas have a specific mental role, namely, to serve as marks for distinguishing substances and their respective qualities for purposes of action. The paper suggests that, for Locke, the challenge posed by the semantic veil of ideas is to explain this externally directed marking function within bounds of his anti‐innatism. But it concludes that his answers to the twin questions fit together reasonably well. (shrink)

Par-delà le règne, puis l'éclipse, du paradigme newtonien, l'oeuvre philosophique et scientifique de ce penseur qui inventa le calcul infinitésimal, la dynamique et de nouveaux modèles pour la théorie de l'organisme, fournit un point d'ancrage privilégié à l'analyse épistémologique.