The paper ends with an argument that says: necessarily, if there are finitely spatially extended particulars, then there are monadic universals. Before that, in order to characterize the distinction between particulars and universals, Roman Ingarden’s notions of existential moments and modes (ways) of being are presented, and a new pair of such existential moments is introduced: multiplicity–monadicity. Also, it is argued that there are not only real universals, but instances of universals (tropes) and fictional universals too.

Afin de proposer une analyse métaphysique de la simplicité divine, je construis deux paradoxes à propos de la simplicité divine : si la simplicité divine est une propriété et si la simplicité ne possède pas de propriété, comme attribuer la simplicité divine? Je propose de faire une différence entre les types de propriétés et j'admets les propriétés positives au sens de Gödel dans sa preuve de l'existence de Dieu. J'essairai de considérer la simplicité divine comme une propriété positive, afin de (...) proposer une solution aux paradoxes de la simplicité. J'applique à la simplicité divine l'axiomatique gödelienne des propriétés positives. Je discute l'usage des vérifacteurs par Jeffrey Brower et l'analyse de la composition par Yann Schmitt. (shrink)