In this groundbreaking book, Daniel D. Novotny explores one of the most controversial topics of Suarez's philosophy: "beings of reason." Beings of reason are impossible intentional objects, such as blindness and square-circle.

This study aims to present a comparative analysis of philosophical theories of universals espoused by the foremost representatives of the three main schools of early modern scholastic thought. The book introduces the doctrines of Francisco Suárez, S.J. (1548-1617), the Thomist John of St. Thomas, O.P. (1589-1644), and the Scotists Bartolomeo Mastri da Meldola, O.F.M. Conv. (1602-1673) and Bonaventura Belluto, O.F.M. Conv. (1600-1676). The author examines in detail their mutual doctrinal delineation as well as the conceptualist tenet of the Jesuit Pedro (...) Hurtado de Mendoza (1578-1641), whose thought constitutes an important systematic point of comparison especially with Suárez's doctrine. The book offers the first comparative elaboration of the issue of universals, in both its metaphysical and its epistemological aspects, in the era of second scholasticism. (shrink)

Originally published under title: Dictionary of eighteenth-century German philosophers: London: Continuum, 2010.

This volume continues this discussion with particular reference to medieval philosophy.Inglis shows that the modern historiography of medieval philosophy had ...

La première partie de Particle rend compte des conditions philosophiques et du contexte historique dans lequel s'est développée la conception du probable chez Wolff. La seconde met trois aspects de cette conception en relief: 1) la distinction entre la probalité d'un évènement et la probalité d'une proposition, 2) l'interprétation du principe d'égale possibilité en tant que principe de cause non-suffisante, 3) les quelques restrictions conservés par Wolff à l'égard de la validité et des domaines d'application du principe d'égale possibilité. La (...) troisième partie traite de ce que l'on nomme les „experientiae indubitatae". Elles se fondent sur une notion de la certitude qui peut être interprétée comme cas limite de la probabilité. Les certitudes de cette sorte sont acceptées par Wolff comme les premisses d'une preuve. De cette façon Wolff utilise sa conception de la probabilité pour unir les exigences de la raison et celles de l'expérience et débouche sur une conception de la science qui dépasse celle en cours jusque-là. A partir d'elle, il essaye de réaliser le programme rationaliste de l'édification des sciences empiriques. (shrink)