Are works of art imitations? If so, what exactly do they imitate? Should an artist remind his audience that what it is perceiving is in fact artifice, or should he try above all to persuade it to accept the illusion as reality? Questions such as these, which have dominated aesthetic theory since the Greeks, were debated with extraordinary vigour and ingenuity in eighteenth-century France. In this book Dr Hobson analyses these debates, focusing in turn on painting, the novel, drama, poetry (...) and music. In each case she relates theory to contemporary works of art by Watteau, Chardin, Diderot, Beaumarchais, Gluck and many others. She shows that disputes within the theory of each art centred upon the nature of the perceiver's attention. Dr Hobson provides a method of mapping the changes in artistic style which took place as the century advanced. In discussing such conceptual transformations Dr Hobson opens an important perspective for the study of Romanticism and Realism. (shrink)

Introduction -- Note on the texts -- An inquiry into the original of our ideas of beauty and virtue -- Treatise I -- An inquiry concerning beauty, order, & c. -- Treatise II -- An inquiry concerning the original of our ideas of virtue or moral good.

Ernst Cassirers 1932 erschienene Darstellung der »Philosophie der Aufklärung« zählt zu den herausragenden Standardwerken zur Bestimmung der Leitgedanken der Epoche. »Die eigentliche ›Philosophie‹ der Aufklärung ist und bleibt«, so Cassirer, »etwas anderes als der Inbegriff dessen, was ihre führenden Denker [...] gedacht und gelehrt haben«. Entsprechend sah er das auszeichnende Merkmal seiner historischen Rekonstruktion der Epoche darin, »daß sie nicht die Geschichte der einzelnen Denker und ihrer Lehren, sondern eine reine Geschichte der Ideen der Aufklärungszeit zu geben suchte, und daß (...) sie diese Ideen selbst nicht nur in ihrer abstrakt-theoretischen Fassung darlegen, sondern in ihrer unmittelbaren Wirksamkeit aufzeigen und sichtbar machen wollte«. (shrink)

Avec leurs expositions sans tableaux ou leurs concerts de silence, les avant-gardes finissantes ont tourné les formes traditionnelles de l'art en dérision et annoncé à leur insu l'éclectisme 'postmoderne' - à défaut de choquer ou de subvertir, les oeuvres en sont venues à exprimer la vision du monde propre à leur créateur plus que le monde lui-même. L'acosmisme de l'esthétique contemporaine apporte une singulière confirmation à la thèse nietzschéenne selon laquelle la vérité de l'art résiderait dans la subjectivité de l'artiste; (...) les 'produits culturels' tendent à devenir des cartes de visite élaborées - le rapport à la réalité objective étant dès lors le monopole des sciences positives. Comment cet étrange partage des rôles qui domine toute la culture démocratique en est-il venu à s'instaurer? C'est une longue histoire, qui commence au milieu du XVIIe siècle avec l'invention de la notion de goût - véritable révolution aux termes de laquelle, pour la première fois sans doute dans l'histoire de l'humanité, l'essentiel de l'art consiste à plaire à la sensibilité subjective. Mais si le beau est affaire de goût, comment pourrait-il faire l'objet d'un consensus? Comment penser des règles communes dans un univers qui sacralise la volonté des sujets? (shrink)