Normative dualism between descriptions of the mental and the physical is still a problem for many philosophers that provokes more and more attempts to justify it, or, on the contrary, to overcome it by means of reduction. The problem of a special normative status of mental states is usually considered in isolation from the concept of truth. Moreover, the definition of truth is often construed only as a part of the problem of normativity: in this case, truth is only a (...) kind of norm, for example, a goal of scientific research. Donald Davidson, however, believed that truth is not the norm and that, on the contrary, norms are possible only through the use of the primitive and original concept of truth already available to us. In this paper, we propose that if one develops an idea of such a conceptual dependence between truth and norms in a certain way, then it will become possible to solve the problem of a normative gap between our descriptions of the mental and the physical. In other words, if the assimilation of the concept of truth precedes the learning of norms pertaining to the mental and the physical, then the solution for the problem of the gap between these norms can be directly related to conditions and differences in the use of the notion of truth. (shrink)

The article considers pros and cons for a theoretic-measurement analogy, proposed by some philosophers as an illustration of semantic indeterminacy. Within this analogy ascribing of meanings to a certain linguistic expressions is compared with attribution of numbers according to a certain theory of measurement. Donald Davidson used this analogy in order to extend W.V.O. Quine's thesis of indeterminacy of translation to the interpretation of all human behavior. In other words, not only linguistic meanings, but all mental states are considered as (...) indeterminate. The article explains the failure of some counter-arguments put forward against Davidson's use of this analogy and against the thesis of indeterminacy on the whole. Particularly, instrumentalist version of the analogy is rejected for there is no direct relation between indeterminacy and underdetermination of theories by empirical evidences. The article concludes that the semantic indeterminacy is largely based on indeterminacy of rationality. (shrink)

Goethe und Schelling begannen ihre Zusammenarbeit mit intensiven optischen Experimenten. Schelling lernte von Goethe, dass sich viele Farbphänomene bipolar anordnen lassen und dass eine optische Symmetrie bzw. Dualität zwischen weißem Licht und schwarzem Schatten besteht. Goethe lernte von Schelling, dass man das Prinzip der Bipolarität als forschungsleitende Idee verstehen kann (als eine regulative Idee in Kants Sinn). In der optischen Forschung kommt man mit dieser Idee wesentlich weiter, als gemeinhin angenommen wird; ihr Potential ist bis heute nicht ausgeschöpft. Sie ist (...) u.a. deshalb in der Versenkung verschwunden, weil ihre Verfechter mit ihr unseriös über die Stränge schlugen – außerhalb der Optik. Wenn sich das hätte vermeiden lassen, wäre Goethes Farbenlehre von Physikern möglicherweise weniger feindselig aufgenommen worden. Pech für Goethe. (shrink)

Nur weil Goethes letzter Brief an den Aufklärer und versierten Experimentalphysiker Lichtenberg nicht mehr beantwortet worden ist, sind viele Interpreten zu dem Ergebnis gelangt, dass Lichtenberg den Briefwechsel aus Unwillen über Goethes unbelehrbare Newton-Kritik abgebrochen hätte; Goethe selbst hat diese Interpretation nahegelegt. Doch bei gründlicher Neulektüre ergibt sich ein optimistischeres Bild. Goethe stand damals am Anfang seiner Farbenforschung, äußerte sich zu Newton weit weniger polemisch als später, gegenüber Lichtenberg aber voller Respekt – und zeigte sich offen für Kritik. In einem (...) seiner fünf Briefe reagierte Lichtenberg mit der erwünschten Kritik, und zwar so, wie sie unter Fachwissenschaftlern idealerweise aussehen sollte: voller Schwung, hinreichend skeptisch und doch konstruktiv. Goethe hat Lichtenbergs Kritik beherzigt, aufgegriffen, weitergedacht. Umgekehrt ließ sich Lichtenberg vom Briefpartner wissenschaftlich anregen; in der Tat bot Goethe ihm mit großer Sorgfalt eine Reihe von Anregungen, die gut zu Lichtenbergs Arbeit passten. Ja, Goethe ist möglicherweise zu anregend für ihn gewesen. Jedenfalls hat Lichtenberg es trotz gut dokumentierter Anzeichen von Begeisterung für Goethes gewagtes Projekt nicht vermocht, den Gedankenaustausch auf dem hohen Niveau fortzusetzen, das er zunächst geboten hatte. Ob der Briefwechsel am Ende aus gesundheitlichen Gründen, aus Willensschwäche oder einfach nur wegen Überarbeitung versandet ist, lässt sich den Dokumenten nicht entnehmen. Selbst die Hypothese einer wissenschaftlichen Entfremdung bleibt im Reich des Denkbaren. Unwahrscheinlich erscheint sie u.a. deshalb, weil an mindestens zwei Stellen eine Geistesverwandtschaft zwischen den beiden Protagonisten bestanden hat, die Goethe wohl ahnte und die heute angesichts damals unzugänglicher Texte deutlich in den Blick genommen werden kann: Erstens waren beide gleichermaßen von naturwissenschaftlichen Anwendungen des Polaritätsgedankens fasziniert, der seinerzeit viele neue Entdeckungen geliefert hatte und weitere verhieß; zweitens haben sie wichtige Einsichten der Wissenschaftsphilosophie des 20. Jahrhunderts vorweggenommen, etwa die Skepsis gegenüber eindeutig aus der Empirie abzulesenden Theorien und die These von der Theoriebeladenheit der Beobachtung. Goethe hatte Pech, dass diese Gemeinsamkeiten nicht vor Lichtenbergs Tod (und bis heute nicht) ans Tageslicht gekommen sind. Seine Kooperation mit Lichtenberg hätte zum Erfolg führen können; und der fatale Eindruck seiner Unbelehrsamkeit hätte sich vermeiden lassen. (shrink)

"Memory and Mimesis" commence par une réflexion sur la relation entre l'esprit et la mémoire invoqué par un scénario quotidien de la vie d'un père jouant avec sa fille âgée d'un an dans un bistrot et extrapole, a partir de cette relation, une parallèle relation entre psychologie de l'enfant et de l'évolution humaine en termes du «développement» des formes peu profondes de la mémoire au détriment d'une mémoire plus profonde et primale incorporée dans un esprit non- épiphenominal. -/- -/- L'étude (...) procède alors a le démonter par une exégèse de l'histoire de la création dans le livre de la Genèse avec une attention particulière à l'histoire de la tentation du serpent et le péché originel d'Eve comme une preuve — quand l'histoire est prise ( pas trop ) au sérieux — d’un support biblique pour l'évolution de concert avec des découverts dans la biologie évolutive. (shrink)

Depuis Gintis est un économiste senior et j’ai lu certains de ses livres précédents avec intérêt, je m’attendais à un peu plus de perspicacité dans le comportement. Malheureusement, il fait les mains mortes de la sélection de groupe et la phénoménologie dans les pièces maîtresses de ses théories du comportement, et cela invalide en grande partie le travail. Pire encore, puisqu’il montre un si mauvais jugement ici, il remet en question tout son travail précédent. La tentative de ressusciter la sélection (...) de groupe par ses amis à Harvard, Nowak et Wilson, il y a quelques années, c’était l’un des principaux scandales en biologie au cours de la dernière décennie, et j’ai raconté la triste histoire dans mon article 'Altruism, Jesus and the End of the World-how the Templeton Foundation bought a Harvard Professorship and attacked Evolution, Rationality and Civilization -- A review of E.O. Wilson 'The Social Conquest of Earth' (2012) et Nowak and Highfield 'SuperCooperators' (2012).' Contrairement à Nowak, Gintis ne semble pas être motivé par le fanatisme religieux, mais par le fort désir de générer une alternative aux sombres réalités de la nature humaine, facilitée par le manque (quasi universel) de compréhension de la biologie humaine fondamentale et le slateisme vierge des scientifiques comportementaux, d’autres universitaires et du grand public. Gintis attaque à juste titre (comme il l’a fait à maintes reprises) les économistes, les sociologues et d’autres scientifiques du comportement pour ne pas avoir un cadre cohérent pour décrire le comportement. Bien sûr, le cadre nécessaire pour comprendre le comportement est évolutif. Malheureusement, il ne parvient pas à en fournir un lui-même (selon ses nombreux critiques et je suis d’accord), et la tentative de greffer le cadavre pourri de la sélection de groupe sur toutes les théories économiques et psychologiques qu’il a généré dans ses décennies de travail, n’a fait qu’invalider tout son projet. Bien que Gintis fasse un vaillant effort pour comprendre et expliquer la génétique, comme Wilson et Nowak, il est loin d’être un expert, et comme eux, le calcul l’aveugle juste aux impossibilités biologiques et bien sûr c’est la norme en science. Comme Wittgenstein l’a noté sur la première page de la culture et de la valeur « Il n’y a pas de dénomination religieuse dans laquelle l’utilisation abusive des expressions métaphysiques a été responsable de tant de péchés qu’il l’a en mathématiques. » Il a toujours été clair que un gène qui provoque un comportement qui diminue sa propre fréquence ne peut pas persister, mais c’est le cœur de la notion de sélection de groupe. En outre, il a été bien connu et souvent démontré que la sélection de groupe réduit juste à la condition physique inclusive (sélection de parents), qui, comme Dawkins l’a noté, est juste un autre nom pour l’évolution par sélection naturelle. Comme Wilson, Gintis a travaillé dans cette arène pendant environ 50 ans et n’a toujours pas compris, mais après le scandale a éclaté, il ne m’a fallu que 3 jours pour trouver, lire et comprendre le travail professionnel le plus pertinent, comme détaillé dans mon article. Il est ahurissant de se rendre compte que Gintis et Wilson n’ont pas été en mesure d’y parvenir en près d’un demi-siècle. Je discute des erreurs de sélection de groupe et de phénoménologie qui sont la norme dans le milieu universitaire comme des cas spéciaux de l’échec quasi universel de comprendre la nature humaine qui détruisent l’Amérique et le monde. Ceux qui souhaitent un cadre complet à jour pour le comportement humain de la vue moderne de deux systemes peuvent consulter mon livre 'The Logical Structure of Philosophy, Psychology, Mind and Language in Ludwig Wittgenstein and John Searle' 2nd ed (2019). Ceux qui s’intéressent à plus de mes écrits peuvent voir «Talking Monkeys --Philosophie, Psychologie, Science, Religion et Politique sur une planète condamnée --Articles et revues 2006-2019 3e ed (2019) et Suicidal Utopian Delusions in the 21st Century 4th ed (2020) et autres. (shrink)

The study of remembering is both compelling and challenging, in part, because of the multiplicity and the complexity of influences on memory. Whatever their interests, memory researchers are always aware of the many different factors that can drive the processes they care about. A search for the phrase ‘influences on memory’ confirms this daunting and exhilarating array of influences, of many different kinds, operating at many different timescales, and presumably often interacting in ways that we can’t yet imagine, let alone (...) model. There are hormonal and neuromodulatory, genetic and pharmacological, developmental and age-related influences; there are influences of arousal, stress, gender, mood, emotion, sleep and personality; there are unconscious, schematic or semantic influences, and there are influences of context, situation, task and environment. There are many aspects of ‘media influence on memory’ (Loftus and Banaji, 1989; Strange and Garry, 2007), and, of course, there are both ‘social influences on memory’ (Echterhoff and Hirst, 2009) and ‘cultural influences on memory’ (Gutchess and Indeck, 2009). Notoriously, there are numerous ‘suggestive influences’ on memory (Loftus, 2003): influences of misinformation (Seifert, 2002; Wright and Loftus, 1998), or of ‘memory conformity’ (Gabbert et al., 2006) and ‘memory contagion’ (Roediger et al., 2002). People who know each other well, such as intimate couples, ‘may be well practised in yielding to each other’s influence and incorporating their partner’s information into their own memories of the past’ (French et al., 2008: 264). (shrink)

Selon l’interprétation traditionnelle, la révolution copernicienne, qui opère le passage du géocentrisme à l’héliocentrisme, aurait détrôné et dévalorisé l’homme, en lui retirant sa position cen­trale, et donc privilégiée, dans le cosmos, pour le reléguer sur une planète devenue analogue aux autres et occupant une place quelconque à l’intérieur du système solaire. Cette inter­prétation ne pèche pas seulement dans sa compréhension de l’héliocentrisme copernicien, mais également dans sa percep­tion du géocentrisme aristotélico-médiéval. Il faut donc dénon­cer sa fausseté générale et, plus encore, (...) lui substituer un autre schéma interprétatif qui, peut-être moins évocateur de notre rapport au monde, soit plus respectueux de la vérité historique. ––– According to the traditional interpretation, the Copernican revo­lution, which brought about the transfer from geocentrism to heliocentrism, is said to have dethroned and devalued man by removing his central and hence privileged position in the cos­mos and by relegating him to a planet now seen as analogous to others occupying an insignificant position within the solar system. This interpretation fails not only in its understanding of Copernican heliocentrism, but also in its percep­tion of Aristo­telian mediaeval geocentrism. It is necessary, therefore, not only to denounce its general falsity, but also to substitute for it a different interpretative scheme which, although it may empha­size less our link with the world, may be more respectful of historical truth. (shrink)

Playing chess is one of the first sectors of human thinking that were conquered by computers. From the historical win of Deep Blue against chess champion Garry Kasparov until today, computers have completely dominated the world of chess leaving no room for question as to who is the king in this sport. However, the better computers become in chess the more obvious their basic disadvantage becomes: Even though they can defeat any human in chess and play phenomenally great and (...) intuitive moves, they do not seem to know what chess it. Recently, the advent of AlphaZero brought the level of computers to even higher grounds, but made that disadvantage even more obvious. Nowadays the best chess algorithm can find the best moves in any position without having any knowledge of any chess principle whatsoever. A new world of capabilities and knowledge lays open in front of us, but the darkness behind it is deeper than we could ever imagine. The neural network algorithms seem capable of being best in something without even knowing what that something is, making questions regarding the essence of what thought is more important than ever. (shrink)