L’espace-vide est définit par Einstein comme substantiel et de densité d’énergie non nulle. Dans les premiers instants de l’univers, c’est cette substance espace-vide qui est apparue conjointement avec la grandeur temps, qui de ce fait doit présenter un lien de nature avec elle. Quel qu’est pu être le processus ayant conduit à la matérialisation des particules élémentaires, celles-ci ont été extraites de cette substance vide et procèdent donc d’une même nature. Ainsi la structure interne d’une particule composée de matière et (...) d’une charge électrique doit présenter une organisation prenant en compte cette origine unique. Il apparait ainsi logique de penser, en s’appuyant sur les travaux de Kaluza, que les charges électriques et la matière sont une seule et unique grandeur mais animée de dynamiques différentes dans des espaces différents à trois ou quatre dimensions spatiales. (shrink)

This article reports the findings of AI4People, an Atomium—EISMD initiative designed to lay the foundations for a “Good AI Society”. We introduce the core opportunities and risks of AI for society; present a synthesis of five ethical principles that should undergird its development and adoption; and offer 20 concrete recommendations—to assess, to develop, to incentivise, and to support good AI—which in some cases may be undertaken directly by national or supranational policy makers, while in others may be led by other (...) stakeholders. If adopted, these recommendations would serve as a firm foundation for the establishment of a Good AI Society. (shrink)

Academic Placement Data and Analysis (APDA), a project funded by the American Philosophical Association (APA) and headed by Carolyn Dicey Jennings (UC Merced), aims “to make information on academic job placement useful to prospective graduate students in philosophy.” The project has just been updated to include new data, which Professor Jennings describes in a post at New APPS. She also announces a new interactive data tool with which one can sift through and sort information. (from Daily Nous).

(Back Cover:) « La pensée métaphysique renaîtra demain. Ce sont des savants qui ont le goût et le sens de la pensée conduite jusqu’au terme de ses exigences internes, et des philosophes initiés aux sciences expérimentales qui, en commun, la feront. » L’œuvre de Claude Tresmontant (1925-1997) illustre parfaitement cette recherche de la métaphysique d’un monde en devenir, qui sait écouter et se modeler sur la transformation – la métamorphose – promise à une Création finalisée. Le trait commun aux exposés (...) ici présentés sous forme définitive a été cette recherche autour d’une pensée qui renouvelle de l’intérieur la métaphysique en réalisant le vœu de Bergson qu’elle devienne « auscultatrice », que l’énigme que pose l’homme face à son origine et sa destinée ne soit pas recouverte par une pensée qui se perdrait dans la description des choses ou dans l’esprit de système, mais qui non plus n’irait se recroqueviller sur elle-même, en narrant sa propre expérience subjective sous le mode de la déréliction. Claude Tresmontant a su penser l’être en genèse, et il a cherché à renouveler la question de l’existence de Dieu, en en transformant la problématique en dialogue avec les sciences contemporaines. À ce goût de l’être dont les sciences ont renouvelé l’approche, il a également voulu infuser un « supplément d’âme », en repensant la réalité de la création et l’horizon de la cause finale, toujours à partir de la nature ultimement théologique de la réponse à la question « qu’est-ce que l’homme ? » Contributeurs : Yves Tourenne, Philippe Gagnon, Fabien Revol, Brunor, Frédéric Crouslé, Bertrand Souchard, Emmanuel Gabellieri. Table of Contents: Note Liminaire (Ph. Gagnon) - 7 En quoi la pensée de Claude Tresmontant nous stimule-t-elle encore ? Hommage et critique (Y. Tourenne) - 13 L’imbrication de la preuve de Dieu et de la cosmologie chez Tresmontant représente-t-elle une preuve ? (Ph. Gagnon) - 27 L’usage apologétique de la philosophie de Tresmontant dans les Indices pensables de Brunor (F. Revol) - 49 Réponse à Fabien Revol (Brunor) - 77 Qu’est-ce qui cloche dans la théologie de Claude Tresmontant ? (Fr. Crouslé) - 85 Les métaphysiques principales de Claude Tresmontant : la foi biblique est-elle à part de la raison philosophique grecque ? (B. Souchard) - 109 Maurice Blondel et Claude Tresmontant (E. Gabellieri) - 123 La vision informationnelle de Tresmontant, surtout en référence au problème de l’âme (Ph. Gagnon) - 133. (shrink)

This article is concerned with the status and stakes of Gilles Deleuze’s “break” with structuralism. With a particular focus on a transitional text of Deleuze, the 1967/1972 article “How Do We Recognize Structuralism?,” it asks how Deleuze understood structuralism and why, after his encounter with Félix Guattari and Guattari’s own transitional text, 1969’s “Machine and Structure,” Deleuze felt the need to break with structuralism. It argues that reading these two texts together allows us to see that Deleuze already perceived tensions (...) within the structuralist project, and argues that Guattari’s non-structural account of the machine allowed Deleuze to clarify this perception, and see it as necessitating a departure from structuralism. To close, however, it turns to recent work by philosophers such as Étienne Balibar and Patrice Maniglier that re-examines the structuralist moment and identifies an ongoing legacy that the “poststructuralism” of Deleuze and Guattari may be part of. By considering Deleuze and Guattari’s break with structuralism in light of this work, this article considers how the polemical rejection of structuralism by Deleuze and Guattari may not fully account for the ongoing legacy of the structuralist program and the persistence of a structuralist problematic in their thought. (shrink)