Wolpert, Chaitin et Wittgenstein sur l’impossibilité, l’incomplétude, le paradoxe menteur, le théisme, les limites du calcul, un principe d’incertitude mécanique non quantique et l’univers comme ordinateur, le théorème ultime dans Turing Machine Theory (révisé 2019)

In Bienvenue en Enfer sur Terre : Bébés, Changement climatique, Bitcoin, Cartels, Chine, Démocratie, Diversité, Dysgénique, Égalité, Pirates informatiques, Droits de l'homme, Islam, Libéralisme, Prospérité, Le Web, Chaos, Famine, Maladie, Violence, Intellige. Las Vegas, NV USA: Reality Press. pp. 185-189 (2020)
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Abstract

J’ai lu de nombreuses discussions récentes sur les limites du calcul et de l’univers en tant qu’ordinateur, dans l’espoir de trouver quelques commentaires sur le travail étonnant du physicien polymathe et théoricien de la décision David Wolpert, mais n’ont pas trouvé une seule citation et je présente donc ce résumé très bref. Wolpert s’est avéré quelques théoricaux d’impossibilité ou d’incomplétude renversants (1992 à 2008-voir arxiv dot org) sur les limites de l’inférence (computation) qui sont si généraux qu’ils sont indépendants de l’appareil faisant le calcul, et même indépendamment des lois de la physique, ainsi ils s’appliquent à travers les ordinateurs, la physique, et le comportement humain. Ils utilisent la diagonalisation de Cantor, le paradoxe menteur et les worldlines (lignes du monde) pour fournir ce qui peut être le théorème ultime dans Turing Machine Theory, et apparemment fournir des aperçus de l’impossibilité, l’incomplétude, les limites du calcul, et l’univers comme ordinateur, dans tous les univers possibles et tous les êtres ou mécanismes possibles, générant, entre autres, un principe d’incertitude mécanique non quantique et une preuve de monothéisme. Il existe des connexions évidentes à l’œuvre classique de Chaitin, Solomonoff, Komolgarov et Wittgenstein et à l’idée qu’aucun programme (et donc aucun dispositif) ne peut générer une séquence (ou un dispositif) avec une plus grande complexité qu’il ne possède. On pourrait dire que cet ensemble de travaux implique l’athéisme puisqu’il ne peut y avoir d’entité plus complexe que l’univers physique et du point de vue wittgensteinien, « plus complexe » n’a aucun sens (n’a pas de conditions de satisfaction, c’est-à-dire véridique ou test). Même un « Dieu » (c’est-à-dire un « dispositif » avec un temps/ espace et une énergie illimité) ne peut pas déterminer si un « nombre » donné est « aléatoire», ni trouver un certain moyen de montrer qu’une « formule » donnée, un « théorème » ou une « phrase » ou un « dispositif » (tous ces jeux de langage complexes) fait partie d’un « système » particulier. Ceux qui souhaitent un cadre complet à jour pour le comportement humain de la vue moderne de deux systemes peuvent consulter mon livre 'The Logical Structure of Philosophy, Psychology, Mind and Language in Ludwig Wittgenstein and John Searle' 2nd ed (2019). Ceux qui s’intéressent à plus de mes écrits peuvent voir 'Talking Monkeys --Philosophie, Psychologie, Science, Religion et Politique sur une planète condamnée --Articles et revues 2006-2019 2ème ed (2019) et Suicidal Utopian Delusions in the 21st Century 4th ed (2019) et autres.

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