The essays in this volume represent an approach to human knowledge that has had a profound influence on many recent thinkers. Popper breaks with a traditional commonsense theory of knowledge that can be traced back to Aristotle. A realist and fallibilist, he argues closely and in simple language that scientific knowledge, once stated in human language, is no longer part of ourselves but a separate entity that grows through critical selection.

I LAW AND NATURE i. The "Pure" Theory The Pure Theory of Law is a theory of positive law. It is a theory of positive law in general, not of a specific legal ...

Negli anni che intercorrono fra la prima e l'ultima stesura della Scienza nuova vedono la luce in Europa le opere di Montesquieu e di Voltaire, di Lamettrie e di Hume, di Tindal e di Berkeley, di Morelly e di D'Alembert, Nell'Europa del suo tempo Vico fu senza dubbio un pensatore 'isolato'. Tale isolamento è stato di volta in volta interpretato come arretratezza e come capacità di divinazione - le pagine della Scienza nuova sono State interpretate come l'espressione tipica di una (...) rinnovata visione cristiana della storia o come un'anticipata polemica antilluministica e un precorrimento dei temi della cultura romantica e della filosofia di Hegel. 'Da un angoletto morto della storia', lavorando sui testi del secolo precedente, Vico affrontava comunque alcuni grandi problemi che resteranno al centro della cultura romantica, di quella positivistica, delle discussioni sullo storicismo. (shrink)

About the philosophy of Giambattista Vico, 1668- 1774 and Johann Gottfried Herder, 1774-1803.

Giambattista Vico considered his greatest philosophical achievement to be his discovery that early humans spoke in 'poetic characters'. Vico's New Science is thus also a philosophy of signs or se;mata . Jürgen Trabant reads the profound insights into human semiosis contained in Vico's 'sematology' as both a spirited rejection of Cartesian philosophy and an early critique of enlightened logocentricism. Sean Ward's translation makes this work available to an English-reading audience for the first time.

Physical and chemical processes may act upon the mind; and when we are writing a difficult letter, our mind acts upon our body and, through a chain of physical...

Donner, est-ce possible? Dès lors qu'il engage dans le cercle de l'échange, le don semble s'annuler. Pour donner, il faudrait ne rien attendre en retour. Rien espérer, rien escompter de ce qui doit rester incalculable. Plus gravement encore, et avant même que rien ne s'inscrive dans une économie des signes ou des choses, il suffit peut-être qu'il y ait intention de donner, il suffit que le don apparaisse comme tel à la conscience ou que dans son sens il devienne présent (...) pour disparaître et se perdre aussitôt en faisant retour : comme s'il était impossible de connaître par l'expérience ce que nous pensons et désirons sous le nom de don ; comme si même il était impossible de désirer le don ou de vouloir donner ; comme si le don était voué à l'irresponsabilité ; comme si, pour dire " il y a don ", il fallait renoncer au présent - et à dire : " le don est " ou " le don existe ". Renouant avec le fil d'analyses antérieures, Jacques Derrida tente ici de formaliser les conditions et les effets de cette aporie, à savoir l'incompatibilité apparente du don et du présent. La nécessité pour le don d'excéder le retour circulaire à son origine implique une interprétation du temps, qui fut souvent représenté comme un cercle. Avec la question du don et du présent, comme question de la répétition, il y va donc du temps : du temps de l'être, du temps du monde, du temps social, du temps de la conscience et de l'inconscient. A travers des lectures de Heidegger, de Mauss ou de Benveniste ; il s'agit ici de ressaisir la grande question du don à la racine commune de l'ontologie et de la sémantique, de l'anthropologie et de l'économie politique. Et de la littérature, : la seconde partie de ce premier volume est en effet consacrée à la lecture d'un bref récit de Baudelaire, La fausse monnaie, qui oriente en vérité tout l'ouvrage. (shrink)

Das vorliegende Buch widmet sich der zweifachen radikalen Wende der Philosophie durch Giambattista Vico in seiner Scienza nuova: Die Begründung einer Philosophie der Kultur bleibt Vicos großer Beitrag zur Erkenntnistheorie. Vicos "Entdeckung", die Entfaltung des menschlichen Denkens in der phantastischen Verkörperung durch poetische Charaktere, in Gesten, Bildern, Sprache, ist der aktuellste Aspekt seiner Philosophie: eine anti-cartesische Philosophie des embodiment, der erste linguistic turn der Philosophie. Vieles, was derzeit in Szenarien des Anfangs menschlichen Denkens und Sprechens imaginiert wird, findet sich bei (...) Vico vorgedacht. Die Dualität von visuellen Zeichen und Sprache in menschlicher Kognition ist ein fundamentaler Beitrag zur Diskussion um die geistigen Grundformen unserer Kultur. (shrink)

The description for this book, Vico in the Tradition of Rhetoric, will be forthcoming.

Depuis quelques décennies, un nombre grandissant de philosophes ont manifesté un intérêt accru pour la question du don. D'abord pour mettre en cause la toute puissance du marché qui étend son emprise. Mais au-delà de cette inquiétude liée à une situation historique, nombre de penseurs ont construit une réflexion sur le monde - sur l'être - comme donné. On tend alors à rattacher cette " donation originaire " à une éthique de la gratuité. Gratuité pure, geste unilatéral : telle est (...) la pensée du don qui, selon des styles et des arguments propres, domine chez J. Derrida, E. Levinas, J.-L. Marion et bien d'autres. Il était sans doute temps de se défaire de toutes les pensées du don un peu trop pieuses, devenues envahissantes dans la philosophie française de tradition phénoménologique. Confrontant le travail de ces philosophes au célèbre Essai sur le don de Marcel Mauss, Marcel Hénaff montre que le don est d'abord et avant tout une procédure de reconnaissance publique entre groupes au moyen de ces biens compris comme symboles d'une alliance. (shrink)

The main emphasis of this new book from Luigino Bruni is a praise of heterogeneity, arguing that society works when different people are able to cooperate in many different ways. The author engages in a novel approach to reciprocity looking at its different forms in society, from cautious or contractual interactions, to the reciprocity of friendship to unconditional behaviour. Bruni'ss historical-methodological analysis of reciprocity is a way of examining the interface between political economy and the issue of sociality, generally characterized (...) by 'two hundred years of solitude' of the homo economicus. This historical analysis exposes an absence and this book looks at the reasons why among the many forms of reciprocity present in the civil life economics has chosen to deal just with the simplest ones. The second part of the book is an analysis of the interactions of the three forms of reciprocity faced with a forth strategy; the non-reciprocity. (shrink)