De l'entre-deux-guerres jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale, la Roumanie s'est trouvée dans une sorte de labyrinthe géopolitique, dans lequel elle semblait avoir de multiples possibilités, mais elles allaient toutes dans le même sens : l'alliance avec l'Allemagne au début de la Seconde Guerre mondiale, l'acte du 23 août 1944 tel qu'il se présentait et le statut établi par la suite par le traité de Paris. Tout au long de cette période, l'armée roumaine a joué un (...) rôle majeur à travers ses dirigeants et le sacrifice des soldats roumains, et l'acte du 23 août 1944 a été un acte légitime et légal, dans lequel le roi Mihai I et l'armée ont été les principaux décideurs. Après une présentation du contexte de l'entrée de la Roumanie dans la Seconde Guerre mondiale, suit la description de l'évolution de la Roumanie pendant la guerre, en mettant l'accent sur les tentatives de conclure un armistice avec les Alliés occidentaux et le rôle de l'armée pendant cette période. L'acte du 23 août 1944 est ensuite détaillé à part, soulignant la diversité des opinions sur cet événement. La dernière section présente les implications de cet acte sur la Roumanie, après la fin de la Seconde Guerre mondiale. -/- TABLE DES MATIÈRES: -/- Résumé 1. Le contexte de l'entrée de la Roumanie dans la Seconde Guerre mondiale 2. La Seconde Guerre mondiale 3. L'acte du 23 août 1944 4. Les implications de l'acte du 23 août 1944 Bibliographie Notes -/- DOI: 10.13140/RG.2.2.17016.52482, ISBN 978-606-033-713-3. (shrink)

Les défenseurs d'Ion Antonescu considèrent l'acte du roi Mihai I comme une erreur tragique ou une « grave erreur politique », affirmant que le roi aurait dû attendre encore un mois ou deux pour que le Maréc lui-même exige un armistice. L'historien Neagu Djuvara a déclaré que ces « conditions plus faciles » qu'aurait obtenues Ion Antonescu « sont de pures fables », en réalité Antonescu avait l'intention de donner aux Allemands une pause pour quitter la Roumanie. Entre le 24 (...) et le 26 août, l'armée roumaine a vaincu les derniers points de résistance allemande, avec l'aide de volontaires civils. Jusqu'au 28 août, il n'y avait plus de troupes allemandes à Bucarest et ses environs, et jusqu'au 31 août, toutes les troupes allemandes du pays étaient expulsées. Le 10 février 1947 a lieu la cérémonie de signature du Traité de paix de Paris entre les puissances alliées et associées et la Roumanie. Les Alliés n'ont pas reconnu la Roumanie comme une nation co-belligérante, la considérant comme une « alliée de l'Allemagne hitlérienne ». La frontière avec l'URSS et la Bulgarie a été fixée dans son état en janvier 1941, mais la Roumanie a repris le nord de la Transylvanie, suite à la reconnaissance que la Roumanie « a agi dans l'intérêt de toutes les Nations Unies » après le 23 août 1944. -/- DOI: 10.13140/RG.2.2.32483.02086. (shrink)

Le présent ouvrage traite d'un épisode de la traduction du roumain vers le français par l'écrivain roumain Constantin Negruzzi. Nous nous intéressons à la traduction de deux traductions de Victor Hugo, en analysant les procédés et les résultats du transfert linguistique.

Avant 1812, l'actuelle République de Moldavie, partie intégrante de la région roumaine appelée Moldavie, avait comme modèle et débouché culturel la France. Après cette date, rattachée à l'Empire Russe, elle a dû rentrer, sous le nom de Bessarabie dans un tout autre giron culturel, à la frontière des civilisations. Aujourd'hui, le discours relatif à la culture et à l'identité est-il double ou dédoublé ? Certains Moldaves plaident pour leur identité roumaine, d'autres pour leur identité moldave et ceci sur (...) un fond à nombreuses touches multiculturelles. Un représentant du quartier général d'une organisation internationale a demandé à un collaborateur moldave son avis quant à la nationalité qu'il faudrait indiquer sur la liste des employés. Puisqu'au moment où, pour les ressortissants de la République de Moldavie, il a été écrit «moldave», le représentant roumain a objecté que cette nationalité n'existe pas. Si vous étiez le représentant moldave, que répondriez-vous?Before 1812, the current Republic of Moldova, then a territory of the Rumanian region called Moldova, chose France as a cultural model and outlet. After this date, the territory became part of the Russian Empire under the name of Basarabia and thus entered a completely different cultural space at the border of civilizations. Nowadays, is the discourse related to culture and identity doubled or divided? Some Moldavans opt for a Rumanian identity and others a Moldovan one in a context with many multicultural aspects. A representative of the headquarters of an international organization asked a Moldavian colleague under which nationality he should be put down on a list of employees. “Moldavian” was chosen for citizens of the Republique of Moldova only for the Rumanian representative to object that this nationality did not in fact exist. What would have been your answer to this question had you been the Moldovan representative? (shrink)

Die neuzeitliche Geschichte von Vietnam wurde von Kolonialismus und Invasion markiert. Von der Ende des 19. Jahrhunderts war Vietnam eine französische Kolonie. Während des Zweiten Weltkriegs wurden die Vietnamesische Bevölkerung von drei Machte unterdrückt: von der Feudalherrschaft (die damals nur als Strohmann regelt und keine mehr Souveränität hatte), von den japanischen faschisten Truppen, und von der französischen kolonialen Verwaltung (die wegen der Vichy-Regime in Frankreich auch an den japanischen faschisten eine Annäherung machte). Obwohl die Vietnamesen selbst gegen der japanische Armee (...) kämpften und 1945 die Unabhängigkeit erklärten, kehrten die Franzosen nach dem Zweiten Weltkrieg zu Vietnam zurück, französische Souveränität zu verlangen. (shrink)

Tout au long de la Seconde Guerre mondiale, les services secrets roumains ont collecté des informations sur l'emplacement des unités allemandes dans le pays. Les officiers du groupe complotiste pour retourner les armes contre l'Allemagne augmentent le nombre d'unités roumaines présentes dans la capitale, afin de pouvoir affronter les Allemands. Une mission alliée clandestine a été parachutée à Bucarest et secrètement hébergée par le général Constantin Sanatescu. Suite au succès de l'offensive allemande sur l'alignement Iasi-Chisinau, le groupe complotiste décide d'accélérer (...) les préparatifs. Le 20 août, Mihai I et le groupe de soldats du complot ont fixé la date de l'action au 26 août. Dans la nuit du 21 août, les membres de l'opposition ont secrètement convenu de cette date. Cependant, apprenant que le maréc Antonescu avait l'intention de retourner au front le 24 août, le roi Mihai fut contraint de changer la date au 23 août 1944. -/- DOI: 10.13140/RG.2.2.29048.93443. (shrink)

Dans son plus récent ouvrage, Figures du communisme, l’économiste et philosophe Fréderic Lordon s’attaque au problème brûlant de la double crise, économique et environnementale, actuelle. Lordon désigne le coupable : le capitalisme, qui détruit la planète par son exploitation sans vergogne de la nature, et qui détruit la vie par son exploitation des êtres humains. Face à ce système mortifère, une sortie du capitalisme s’impose. Sortir du capitalisme, certes, mais pour le remplacer par quoi ? Lordon nous présente ici son (...) alternative. Contre le capitalisme destructeur de monde, Fréderic Lordon veut la figure du communisme. En s’inspirant des travaux de Bernard Friot, Lordon nous expose son idéal de société communiste : salaire à vie, garantie économique générale, abolition du marché et de la finance, réduction du travail et accès généralisé à la culture et à l’éducation. Il s’en prend également aux obstacles de la révolution communiste, qu’il s’agisse de la bourgeoisie, des grandes institutions financières, des banques, des multinationales, des médias, de l’État, de son armée et de sa police, mais aussi de ceux que Fréderic Lordon appelle « les scouts », les Piketty et consorts, qui espèrent sauver l’humanité et la planète tout en sauvant le capitalisme. Une critique sans concession d’une actualité brûlante. (shrink)

Ce n’est pas un livre parfait, mais il est unique, et si vous écrémez les 400 premières pages ou plus, les 300 dernières (sur quelque 700) sont une assez bonne tentative d’appliquer ce qui est connu sur le comportement aux changements sociaux de la violence et des manières au fil du temps. Le sujet fondamental est le suivant : comment notre génétique contrôle-t-elle et limite-t-elle le changement social ? Étonnamment, il ne parvient pas à décrire la nature de la sélection (...) des parents (fitness inclusif) qui explique une grande partie de la vie sociale animale et humaine. Il n’a pas non plus (comme presque tout le monde) un cadre clair pour décrire la structure logique de la rationalité (LSR—terme préféré de John Searle) que je préfère appeler la psychologie descriptive de la pensée de haut ordre (DPHOT). Il aurait dû dire quelque chose sur les nombreuses autres façons d’abuser et d’exploiter les gens et la planète, car ceux-ci sont maintenant beaucoup plus graves que de rendre d’autres formes de violence presque hors de propos. Étendre le concept de violence pour inclure les-conséquences mondiales à long terme de la réplication des gènes de quelqu’un, et avoir une compréhension de la nature de la façon dont fonctionne l’évolution (c.-à-d., la sélection des parents) fournira une perspective très différente sur l’histoire, les événements actuels, et comment les choses sont susceptibles d’aller dans les quelques centaines d’années. On pourrait commencer par noter que la diminution de la violence physique au cours de l’histoire a été compensée (et rendue possible) par le viol sans pitié de la planète (c’est-à-dire par la destruction par les gens de l’avenir de leur propre descendant). Pinker (comme la plupart des gens la plupart du temps) est souvent distrait par les superficialités de la culture quand c’est la biologie qui compte. Voir mes critiques récentes de Wilson 'The Social Conquest of Earth' et Nowak and Highfield’s 'SuperCooperators' ici et sur le net pour un bref résumé de la vacuité de «véritable altruisme»(sélection de groupe), et le fonctionnement de la sélection des parents et l’inutilité et la superficialité de décrire le comportement en termes culturels. C’est la question classique de la nature/nourrir et la nature l’emporte nourrir - infiniment. Ce qui importe vraiment, c’est la violence faite à la terre par l’augmentation incessante de la population et de la destruction des ressources (en raison de la médecine et de la technologie et de la répression des conflits par la police et l’armée). Environ 200.000 personnes de plus par jour (un autre Las Vegas tous les 10 jours, un autre Los Angeles chaque mois), les 6 tonnes ou plus de la base va dans la mer / personne / année - environ 1% du total du monde disparaissant chaque année, etc. signifie que si un miracle se produit la biosphère et la civilisation va largement s’effondrer au cours des deux prochains siècles, et il y aura la famine, la misère et la violence de tous les types. Les manières, les opinions et les tendances des gens à commettre des actes de violence ne sont d’aucune pertinence à moins qu’ils ne puissent faire quelque chose pour éviter cette catastrophe, et je ne vois pas comment cela va se produire. Il n’y a pas de place pour les arguments, et aucun point non plus (oui je suis un fataliste), donc je vais juste faire quelques commentaires comme s’ils étaient des faits. N’imaginez pas que j’ai un intérêt personnel dans la promotion d’un groupe au détriment des autres. J’ai 78, n’ont pas de descendants et pas de proches parents et ne s’identifient à aucun groupe politique, national ou religieux et considèrent ceux que j’appartiens par défaut aussi répugnant que tout le reste. Les parents sont les pires ennemis de la vie sur Terre et, compte tenu de la vue générale des choses, les femmes sont aussi violentes que les hommes quand on considère le fait que la violence des femmes (comme la plupart de celle faite par les hommes) se fait en grande partie au ralenti, à une distance dans le temps et l’espace et la plupart du temps effectuée par procuration -par leurs descendants et par les hommes. De plus en plus, les femmes portent des enfants, qu’elles aient un compagnon ou non et que l’effet d’empêcher une femme de se reproduire est en moyenne beaucoup plus important que d’arrêter un homme, car ils constituent le goulot d’étranglement reproducteur. On peut considérer que les gens et leur progéniture méritent richement toute la misère vient leur chemin et (à de rares exceptions près) les riches et les célèbres sont les pires délinquants. Meryl Streep ou Bill Gates ou J.K Rowling et chacun de leurs enfants peuvent détruire 50 tonnes de terre d’o re plus chaque année pendant des générations dans l’avenir, tandis qu’un fermier indien et son peut détruire 1 tonne. Si quelqu’un nie que c’est très bien, et à leurs descendants, je dis "Bienvenue à l’enfer sur Terre"(WTHOE). Aujourd’hui, l’accent est toujours mis sur les droits de l’homme, mais il est clair que si la civilisation doit avoir une chance, les responsabilités humaines doivent remplacer les droits de l’homme. Personne n’obtient des droits sans être un citoyen responsable et la première chose que cela signifie est la destruction de l’environnement minimal. La responsabilité la plus fondamentale n’est pas les enfants à moins que votre société vous demande de les produire. Une société ou un monde qui permet aux gens de se reproduire au hasard sera toujours exploité par des gènes égoïstes jusqu’à ce qu’il s’effondre (ou atteint un point où la vie est si horrible qu’il ne vaut pas la peine de vivre). Si la société continue à maintenir les droits de l’homme comme primaires, à leurs descendants, on peut dire avec confiance "WTHOE". Ceux qui souhaitent un cadre complet à jour pour le comportement humain de la vue moderne de deuxemssyst peuvent consulter mon livre 'The Logical Structure of Philosophy, Psychology, Mind and Language in Ludwig Wittgenstein and John Searle' 2nd ed (2019). Ceux qui s’intéressent à plus de mes écrits peuvent voir «Talking Monkeys --Philosophie, Psychologie, Science, Religion et Politique sur une planète condamnée --Articles et revues 2006-2019 3e ed (2019) et Suicidal Utopian Delusions in the 21st Century 4th ed (2019) et autres. (shrink)

La première chose que nous devons garder à l’esprit est que lorsque nous disons que la Chine dit ceci ou la Chine fait cela, nous ne parlons pas du peuple chinois, mais des sociopathes qui contrôlent le PCC -- Parti communiste chinois, c’est-à-dire, les sept tueurs en série sociopathes seniles (SSSSK) du Comité permanent du PCC ou des 25 membres du Politburo etc. Les plans du PCC pour la Seconde Guerre mondiale et la domination totale sont énoncés très clairement dans (...) les publications et les discours du gouvernement chinois et c’est le « rêve chinois » de Xi Jinping. C’est un rêve seulement pour la petite minorité (peut-être quelques dizaines à quelques centaines) qui gouvernent la Chine et un cauchemar pour tout le monde (y compris 1,4 milliard de Chinois). Les 10 milliards de dollars par an leur permettent, à eux ou à leurs marionnettes, de posséder ou de contrôler des journaux, des magazines, des chaînes de télévision et de radio et de placer des fausses nouvelles dans la plupart des grands médias partout dans le monde chaque jour. En outre, ils ont une armée (peut-être des millions de personnes) qui troll tous les médias de placer plus de propagande et de noyer des commentaires légitimes (l’armée de 50 centimes). En plus de dépouiller le monde des ressources de 3rd, une poussée majeure de l’initiative de des centaines de milliards de dollars Belt and Road est la construction de bases militaires dans le monde entier. Ils forment le monde libre dans une course aux armements massive de haute technologie qui fait la guerre froide avec l’Union soviétique ressembler à un pique-nique. Bien que le SSSSK, et le reste de l’armée mondiale, dépensent des sommes énormes sur le matériel avancé, il est très probable que WW3 (ou les petits engagements qui l’ont précédé) sera dominé par les logiciels. Il n’est pas hors de question que le SSSSK, avec probablement plus de pirates (codeurs) travaillant pour eux, puis tout le reste du monde combiné, va gagner de futures guerres avec un minimum de conflit physique, juste en paralysant leurs ennemis via le net. Pas de satellites, pas de téléphones, pas de communications, pas de transactions financières, pas de réseau électrique, pas d’Internet, pas d’armes de pointe, pas de véhicules, de trains, de navires ou d’avions. Il n’y a que deux voies principales pour enlever le PCC, libérer 1,4 milliard de prisonniers chinois, et mettre fin à la marche lunatique à la Seconde Guerre mondiale. Le pacifique est de lancer une guerre commerciale tous avare pour dévaster l’économie chinoise jusqu’à ce que l’armée en ait marre et démarre le PCC. Une alternative à la fermeture de l’économie chinoise est une guerre limitée, comme une frappe ciblée par dire 50 drones thermobares sur le 20e Congrès du PCC, lorsque tous les membres supérieurs sont en un seul endroit, mais qui n’aura pas lieu avant 2022 afin que l’on puisse frapper la réunion plénière annuelle. Les Chinois seraient informés, au fur et à mesure de l’attaque, qu’ils devaient déposer les armes et se préparer à organiser des élections démocratiques ou à être regroupés dans l’âge de pierre. L’autre alternative est une attaque nucléaire tous anch, une attaque nucléaire. La confrontation militaire est inévitable compte tenu de la voie actuelle du PCC. Il se produira probablement sur les îles de la mer de Chine méridionale ou Taiwan dans quelques décennies, mais comme ils établissent des bases militaires dans le monde entier, il pourrait se produire n’importe où (voir Tigre accroupi, etc.). Les conflits futurs auront des aspects difficiles et souples avec les objectifs déclarés du PCC de mettre l’accent sur la cyberguerre par le piratage et le paralysage des systèmes de contrôle de toutes les communications militaires et industrielles, l’équipement, les centrales électriques, les satellites, Internet, les banques, et tout appareil ou véhicule connecté au net. Les SS sont lentement sur le terrain d’un éventail mondial de sous-marins ou de drones sous-marins habités et autonomes capables de lancer des armes conventionnelles ou nucléaires qui peuvent rester dormants en attendant un signal de la Chine ou même à la recherche de la signature de navires ou d’avions américains. Tout en détruisant nos satellites, éliminant ainsi la communication entre les États-Unis et nos forces dans le monde entier, ils utiliseront les leurs, en conjonction avec des drones pour cibler et détruire nos forces navales actuellement supérieures. Bien sûr, tout cela se fait de plus en plus automatiquement par l’IA. De loin le plus grand allié du PCC est le parti démocrate des États-Unis. Le choix est d’arrêter le PCC maintenant ou regarder comme ils prolongent la prison chinoise sur le monde entier. Ceux qui s’intéressent à d’autres détails sur le chemin fou de la société moderne peuvent consulter mes autres œuvres telles que Suicide by Democracy-an Obituary for America and the World th Edition 2020 et Suicidal Utopian Delusions in the 21st Century: Philosophie, Nature Humaine et l’effondrement de la civilisation 4e ed (2020) . (shrink)

La première chose que nous devons garder à l'esprit est que lorsque vous dites que la Chine dit ceci ou la Chine fait cela, nous ne parlons pas du peuple chinois, mais des sociopathes qui contrôlent le PCC -- Parti communiste chinois, c'est-à-dire les sept tueurs en série sociopathiques séniles (SSSSK) de l'E e Comité permanent du PCC ou des 25 membres du Politburo, etc. -/- Les plans du PCC pour la Troiseme Guerre mondiale et la domination totale sont énoncés (...) très clairement dans les publications et les discours du gouvernement chinois et c'est le « rêve chinois » de Xi Jinping. C'est un rêve seulement pour la petite minorité (peut-être quelques dizaines à quelques centaines) qui gouvernent la Chine et un cauchemar pour tout le monde (y compris 1,4 milliard de Chinois). Les 10 milliards de dollars par an leur permettent, eux ou leurs marionnettes, de posséder ou de contrôler des journaux, des magazines, des chaînes de télévision et de radio et de placer des fausses nouvelles dans la plupart des grands médias partout chaque jour. En outre, ils ont une armée (peut-être des millions de personnes) qui troll tous les médias plaçant plus de propagande et de noyer les commentaires légitimes (l'armée de 50 cents). -/- En plus de dépouiller le 3e monde des ressources, l'une des grandes orientations de l'initiative Belt and Road, qui s'est portée à plusieurs milliards de dollars, consiste à construire des bases militaires dans le monde entier. Ils forcent le monde libre dans une course aux armements massive de haute technologie qui fait de la guerre froide avec l'Union soviétique ressembler à un pique-nique. -/- Bien que le SSSSK, et le reste de l'armée du monde, dépensent d'énormes sommes sur le matériel de pointe, il est très probable que WW3 (ou les petits engagements qui y ont précédé) sera dominé par le logiciel. Il n'est pas hors de question que le SSSSK, avec probablement plus de pirates (codeurs) travaillant pour eux, puis tout le reste du monde combiné, va gagner de futures guerres avec un conflit physique minimal, juste en paralysant leurs ennemis via le net. Pas de satellites, pas de téléphones, pas de communications, pas de transactions financières, pas de réseau électrique, pas d'Internet, pas d'armes avancées, pas de véhicules, trains, navires ou avions. -/- Il n'y a que deux voies principales à enlever le CCP, libérant 1,4 milliard de prisonniers chinois, et mettant fin à la marche folle à WW3. Le pacifique est de lancer une guerre commerciale tous adhérences pour dévaster l'économie chinoise jusqu'à ce que l'armée en ait marre et démarre le PCC. -/- Une alternative à la fermeture de l'économie de la Chine est une guerre limitée, comme une frappe ciblée par dire 50 drones thermobares sur le 20e Congrès du PCC, lorsque tous les membres supérieurs sont en un seul endroit, mais qui n'aura pas lieu jusqu'en 2022 afin on pourrait frapper à la réunion plénière annuelle. Les Chinois seraient informés, au fur et à mesure de l'attaque, qu'ils devaient déposer les armes et se préparer à tenir des élections démocratiques ou à être nuked dans l'âge de pierre. L'autre alternative est une attaque nucléaire tous adhérences. La confrontation militaire est inévitable compte tenu de la trajectoire actuelle du PCC. Il se produira probablement au-dessus des îles dans la mer de Chine méridionale ou à Taïwan dans quelques décennies, mais pendant qu'ils établissent des bases militaires dans le monde entier il pourrait se produire n'importe où (voir Tigre accroupi etc.). Les conflits futurs auront des aspects de hardkill et de softkill avec les objectifs déclarés du CCP pour souligner la cyberguerre en piratant et paralysant des systèmes de commande de toutes les communications militaires et industrielles, équipements, centrales électriques, satellites, internet, banques, et tout appareil ou véhicule connecté au réseau. Les SS sont lentement sur le terrain d'un éventail mondial de sous-marins de surface et autonomes habités et autonomes ou des drones capables de lancer des armes conventionnelles ou nucléaires qui peuvent rester en sommeil en attendant un signal de la Chine ou même à la recherche de la signature de navires ou d'avions américains. Tout en détruisant nos satellites, éliminant ainsi la communication entre les États-Unis et nos forces dans le monde entier, ils utiliseront les leurs, en conjonction avec des drones pour cibler et détruire nos forces navales actuellement supérieures. Bien sûr, tout cela est de plus en plus fait automatiquement par l'IA. (shrink)

The hypothesis that we want to test is whether the Kantian revolution, based on a Copernican-type hypothesis, is a revolution in the Kuhnian sense of “scientific revolution”. By answering it we accomplish the two aims of this paper: to draw a recuperative and justificatory perspective to the fundamental ideas from Thomas Kuhn’s Structure of Scientific Revolutions, related in particular to the refutation of Larry Laudan’s criticism on it and, by our own Kuhn-type reconstruction of the term “Copernican revolution” attributed to (...) Kant, to demonstrate the nominal hypothesis formulated above. Accordingly, we argue not only that, with Kant, we find analogously the Kuhntype model of revolution, and that the results of his revolutionary hypothesis on how reporting to the object coincide not only with the results provided by science and with their scientific status; but also that it is consistent with the model provided by Kuhn . (shrink)

Gettier cases are used to show that having a justified true belief is not sufficient for knowledge. They are cases in which an epistemic agent has a belief that is both justified and true, but intuitively cannot be taken to count as knowledge. Modal epistemology is the field of philosophy that tackles questions regarding the sources of our knowledge of modalities (possibility and necessity) and what offers justification for beliefs about what is possible or necessary. Part of the tradition in (...) modal epistemology is to consider conceivability as a guide to metaphysical possibility. As such, if an agent can conceive that P, then the agent is justified to believe that P is metaphysically possible. In this paper I will discuss the possibility of constructing Gettier cases for a tripartite, conceivability-based, definition of modal knowledge. (shrink)

This paper represents an attempt to correlate the concept of hope with the notion of human longevity and reflects the actual debates around the problem of life extension. Our analysis combines ideas from philosophy, sociology, bioethics, and religion to illustrate the problem of longevity in the context of biomedical and technological progress, and - at the same time - to show the (possible) consequences of prolonging life over the human body limits. Extending human life through emerging technologies is much closer (...) to us than we might think and is a particularly challenging topic. (shrink)

In this paper I argue for the following two related claims. First, the science of phoronomy from Kant's Metaphysical Foundations of Natural Science is grounded in the duplication of space. Second, this duplication is made possible through the self-localization of the subject, as Kant shows in the "Gegnden-Schrift". The thesis of this paper is that the self-localization transforms space into an object that can be cinematically moved and that this action sets the ground for a science of phoronomy, which presupposes (...) the existence of at least two spaces. In the end, the other endpoint of the Kantian determination of space is discussed, namely space understood as an idea of reason. (shrink)

This paper aims to show that Lessing develops in his aesthetics a pre-Kantian philosophy of consciousness. The concept of virtuality that the german writer puts forward in his essay Laocoon implies an interweaving of temporal dimensions similar to the threefold temporal synthesis described by Kant in the transcendental deduction of the Critique of Pure Reason. But whereas Kant thematizes an a priori of consciousness, Lessing is in search of an a priori of plastic art. It will be seen that perfect (...) sculpture presupposes the choice of that moment in time which can open the imagination to the past and the future in a way that enriches the present by transforming it into a "pregnant moment". The final aim of the article is to trace the genesis of the concept of simultaneity of temporal dimensions presupposed by the idea of the pregnant moment, and its implications for the idea of the temporality of consciousness. (shrink)

In the Critique of Pure Reason, Kant develops a metametaphysical view concerning the domain and source of a distinctively metaphysical cognition of objects of experience, which is given in terms of an analysis of our representational capacity for thought, namely, the understanding, regarding its sub-capacities and their constitutive abilities and acts. In the Analytic of Concepts, more precisely, in the Metaphysical and Subjective Deductions of the Categories, Kant develops an elaborate account of the content and formation of those metaphysical concepts (...) of an object in general through which there is genuine philosophical cognition of objects of experience, namely, the categories. Relating the Analytic of Concepts to the Doctrine of Method, I give a detailed reconstruction of this account in contrast to both empirical and mathematical concepts. I do so by establishing, for the first time (in English) that and how the representational contents of the categories, as general representations of objects, derive from fundamental abilities and acts of a synthesis of an empirical intuition that the understanding contributes to experiences of objects, which thus yield the original contents of the categories. In particular, I argue that the threefold synthesis of the fundamental act-types of the apprehension, reproduction, and recognition of a manifold of sense-impressions, presented in the A-Deduction, holds the key to understanding the origin of the categories, or concepts of an object in general, investigated in their Metaphysical Deduction. It turns out that the threefold synthesis, as it is exercised regarding a manifold of sense-impressions in an empirical intuition of an object, can indeed account for the representational contents of the categories of Quality (apprehension), Quantity (reproduction), Relation (recognition), and Modality (relating to the object through a manifold of sense-impressions). In this sense, the categories are “concepts of synthesis” (A80/B106) or “concepts of the synthesis of possible sensations” (A723/B751). (shrink)

Franz Brentano is not usually associated with mathematics. Generally, only Brentano’s discussion of the continuum and his critique of the mathematical accounts of it is treated in the literature. It is this detailed critique which suggests that Brentano had more than a superficial familiarity with mathematics. Indeed, considering the authors and works quoted in his lectures, Brentano appears well-informed and quite interested in the mathematical research of his time. I specifically address his lectures here as there is much less to (...) be found about mathematics in his published works. Besides Brentano’s own work, it is quite remarkable to see that practically all of his better-known students sooner or later produced a work on the philosophy of mathematics. This also encourages the supposition not just of a common interest in the matter, but of a common theoretical core. All this prompts the question: Can we speak of a Brentanist philosophy of mathematics? (shrink)

Besides his philosophical essays, Emil Cioran also maintained a vast correspondence. He sent and received numerous letters; from his parents and his brother Aurel, as well as from various personalities, friends and romantic interests. These represent a part of the philosopher’s personality which deserves to be organically integrated in the corpus of Cioran’s work and writings. Most of Cioran’s letters are inevitably literary; they preserve a productive ambiguity and express attitudes and feelings belonging to both the organic man and the (...) thinker who brushed against life. The letters thus appear as notes the philosopher sent from the underground of his being. The present text analyses two fragments of correspondence: with Alina Diaconu (1985–1989), a journalist and writer of Romanian origin settled in Argentina; and (in German) with the editor and philosopher Wolfgang Kraus (1971–1990). (shrink)

R. M. Chisholm interprets Brentano’s theory of intentionality through the lens of two theses: the ontological thesis, according to which the intentionality of the mental designates the fact that there is an immanent object in the act; and the psychological thesis, according to which intentionality consists of the direction of the mental act toward the extra-mental object. In my paper I interpret Chisholm’s and Brentano’s theses on intentionality from two perspectives: intentionality as the most salient distinguishing feature separating the mental (...) from the physical (Chisholm’s ontological thesis), and intentionality as a theory of the way in which mental acts with their content are related to extra-mental but theoretically-constructed objects of physics (Chisholm’s psychological thesis). Thus, an important issue of my paper is also to show that Chisholm’s well-known ontological and psychological theses on Brentanian intentionality rest on presuppositions that do not fit the program of Brentanian psychology. (shrink)

In the paper I will, first, address certain apparent tensions in relation to Kuhn’s legacy in the history of science. Kuhn was a historian before he became a philosopher of science. He had done and published historical work, he only had history graduate students, he imbued philosophy of science with historical considerations. And, yet, his widely acknowledged influence on the history of science came mostly through his philosophical work which is, nevertheless, brushed off by historians of science as making dated (...) overarching and generalizing claims when their own attention has been increasingly focusing on the local and the particular. Secondly, I will discuss how Kuhn used history, the facts of the past, in his historical philosophy of science and will present a reading that takes his model of science as a Wittgensteinian object of comparison. Lastly, I will argue that Kuhn’s philosophical work impacted developments in the historiography of science and the corresponding discipline. (shrink)

This article aims to question the anti-individualist stance in Carl Schmitt's concept of the political by uncovering the historical bias of Schmitt's anti-individualism, seen here as one of the main driving forces behind his argument. For Schmitt, the political can take place only when a collectivity is able to declare war to another collectivity on the basis of feeling existentially threatened by the latter. As such, Schmitt's framework implies the inescapable possibility of war, as the condition which makes possible the (...) political. Acknowledging the previous criticisms of Schmitt raised by John Rawls and Iris Marion Young, this article takes a different path by pointing to certain historically tacit assumptions in 1927 Germany which Schmitt took for granted, but which are not suitable for a contemporary political theory. The demonstration is done first by showing how the structure of interruption functions in the works of Schmitt, then showing how he conceives of the individual as a possible interruption of the political in history, and then placing this structure of interruption in the historical context of Schmitt's writing. (shrink)

Abstract. The neutral monism suggested by Constantin Rădulescu-Motru was a theoretical frame intended to match the general idea of Kant’s apriorism with the results reached by physics and psychology at the beginning of the 20th Key words: transcendental aesthetic; consciousness in general; empirical consciousness; psychophysical parallelism; phenomenal ontology; scientistic ontology.

As an alternative for causality – which modern science found to be rather construed than objective – Jung developed his idea of synchronicity according to the demands of a modern scientific approach of nature. As I will show in the following paper, even if he promised a complementary principle of explanation, he ended by offering a principle of reality. His attempt gave birth to a pretty vast literature that links Jung’s synchronicity to Bohr’s complementarity. I will show that such a (...) connection, although not entirely groundless, should be treated with caution as long as the two approaches of reality are on completely different bases. Keywords: Jung, Bohr, causality, the measurement problem, quantum epistemology. (shrink)

My paper focuses on what and how Kant had accomplished with his intended “re- form of metaphysics” through “reason’s entering the secure path of science”. In this respect, I will argue that the influence of (pure) sciences on Kant’s programme was a major one, and this may be best highlighted if one assumes that he developed his mature theory only in the B edi- tion of his Critique (1787), where the influence of the model of pure a priori sciences turn (...) to be decisive. This influence, as we already know, is closely related to the “reform of metaphysics” by “reason’s entering the secure path of science”. My claim is upheld also by the historical ar- gument that only in the Prolegomena (1783) and in the B edition of the Critique Kant explicitly conceived the idea of “metaphysics as science”. Therefore, the necessary steps in dealing with “metaphysics as science” must consider the A Critique, the Prolegomena, and the B Critique in this precise order. Assuming this order, my approach will involve three parts: in the first I will investigate the idea of the reform of metaphysics from the A Critique, in the second I will take into account “reason’s entering the secure path of science” (in the Prolegomena and the B Cri- tique), i.e., philosophy as science (the discipline within the B Critique); finally, I will argue that understanding Kant’s “idea of philosophy as science” can best be achieved by focusing on the role and place that pure sciences have in the transcendental philosophy of the B Critique, where its structure and content are themed and projected within the methodological frame of the “ex- periment of pure reason”. (shrink)

This article brings forth a new perspective concerning the relation between stupidity and thinking by proposing to conceptualise the state of non-thinking in two different ways, situated at the opposite ends of the spectrum of thinking. Two conceptualisations of stupidity are discussed, one critical which follows a French line of continental thinkers, and the other one which will be called educational or ascetic, following the work of Agamben. The critical approach is conceptualised in terms of seriality of thinking, or thinking (...) captured by an apparatus, whereas the ascetic-educational approach is discussed by tracing the links between studying and stupidity. Both accounts assume that stupidity as non-thinking is a condition for thinking, either placed before thinking emerges or as an after-thought. However, the political implications concerning the role of philosophy in the public realm are divergent: for the critical approach, the task of the philosopher is to criticise the world, whereas for the ascetic approach, the task is to work on one’s own self and hope that the world will be changed through thinking. The wider aim of this article is to contribute to the debate concerning the public role of the intellectual starting from the assumption that there is a duty to think publicly and then clarifying what this duty entails in relation to the self and the others. (shrink)

We investigate adverbial agreement in Sandəmarkesə (S. Marco in Lamis, Apulia) proposing phase-bound, local agreement relations, reducible to coordination, as in past and absolute participial constructions, suggesting a copulaless analysis where arguments are subjects in a small clause. With disjunct nominals with matching φ-features, the adverb agrees separately with each part in the set, otherwise resulting in ‘non-agreeing’ forms, which we test also with negative polarity items (niʃun-, ‘nobody’ and nentə, ‘nothing’). With fragment answers, the negation scopes over adverbs agreeing (...) with the two proposed topics: matching of the φ-features of both nouns values the negative operator with the same features. In fronted adverbs, agreement occurs when the question contains overt coordinated arguments, elements continuing a chain, and if coordinated arguments have matching φ-features. In agreement in topical contexts with fronted adverbs, agreement occurs with the aboutness-shift topic closely preceding them, rather than with the embedded direct object. (shrink)

The purpose of my paper is to challenge the binary classification of authenticity, which is currently employed in the bioethical debate on enhancement technologies. According to the standard dichotomy, there is a stark opposition between the self-discovery model, which depicts the self as a substantial and original inwardness, and the self-creation model, which assumes that the self is an open project, that has to be constituted by one’s free actions. My claim is that the so-called self-creation model actually conflates two (...) distinct versions of authenticity: one that is decisionist and one that is experimentalist. Hence, my proposal is to distinguish between three different models of authenticity: (i) self-discovery, which is an expressivist model of authenticity; (ii) existential commitment, which is a decisionist model; and (iii) reinvention of the self, which is an experimentalist model. Such a three-fold distinction will vast a more nuanced and clear light upon the enhancement debate. (shrink)

This study is dedicated to the chapter Metaphysics My 10, which, in my opinion, represents an example of basic research as regards Aristotle’s ontological investigations. The aim of my analysis is to point out that the chapter constitutes a manifesto for a new ontology: this new ontology is Aristotle’s typological ontology. The main entities of the typological ontology are universals, on the one hand, and instantiations of universals, on the other hand. The ontological levels, to which these two kinds of (...) entities belong, are different from each other: therefore they must be kept rigorously separated from each other. The new ontology constitutes a clear opposition to the ontology of ideas. In my opinion Aristotle does not aim at eliminating universals from the range of the existing entities: At least the universals which correspond to biological kinds (such as „man“ or „animal“) and to all the properties connected to these biological kinds are real entities, even though they do not exist at the same level at which the level of the instantiations do. Aristotle’s aim is thus to assign universals and individuals to different realms of reality. The reality consists both of individuals and of universals: these kinds of entities occupy different realms of reality. (shrink)

In my analysis I deal with some causes and origins of evil and of moral degeneration in the human dimension. My analysis focuses on Plato’s Republic. The origins and causes of the presence of injustice and of vice lie in the very structure of the human soul. The division of the soul into parts which are at least reciprocally independent of each other implies that there is the possibility that they are in conflict with each other. This is the origin (...) of injustice and the root of every form of evil. The correct equilibrium among the parts of the soul, which, in my opinion, are to be interpreted as authentic potencies, can be achieved only by developing the rational part. This development requires a thorough education in philosophy. Throughout my analysis I quote passages in which Plato points out the presence of bad instincts and, in general, of a morally difficult component in our soul. The kind of soul considered in my analysis is the embodied soul. (shrink)

Brentano never published on Bertrand’s paradox but claimed to have a solution. Adrian Maître has recovered from the Franz Brentano Archive Brentano’s remarks on his solution. They do not give us a worked demonstration of his solution but only an incomplete and in places obscure justification of it. Here I attempt to identify his solution, to explain what seem to me the clearly discernible parts of his justification and to discuss the extent to which the justification succeeds in the light (...) of current work on Bertrand’s paradox. (shrink)

In his Philosophy of Redemption (1876) Philipp Mainländer transforms the Schopenhauerian will-to-life into his own concept of will-to-death, preceding Freud’s investigations into the death drive in Beyond the Pleasure Principle (1920). Mainländer’s post-Schopenhauerian conception that non-being is preferable to being anticipates Cioran’s discussion of suicide from A Short History of Decay (1949) and his vision of the “catastrophe” of birth from The Trouble with Being Born (1973). If, from a Nietzschean perspective, Mainländer’s and Cioran’s obsession with death was a symptom (...) of passive nihilism, their thanatophilia may resonate with our anxious crepuscular mentality, prefiguring contemporary Antinatalism. (shrink)

This paper examines ethics in finance, specifically related to responsible investment. In recent years, socially responsible principles are becoming the de facto standard not only for socially responsible but also for profitable investing. For instance, the United Nations developed the Principles for Responsible Investment (PRI) in 2006, which require institutional investors to incorporate ESG (Environmental, Social and Governance) issues into investment analysis and decision-making processes. This raises the following question: can responsible investments be justified from an ethical point of view? (...) In this paper I first explain responsible investments. Then, I turn to the ethical foundation of responsible investments. There are two arguments for responsible investments. I argue that both fail. Therefore, my conclusion is that the ethical foundation of responsible investments is not firm. (shrink)

No matter how it is viewed, as a plausible version of anti-utilitarianism or of non-consequentialist, or even as a plausible version of deontology, the theory of prima facie duties certainly makes W. D. Ross one of the most important moral philosopher of the twentieth-century. By outlining his pluralistic deontology, this paper attempts to argue for a positive answer to the question of whether Ross’s theory can offer a solution to the issue of conflicting duties. If such a solution is convincing, (...) as I believe it is, it would indicate the possibility to justify within the deontological framework, i.e., without committing to the principle of good-maximizing, those “hard cases” where people should break a promise or other (prima facie) duty in order to prevent a disastrous outcome. The theory of prima facie duties might then suggest that deontology and utilitarianism would likely be reconcilable. (shrink)

This paper examines Aristotle’s analysis of unenacted capacities to show the role they play in his discovery of the concept of actuality. I first argue that Aristotle begins Metaphysics IX by focusing on active and passive capacities, after which I discuss Aristotle’s confrontation with the Megarians, the philosophers who maintain that a capacity is present only insofar as it is being enacted. Using Heidegger’s interpretation as a guide, I show that Aristotle’s rejection of the Megarian position leads him to propose (...) that presence cannot be confined to activity. I also argue that this provides the context for Aristotle to realize that the relation between capacity and activity can be generalized as the relation between two ways of being. (shrink)

The future rests under the sign of technology. Given the prevalence of technological neutrality and inevitabilism, most conceptualizations of the future tend to ignore moral problems. In this paper we argue that every choice about future technologies is a moral choice and even the most technology-dominated scenarios of the future are, in fact, moral provocations we have to imagine solutions to. We begin by explaining the intricate connection between morality and the future. After a short excursion into the history of (...) Artificial Intelligence, we analyse two possible scenarios, which show that building the future with technology is, first and foremost, a moral endeavor. (shrink)