Au fil du temps, la théorie de la relativité générale a accumulé plusieurs anomalies, indiquant la nécessité de meilleures théories sur la gravité ou d'autres approches. Les hypothèses ad hoc introduites en relativité générale pour expliquer les singularités gravitationnelles basées sur les conditions énergétiques ne sont pas très efficaces. Des hypothèses plus détaillées sur le contenu du sujet sont nécessaires . De nombreux scientifiques et philosophes sont parvenus à la conclusion que les singularités doivent être associées (...) à l'atteinte des limites de la validité physique de la relativité générale et qu'une nouvelle théorie, la gravité quantique, doit être développée. DOI: 10.13140/RG.2.2.12877.26085. (shrink)

Au milieu des années 1970, de nombreuses théories alternatives de la gravité ont été confirmées par des expériences au niveau du système solaire, mais pas au niveau cosmologique. En 1974, Joseph Taylor et Russell Hulse ont découvert le pulsar binaire , dont les impulsions extrêmement stables ont été surveillées par radiotélescope, permettant une mesure précise des paramètres astrophysiques. En 1978, le taux de changement de la période orbitale du système a été mesuré, ce qui a été confirmé par la (...) class='Hi'>relativité générale mais pas par la plupart des théories alternatives. DOI: 10.13140/RG.2.2.30141.69606. (shrink)

Dans la vision classique, l'espace et le temps sont des conteneurs ; la matière est le contenu. La propriété distinctive de la matière est qu'elle transporte de l'énergie et des impulsions, préservée dans le temps, ce qui donne à ces impulsions un caractère ontologique fondamental. La relativité générale a généré diverses interprétations philosophiques anciennes. Ses adhérents ont mis en avant la « relativisation de l'inertie » et le concept de simultanéité, les kantiens et les néo-kantiens ont souligné l'approche (...) de certaines « formes intellectuelles » synthétiques (en particulier le principe de covariance générale), et les empiriques logiques ont souligné la signification philosophique méthodologique de la théorie. DOI: 10.13140/RG.2.2.11533.38886. (shrink)

Les premières interprétations philosophiques de la théorie de la relativité générale sont très diverses, chacune essayant d'identifier Einstein comme un adepte de cette philosophie. Les partisans de Mach ont souligné la tentative d'Einstein de mettre en œuvre une « relativisation de l'inertie » dans la théorie générale, et son approche opérationnaliste de la simultanéité. Les kantiens et les néo-kantiens ont montré l'importance des « formes intellectuelles » synthétiques dans la théorie générale, en particulier le principe de (...) covariance générale. Les empiristes logiques ont mis l'accent sur la méthodologie de la théorie, les conventions pour exprimer le contenu empirique. DOI: 10.13140/RG.2.2.15367.42404 . (shrink)

Les singularités de la relativité générale résultant de la résolution des équations d'Einstein ont été et font encore l'objet de nombreux débats scientifiques : existe-t-il des singularités dans l'espace-temps ou pas ? Big Bang a été une singularité initiale ? Si les singularités existent, quelle est leur ontologie ? La théorie générale de la relativité est-elle une théorie qui a montré ses limites dans ce cas ? Dans cet essai, je soutiens qu'il existe des singularités et (...) que la théorie de la relativité générale, comme toute autre théorie scientifique à l'heure actuelle, n'est pas valable pour les singularités. Toutefois, comme le pensent certains scientifiques, cela ne signifie pas pour autant qu’il doit être considéré comme obsolète. Après une brève présentation des aspects spécifiques de la théorie classique newtonienne et de la théorie de la relativité spéciale et une brève présentation de la théorie de la relativité générale, le chapitre Ontologie de la relativité générale présente les aspects ontologiques de la relativité générale. Le chapitre suivant, Singularités, est consacré à la présentation des singularités aboutissant à la relativité générale, aux aspects spécifiques des trous noirs et de l’horizon des événements, y compris le débat Big Bang en tant que singularité d’origine et aux arguments en faveur de l’existence de ces singularités. Dans l'Ontologie des singularités, je parle des possibilités d'encadrement ontologique des singularités en général et des trous noirs en particulier, de l'argument du trou mis en évidence par Einstein, et des arguments présentés par les scientifiques selon lesquels il n'y a pas de singularités et donc que la théorie générale de la relativité est dans l'impasse. Dans Conclusions, je décris et résume brièvement les arguments qui soutiennent mes vues ci-dessus. -/- TABLE: -/- Abstract Introduction - La théorie classique et la relativité restreinte - La relativité générale 1. Ontologie de la relativité générale 2. Singularités - 2.1 Trous noirs - - 2.1.1 Horizon des événements - 2.2 Big Bang - 2.3 Y a-t-il des singularités ? 3. L'ontologie des singularités - Ontologie des trous noirs - L'argument du trou - Il n'y a pas des singularités Conclusions Notes Bibliographie -/- Mots-clés : relativité générale, théorie de la relativité générale, Albert Einstein, singularités, trou noir, horizon des événements, Big Bang, cosmologie, gravité -/- DOI: 10.13140/RG.2.2.28102.01606 . (shrink)

Albert Einstein a proposé trois tests de relativité générale, appelés plus tard les tests classiques de relativité générale, en 1916 : la précession de l'orbite de Mercure, la déviation de la lumière du soleil, et le décalage vers le rouge gravitationnel de la lumière. Dicke et Schiff ont établi un cadre pour tester la relativité générale , y compris par le biais d'expériences nulles et en utilisant la physique de l'exploration spatiale, de l'électronique et (...) de la matière condensée, comme l'expérience Pound-Rebka et l'interférométrie laser. DOI: 10.13140/RG.2.2.33735.93607. (shrink)

La théorie de la relativité spéciale d'Einstein repose sur deux postulats fondamentaux : le postulat de la lumière (la vitesse de la lumière, dans le « cadre de repos », est indépendante de la vitesse de la source), et le principe de la relativité. Cette dernière a été explicitement adoptée par Einstein comme moyen de restreindre la forme des lois, quelle que soit leur structure détaillée. Ainsi, nous avons la différence entre une théorie « constructive » et une (...) théorie « principale ». DOI: 10.13140/RG.2.2.13383.32166 . (shrink)

Les scientifiques espèrent qu'à l'avenir ils pourront tester des trous noirs en observant les effets causés par un fort champ gravitationnel à proximité, comme la lentille gravitationnelle. Il existe déjà des observations sur les lentilles gravitationnelles faibles, dans lesquelles les rayons lumineux sont déviés en quelques secondes seulement, mais jamais directement pour un trou noir. Il existe plusieurs candidats à cet effet, en orbite autour du Sagittaire A*. Plusieurs conjectures ad hoc ont été introduites pour mieux expliquer les observations de (...) candidats de trous noirs astronomiques identiques, mais avec des mécanismes de fonctionnement différents : gravastar, étoile noire (gravité semi-classique) , étoile à énergie noire, etc. DOI: 10.13140/RG.2.2.27478.06723. (shrink)

Selon la relativité générale, la force gravitationnelle est une manifestation de la géométrie de l'espace-temps local. RG est une théorie métrique de la gravité. Il est basé sur les équations d'Einstein, qui décrivent la relation entre la géométrie d'une variété pseudo-riemannienne à quatre dimensions, représentant l'espace-temps et l'énergie-impulsion contenu dans cet espace-temps. La gravité correspond aux modifications des propriétés spatiales et temporelles, qui à leur tour modifient les chemins des objets. La courbure est causée par l'énergie-impulsion de la (...) matière. Selon John Archibald Wheeler, l'espace-temps indique à la matière comment se déplacer, et la matière indique à l'espace-temps comment se courber. DOI: 10.13140/RG.2.2.23756.26249. (shrink)

This is Vol. I in French. Vol. II in English is available separately from this website. -/- The principal objective of the work is to construct an analytically precise methodology which can serve to identify, eliminate, and avoid a certain widespread conceptual fault or misconstruction, called a "projective misconstruction" or "projection" by the author. -/- It is argued that this variety of error in our thinking (i) infects a great number of our everyday, scientific, and philosophical concepts, claims, and theories, (...) (ii) has largely been undetected, and (iii), when remedied, leads to a less controversial and more rigorous elucidation of the transcendental preconditions of human knowledge than has traditionally been possible. -/- The dissertation identifies, perhaps for the first time, a projective variety of self-referential inconsistency, and proposes an innovative, self-reflexive approach to transcendental argument in a logical and phenomenological context. The strength of the approach lies, it is claimed, in the fact that a rejection of the approach is possible only on pain of self-referential inconsistency. The argument is developed in the following stages: -/- A general introduction identifies the central theme of the work, defines the scope of applicability of the results reached, and sketches the direction of the studies that follow. The preliminary discussion culminates in a recognition of the need for a critique of impure reason. -/- The body of the work is divided into two parts: Section I seeks to develop a methodology, on a purely formal basis, which is, on the one hand, capable of being used to study the transcendental foundations of the special sciences, including its own proper transcendental foundation. On the other hand, the methodology proposed is intended as a diagnostic and therapeutic tool for dealing with projective uses of concepts. -/- The approach initiates an analysis of concepts from a perspective which views knowledge as coordination. Section I describes formal structures that possess the status of preconditions in such a coordinative account of knowledge. Special attention is given to the preconditions of identifying reference to logical particulars. The first section attempts, then, to provide a self-referential, transcendental methodology which is essentially revisionary in that it is motivated by a concern for conceptual error-elimination. -/- Phenomenology, considered in its unique capacity as a self-referential, transcendental discipline, is of special relevance to the study. Section II accordingly examines a group of concepts which come into question in connection with the central theme of phenomenological constitution. The "de-projective methodology" developed in Section I is applied to these concepts that have a foundational importance in transcendental phenomenology. A translation is, in effect, proposed from the language of consciousness to a language in which preconditions of referring are investigated. The result achieved is the elimination of self-defeating, projective concepts from a rigorous, phenomenological study of the constitutive foundations of science. -/- The dissertation was presented in a two volume, double-language format for the convenience of French and English researchers. Each volume contains an analytical index. (shrink)

La relativité générale permet les singularités et nous devons comprendre l'ontologie si nous voulons comprendre la nature de l'espace et du temps dans l'univers d'aujourd'hui. Bien que certains physiciens pensent que les singularités indiquent un échec de la relativité générale, d'autres pensent que les singularités ouvrent un nouvel horizon dans la cosmologie, avec de réels phénomènes physiques pouvant contribuer à un progrès profond dans notre compréhension du monde. DOI: 10.13140/RG.2.2.24491.18728 .

Une géodésie spatio-temporelle pervertie résulte des notions de règles et d’horloges variables, qui sont prises pour avoir leur longueur et leur rythme affectés par le champ gravitationnel. D’autre part ce que nous pourrions appeler une géodésie concrète repose sur les notions de règles et d’horloges invariables de mesure d’unité. En fait, il s’agit d’une hypothèse de base de la relativité générale. Les règles et les horloges variables conduisent à une géodésie pervertie dans le sens où un espace-temps courbe (...) pourrait être vu comme provenant du départ de l’espace-temps Minkowskien comme un effet du champ gravitationnel sur le rythme d’horloges et la longueur des règles. Dans le cas d’une géodésie concrète, nous avons « directement » un espace-temps courbe dont la courbure peut être déterminée en utilisant des règles et des horloges de mesure d’unité (invariables). Dans cet article, nous défendrons la plausibilité que le point de vue d’Einstein sur la géométrie par rapport à la relativité générale est imprégné par une géodésie pervertie. (shrink)

We discuss the usual account of causal structure that relies on the temporal precedence constraint between cause-effect pairs. In particular, we consider the subtle interplay between local and global characters of time and causality encoded in General Relativity. We find that the temporal precedence constraint must be relaxed. We argue that these results could lead to an enriched structure of the physical causality.

L'éternalisme, la thèse selon laquelle les entités que nous catégorisons comme étant passées, présentes et futures existent tout autant, est la meilleure approche ontologique de l'existence temporelle qui soit en accord avec les théories de la relativité restreinte et de la relativité générale. Cependant, les théories de la relativité restreinte et générale ne sont pas fondamentales si bien que plusieurs programmes de recherche tentent de trouver une théorie plus fondamentale de la gravité quantique rassemblant tous (...) les enseignements de la physique relativiste et de la physique quantique. Certaines de ces approches soutiennent que le temps n'est pas fondamental. Toutefois, si le temps n'est pas fondamental, quelles en sont les conséquences pour l'éternalisme et les débats sur l'existence dans le temps ? Premièrement, je soutiendrai que la non-fondamentalité du temps que l'on rencontre dans la théorie des cordes mène à l'éternalisme standard. Deuxièmement, je soutiendrai que la non-fondamentalité du temps rencontrée dans la gravité quantique à boucles implique l'éternalisme atemporel, à savoir une nouvelle position qui demeure fidèle à l'esprit de l'éternalisme standard. (shrink)

Dans l'interprétation de la gravité quantique canonique, la gravité apparaît comme une pseudoforce géométrique, elle est réduite à la géométrie espace-temps et devient un simple effet de la courbure de l'espace-temps . Le formalisme canonique ne confirme pas cette interprétation. La relativité générale associe la gravité à l'espace-temps, mais le type d'association n'est pas fixé. La gravité quantique à boucles tente d'unifier la gravité avec les trois autres forces fondamentales en commençant par la relativité et en ajoutant (...) des traits quantiques. Il est basé directement sur la formule géométrique d'Einstein. DOI: 10.13140/RG.2.2.31502.18240. (shrink)

Le programme de recherche sur la théorie des cordes est basé sur l'hypothèse de 1930 que la relativité générale ressemble à la théorie d'un champ de spin-deux sans masse dans l'espace plat minkowskian . La quantification d'une telle théorie s'est avérée être renormalisable sans perturbation, impliquant une infinité qui ne peut être éliminée. Cette première théorie a été abandonnée jusqu'au milieu des années 1970, lorsqu'elle s'est développée en tant que théorie des cordes unidimensionnelle. Plus tard, a été développé (...) la théorie des supercordes, basé sur la supersymétrie entre les bosons et les fermions, puis est apparu d'autres versions de la théorie. Au milieu des années 1990, les scientifiques se sont concentrés sur le développement d'un programme de recherche unificateur, une théorie à onze dimensions appelée la théorie M. DOI: 10.13140/RG.2.2.32024.32000. (shrink)

Plusieurs théories unificatrices ont été proposées. Une grande unification implique l'existence d'une force électronucléaire. La dernière étape de l'unification nécessiterait une théorie qui inclue à la fois la mécanique quantique et la gravité par la relativité générale (« la théorie finale »). Après 1990, certains physiciens considèrent que la théorie M à 11 dimensions, souvent identifiée à l'une des cinq théories des supercordes perturbateurs, ou parfois à la supergravité à supersymétrie maximale supersymétrique à 11 dimensions, est la théorie (...) finale. L'idée de la théorie M s'inspire des idées de la théorie de Kaluza-Klein, dans laquelle il a été constaté que l'utilisation d'un espace-temps à 5 dimensions pour la relativité générale (une des dimensions étant petite) est vue, du point de vue à 4 dimensions, comme la relativité générale habituelle avec l'électrodynamique de Maxwell. DOI: 10.13140/RG.2.2.30364.62084. (shrink)

Le test primordial de toute théorie quantique de la gravité est la reproduction des succès de la relativité générale. Cela implique de reconstruire la géométrie locale à partir des observables non locaux. De plus, la gravité quantique devrait probablement prédire la topologie à grande échelle de l'Univers, qui pourrait bientôt être mesurable , et les phénomènes à l'échelle de Planck. Il existe déjà une prédiction liée à la gravité quantique: l'existence et le spectre du rayonnement Hawking du trou (...) noir, une prédiction « semi-classique » résultant de la théorie des champs quantiques sur un fond incurvé fixe, et confirmée ensuite théoriquement . On suppose qu'une théorie de la gravité qui ne reproduira pas cette prédiction est erronée. DOI: 10.13140/RG.2.2.11424.40965 . (shrink)

Les modèles cosmologiques actuels sont construits sur la base de la relativité générale. Les solutions des équations spécifiques, Friedmann-Lemaître-Robertson-Walker, permettent de modéliser l'évolution de l'univers à partir du Big Bang . Certains paramètres de l'univers ont été établis par des observations. Sur la base de ces données et d'autres données d'observation, les modèles peuvent être testés . Les observations sur la vitesse d'expansion de l'univers permettent d'estimer la quantité totale de matière, dont certaines théories prédisent que 90% sont (...) de la matière noire, avec de masse mais sans interactions électromagnétiques, et ne peuvent pas être directement observées. DOI: 10.13140/RG.2.2.30980.96641 . (shrink)

Comme la théorie des cordes n'a jusqu'à présent pas pu expliquer les phénomènes, il peut sembler que cela confirme l'opinion de Feyerabend selon laquelle il n'y a pas de « méthode » de la science. Et pourtant, la théorie des cordes est toujours le programme de recherche le plus actif pour la gravité quantique. Mais, par rapport à d'autres théories non falsifiables, cela a quelque chose de plus, en particulier : le langage mathématique, avec une logique claire de décoctions. Jusqu'à (...) un certain point, il peut reproduire les théories de jauge classiques et la relativité générale. Et il y a de l'espoir que dans un avenir pas trop lointain, des expériences pourront être développées pour tester la théorie. DOI: 10.13140/RG.2.2.28282.21443 . (shrink)

Lorsque la densité du corps devient suffisamment importante, la relativité générale prédit la formation d'un trou noir. Les étoiles à neutrons d'environ 1,4 masses solaires et les trous noirs sont l'état final de l'évolution des étoiles massives . Habituellement, un trou noir dans une galaxie a joué un rôle important dans sa formation et les structures cosmiques associées. De tels corps fournissent un mécanisme efficace pour l'émission de rayonnement électromagnétique et la formation de microquasars . L'accrétion peut conduire (...) à des jets relativistes. La relativité générale permet la modélisation de ces phénomènes, confirmée par des observations. DOI: 10.13140/RG.2.2.27476.42888. (shrink)

Il existe trois problèmes majeurs dans la conception d'une théorie de la gravité quantique: la théorie quantique et la relativité générale présentent en elles-mêmes des problèmes conceptuels importants, les bases fondamentales disparates des deux théories génèrent de nouveaux problèmes majeurs en essayant de les combiner, et le contraste entre l'absence d'une théorie de la gravité quantique satisfaisante et des théories des ingrédients réussis soulèvent des questions sur la nature et la fonction de la discussion philosophique de la gravité (...) quantique. DOI: 10.13140/RG.2.2.31430.91203. (shrink)

Immédiatement après l'élaboration et le succès de la relativité générale, des théories alternatives pour la gravité ont commencé à apparaître. En développant ces théories, de nombreuses stratégies différentes (heuristiques positives) ont été essayées, en ajoutant de nouvelles hypothèses à la RG, en utilisant un espace-temps pour lequel l'univers est statique, des hypothèses qui éliminent les singularités gravitationnelles, etc. Pour l'évaluation des modèles de gravité, plusieurs séries de tests ont été proposées. Le formalisme paramétrisé post-newtonien (PPN) détaille les paramètres (...) qui différencient les théories de la gravité, dans le champ gravitationnel faible et des vitesses bien inférieures à la vitesse de la lumière. DOI: 10.13140/RG.2.2.32001.28000. (shrink)

À propos de la possibilité de voyager dans le temps sur la base de plusieurs ouvrages spécialisés, notamment ceux de Nicholas J. J. Smith (« Time Travel »), William Grey (« Troubles with Time Travel »), Ulrich Meyer (« Explaining causal loops »), Simon Keller and Michael Nelson (« Presentists should believe in time-travel »), Frank Arntzenius and Tim Maudlin (« Time Travel and Modern Physics »), et David Lewis (« The Paradoxes of Time Travel »). L'article commence par une (...) Introduction dans laquelle je fais une brève présentation du voyage dans le temps et poursuit par une Histoire du concept de voyage dans le temps, les principaux aspects physiques du voyage dans le temps, y compris les voyages dans le temps dans le passé dans la relativité générale et la physique quantique , et les voyages dans le temps dans le futur, puis une présentation du Paradoxe du grand-père abordé dans presque toutes les œuvres spécialisées, suivie d’une section consacrée à la Philosophie du voyage dans le temps et d’une section dans laquelle j’analyse les Boucles causales pour le voyage dans le temps. Je termine mon travail avec Conclusions, dans laquelle je maintiens mes opinions personnelles sur le voyage dans le temps et la Bibliographie sur laquelle repose le travail. -/- TABLE: -/- Abstract Introducere Istoria conceptului de călătorie în timp Paradoxul bunicului Filosofía călătoriei în timp Buclele cauzale Concluzii Note Bibliografie -/- DOI: 10.13140/RG.2.2.27116.51841. (shrink)

Les singularités gravitationnelles dans la relativité générale sont des emplacements dans l'espace-temps où le champ gravitationnel devient infini. Les courbes scalaires invariantes de l'espace-temps incluent une mesure de la densité de la matière. Certains physiciens et philosophes estiment que, du fait que la densité de la matière tend vers l'infini dans la singularité, les lois de l'espace-temps ne sont plus valables là-bas. Le Big Bang est une singularité gravitationnelle acceptée presque unanimement en astrophysique et en cosmologie, en tant (...) que premier état de l'univers. DOI: 10.13140/RG.2.2.32661.06886. (shrink)

L'évolution des tests gravitationnels dans une perspective épistémologique encadré dans le concept de reconstruction rationnelle d'Imre Lakatos, fondée sur sa méthodologie de programmes de recherche. Contrairement à d'autres travaux sur le même sujet, la période évaluée est très longue, allant de la philosophie naturelle de Newton aux théories de la gravité quantique d'aujourd'hui. Afin d'expliquer de manière plus rationnelle l'évolution complexe du concept de gravité du siècle dernier, je propose une extension naturelle de la méthodologie des programmes de recherche que (...) j'utilisais ensuite au cours de la communication. Je pense que cette approche offre une nouvelle perspective sur la manière dont le concept de gravité et les méthodes de test de chaque théorie de la gravité ont évalué dans le temps, par le biais d'observations et d'expériences. Je soutiens, sur la base de la méthodologie des programmes de recherche et des études des scientifiques et des philosophes, que les théories actuelles de la gravité quantique sont dégénératives, en raison du manque de preuves expérimentales sur une longue période et d'auto-immunisation contre la possibilité de la réfutabilité. De plus, un courant méthodologique est en cours de développement, attribuant un rôle secondaire, sans importance, aux vérifications par le biais d'observations et / ou d'expériences. Pour cette raison, il ne sera pas possible d'avoir une théorie complète de la gravité quantique sous sa forme actuelle qui inclura à la limite la relativité générale, car les théories physiques ont toujours été ajustées, au cours de leur évolution, sur la base d'essais d'observation ou expérimentaux, et vérifiées par les prédictions effectuées. En outre, contrairement à une opinion répandue et aux programmes en cours concernant l'unification de toutes les forces fondamentales de la physique dans une théorie finale unique, basée sur la théorie des cordes, je soutiens que cette unification est généralement improbable et, de toute façon, impossible pour que l'unification soit développée sur la base des théories actuelles de la gravité quantique, y compris la théorie des cordes. En outre, je partage l’avis de certains scientifiques et philosophes selon lequel on consacre actuellement trop de ressources à l’idée de développer des théories de la gravité quantique, et en particulier de la théorie des cordes, qui devrait inclure la relativité générale et unifier la gravité avec d’autres forces, en particulier conditions dans lesquelles la science n’impose pas de tels programmes de recherche. (shrink)

Many scientists routinely generalize from study samples to larger populations. It is commonly assumed that this cognitive process of scientific induction is a voluntary inference in which researchers assess the generalizability of their data and then draw conclusions accordingly. We challenge this view and argue for a novel account. The account describes scientific induction as involving by default a generalization bias that operates automatically and frequently leads researchers to unintentionally generalize their findings without sufficient evidence. The result is unwarranted, overgeneralized (...) conclusions. We support this account of scientific induction by integrating a range of disparate findings from across the cognitive sciences that have until now not been connected to research on the nature of scientific induction. The view that scientific induction involves by default a generalization bias calls for a revision of the current thinking about scientific induction and highlights an overlooked cause of the replication crisis in the sciences. Commonly proposed interventions to tackle scientific overgeneralizations that may feed into this crisis need to be supplemented with cognitive debiasing strategies against generalization bias to most effectively improve science. (shrink)

I present and defend the generalized selected effects theory (GSE) of function. According to GSE, the function of a trait consists in the activity that contributed to its bearer’s differential reproduction, or differential retention, within a population. Unlike the traditional selected effects (SE) theory, it does not require that the functional trait helped its bearer reproduce; differential retention is enough. Although the core theory has been presented previously, I go significantly beyond those presentations by providing a new argument for GSE (...) and defending it from a recent objection. I also sketch its implications for teleosemantics and philosophy of medicine. (shrink)

According to Intellectualism knowing how to V is a matter of knowing a suitable proposition about a way of V-ing. In this paper, I consider the question of which ways of acting might figure in the propositions which Intellectualists claim constitute the object of knowledge-how. I argue that Intellectualists face a version of the Generality Problem – familiar from discussions of Reliabilism – since not all ways of V-ing are such that knowledge about them suffices for knowledge-how. I consider various (...) responses to this problem, and argue that none are satisfactory. (shrink)

Vogel argues that sensitivity accounts of knowledge are implausible because they entail that we cannot have any higher-level knowledge that our beliefs are true, not false. Becker and Salerno object that Vogel is mistaken because he does not formalize higher-level beliefs adequately. They claim that if formalized correctly, higher-level beliefs are sensitive, and can therefore constitute knowledge. However, these accounts do not consider the belief-forming method as sensitivity accounts require. If we take bootstrapping as the belief-forming method, as the discussed (...) cases suggest, then we face a generality problem. Our higher-level beliefs as formalized by Becker and Salerno turn out to be sensitive according to a wide reading of bootstrapping, but insensitive according to a narrow reading. This particular generality problem does not arise for the alternative accounts of process reliabilism and basis-relative safety. Hence, sensitivity accounts not only deliver opposite results given different formalizations of higher-level beliefs, but also for the same formalization, depending on how we interpret bootstrapping. Therefore, sensitivity accounts do not fail because they make higher-level knowledge impossible, as Vogel argues, and they do not succeed in allowing higher-level knowledge, as Becker and Salerno suggest. Rather, their problem is that they deliver far too heterogeneous results. (shrink)

Scientists may sometimes generalize from their samples to broader populations when they have not yet sufficiently supported this generalization. Do such hasty generalizations also occur in experimental philosophy? To check, we analyzed 171 experimental philosophy studies published between 2017 and 2023. We found that most studies tested only Western populations but generalized beyond them without justification. There was also no evidence that studies with broader conclusions had larger, more diverse samples, but they nonetheless had higher citation impact. Our analyses reveal (...) important methodological limitations of many experimental philosophy studies and suggest that philosophical training may not protect against hasty generalizations. (shrink)

[Edited from Conclusion section:] We have looked at various challenging issues to do with getting connectionism to cope with high-level cognitive activities such a reasoning and natural language understanding. The issues are to do with various facets of generalization that are not commonly noted. We have been concerned in particular with the special forms these issues take in the arena of propositional attitude processing. The main problems we have looked at are: (1) The need to construct explicit representations of generalizations, (...) not just generalize correctly to individual cases; (2) The need to be able to match two or more complex short-term information structures, to enable rapid generalization from recent examples rather than from long-term memories; (3) The need to represent and reason with anomalous combinations of concepts; (4) The need to perform embedded reasoning. This presents special problems for systems using non-concatenative representations (as in mainstream connectionist approaches). We also touched on vague quantification in attitude report complements. Neither this topic nor that of analogies between short-term structures (point 2) has been adequately addressed in the symbolic framework, let alone in connectionism. -/- The opportunities and problems covered are put forward as things worth being optimistic about or pessimistic about, respectively. They are not put forward as decisive arguments for or against connectionism. The hope is that this chapter contributes to a greater understanding of the connectionist/symbolist gap by presenting some unusual issues and by throwing new light on some well known ones. (shrink)

We generalize, by a progressive procedure, the notions of conjunction and disjunction of two conditional events to the case of n conditional events. In our coherence-based approach, conjunctions and disjunctions are suitable conditional random quantities. We define the notion of negation, by verifying De Morgan’s Laws. We also show that conjunction and disjunction satisfy the associative and commutative properties, and a monotonicity property. Then, we give some results on coherence of prevision assessments for some families of compounded conditionals; in particular (...) we examine the Fréchet-Hoeffding bounds. Moreover, we study the reverse probabilistic inference from the conjunction Cn+1 of n + 1 conditional events to the family {Cn,En+1|Hn+1}. We consider the relation with the notion of quasi-conjunction and we examine in detail the coherence of the prevision assessments related with the conjunction of three conditional events. Based on conjunction, we also give a characterization of p-consistency and of p-entailment, with applications to several inference rules in probabilistic nonmonotonic reasoning. Finally, we examine some non p-valid inference rules; then, we illustrate by an example two methods which allow to suitably modify non p-valid inference rules in order to get inferences which are p-valid. (shrink)

What explains the truth of a universal generalization? Two types of explanation can be distinguished. While an ‘instance-based explanation’ proceeds via some or all instances of the generalization, a ‘generic explanation’ is independent of the instances, relying instead on completely general facts about the properties or operations involved in the generalization. This intuitive distinction is analyzed by means of a truthmaker semantics, which also sheds light on the correct logic of quantification. On the most natural version of the semantics, this (...) analysis vindicates some claims made—without a proper defense—by Michael Dummett, Solomon Feferman, and others. Where instance-based explanations are freely available, classical logic is shown to be warranted. By contrast, intuitionistic logic remains warranted regardless of what explanations are available. (shrink)

Lipsey and Lancaster's "general theory of second best" is widely thought to have significant implications for applied theorizing about the institutions and policies that most effectively implement abstract normative principles. It is also widely thought to have little significance for theorizing about which abstract normative principles we ought to implement. Contrary to this conventional wisdom, I show how the second-best theorem can be extended to myriad domains beyond applied normative theorizing, and in particular to more abstract theorizing about the normative (...) principles we should aim to implement. I start by separating the mathematical model used to prove the second-best theorem from its familiar economic interpretation. I then develop an alternative normative-theoretic interpretation of the model, which yields a novel second best theorem for idealistic normative theory. My method for developing this interpretation provides a template for developing additional interpretations that can extend the reach of the second-best theorem beyond normative theoretical domains. I also show how, within any domain, the implications of the second-best theorem are more specific than is typically thought. I conclude with some brief remarks on the value of mathematical models for conceptual exploration. (shrink)

The dynamics of general relativity is encoded in a set of ten differential equations, the so-called Einstein field equations. It is usually believed that Einstein's equations represent a physical law describing the coupling of spacetime with material fields. However, just six of these equations actually describe the coupling mechanism: the remaining four represent a set of differential relations known as Bianchi identities. The paper discusses the physical role that the Bianchi identities play in general relativity, and investigates whether these identities (...) --qua part of a physical law-- highlight some kind of a posteriori necessity in a Kripkean sense. The inquiry shows that general relativistic physics has an interesting bearing on the debate about the metaphysics of the laws of nature. (shrink)

In this paper, I present a general theory of topological explanations, and illustrate its fruitfulness by showing how it accounts for explanatory asymmetry. My argument is developed in three steps. In the first step, I show what it is for some topological property A to explain some physical or dynamical property B. Based on that, I derive three key criteria of successful topological explanations: a criterion concerning the facticity of topological explanations, i.e. what makes it true of a particular system; (...) a criterion for describing counterfactual dependencies in two explanatory modes, i.e. the vertical and the horizontal; and, finally, a third perspectival one that tells us when to use the vertical and when to use the horizontal mode. In the second step, I show how this general theory of topological explanations accounts for explanatory asymmetry in both the vertical and horizontal explanatory modes. Finally, in the third step, I argue that this theory is universally applicable across biological sciences, which helps to unify essential concepts of biological networks. (shrink)

A general framework for translating various logical systems is presented, including a set of partial unary operators of affirmation and negation. Despite its usual reading, affirmation is not redundant in any domain of values and whenever it does not behave like a full mapping. After depicting the process of partial functions, a number of logics are translated through a variety of affirmations and a unique pair of negations. This relies upon two preconditions: a deconstruction of truth-values as ordered and structured (...) objects, unlike its mainstream presentation as a simple object; a redefinition of the Principle of Bivalence as a set of four independent properties, such that its definition does not equate with normality. (shrink)

Many current popular views in epistemology require a belief to be the result of a reliable process (aka ‘method of belief formation’ or ‘cognitive capacity’) in order to count as knowledge. This means that the generality problem rears its head, i.e. the kind of process in question has to be spelt out, and this looks difficult to do without being either over or under-general. In response to this problem, I propose that we should adopt a more fine-grained account of the (...) epistemic basing relation, at which point the generality problem becomes easy to solve. (shrink)

Hossack's 'The Metaphysics of Knowledge' develops a theory of facts, entities in which universals are combined with universals or particulars, as the foundation of his metaphysics. While Hossack argues at length that there must be negative facts, facts in which the universal 'negation' is combined with universals or particulars, his conclusion that there are also general facts, facts in which the universal 'generality' is combined with universals, is reached rather more swiftly. In this paper I present Hossack with three arguments (...) for his conclusion. They all draw, as does Hossack's theory of facts, on views Russell expressed in various writings. Two arguments are based on Russell's explanation of universals as aspects of resemblance; the third on Russell's observation that general propositions do not follow logically from exclusively particular premises. Comparison with other metaphysics of generality show them to be wanting and Russell's and Hossack's accounts superior. (shrink)

Multiple generality has long been known to cause confusion. For example, “Everyone has a donkey that is running” has two readings: either (i) there is a donkey, owned by everyone, and it is running; or (ii) everyone owns some donkey or other, and all such donkeys run. Medieval logicians were acutely aware of such ambiguities, and the logical problems they pose, and sought to sort them out. One of the most ambitious undertakings in this regard is a pair of massive (...) diagrams (magnae figurae) which map out the logical interrelations of two sets of doubly-general forms. These appear in a fourteenth-century MS of John Buridan’s Summulae de Propositionibus. In this paper, I present these diagrams, and determine the truth conditions of their different forms. To that end, I have developed a bespoke system of diagrams to display their truth conditions. As we will see, such forms present significant difficulties for an all-encompassing account of the role form plays in logic. Accordingly, they can tell us important things about the role logical form plays in Buridan’s account of logical foundations. (shrink)

In this paper, I argue that Kant gives a philosophically plausible derivation of the general duty of benevolence and that this derivation can be used to show how to derive other general duties of commission with the universalizability tests.The paper is divided into four sections. In the first, I explain Kant’s notion of a general duty. In the second, I introduce the universalizability tests. In the third, I examine and argue against an account in the secondary literature of how to (...) derive general duties from these tests. In the fourth, I look at Kant’s derivation of the duty of benevolence in the Metaphysics of Morals, and I suggest how this reasoning can be extended to other duties. (shrink)

Metacognition is the capacity to evaluate the success of one's own cognitive processes in various domains; for example, memory and perception. It remains controversial whether metacognition relies on a domain-general resource that is applied to different tasks or if self-evaluative processes are domain specific. Here, we investigated this issue directly by examining the neural substrates engaged when metacognitive judgments were made by human participants of both sexes during perceptual and memory tasks matched for stimulus and performance characteristics. By comparing patterns (...) of fMRI activity while subjects evaluated their performance, we revealed both domain-specific and domain-general metacognitive representations. Multivoxel activity patterns in anterior prefrontal cortex predicted levels of confidence in a domain-specific fashion, whereas domain-general signals predicting confidence and accuracy were found in a widespread network in the frontal and posterior midline. The demonstration of domain-specific metacognitive representations suggests the presence of a content-rich mechanism available to introspection and cognitive control. (shrink)

In this paper we present the generalization of neutrosophic rings and neutrosophic fields. We also extend the neutrosophic ideal to neutrosophic biideal and neutrosophic N-ideal. We also find some new type of notions which are related to the strong or pure part of neutrosophy. We have given sufficient amount of examples to illustrate the theory of neutrosophic birings, neutrosophic N-rings with neutrosophic bifields and neutrosophic N-fields and display many properties of them in this paper.

The paper discusses the philosophical conclusions, which the interrelation between quantum mechanics and general relativity implies by quantum measure. Quantum measure is three-dimensional, both universal as the Borel measure and complete as the Lebesgue one. Its unit is a quantum bit (qubit) and can be considered as a generalization of the unit of classical information, a bit. It allows quantum mechanics to be interpreted in terms of quantum information, and all physical processes to be seen as informational in a generalized (...) sense. This implies a fundamental connection between the physical and material, on the one hand, and the mathematical and ideal, on the other hand. Quantum measure unifies them by a common and joint informational unit. Furthermore the approach clears up philosophically how quantum mechanics and general relativity can be understood correspondingly as the holistic and temporal aspect of one and the same, the state of a quantum system, e.g. that of the universe as a whole. The key link between them is the notion of the Bekenstein bound as well as that of quantum temperature. General relativity can be interpreted as a special particular case of quantum gravity. All principles underlain by Einstein (1918) reduce the latter to the former. Consequently their generalization and therefore violation addresses directly a theory of quantum gravity. Quantum measure reinterprets newly the “Bing Bang” theories about the beginning of the universe. It measures jointly any quantum leap and smooth motion complementary to each other and thus, the jump-like initiation of anything and the corresponding continuous process of its appearance. Quantum measure unifies the “Big Bang” and the whole visible expansion of the universe as two complementary “halves” of one and the same, the set of all states of the universe as a whole. It is a scientific viewpoint to the “creation from nothing”. (shrink)

In responding to my article, Quinn raises the question of development in science and scientific method. He picks up on the topic of the last section of my paper, and suggests that “generalized empirical method” will be “coherent with the essential dynamics of scientific progress.” He points out that, if implemented, such an extended method “promises to be a way toward new and practical results”.

As the principle of natural selection is generalized to explain (adaptive) patterns of human behavior, it becomes less clear what the selective environment empirically refers to. While the environment and individual are relatively separable in the non-human biological context, they are highly entangled in the context of moral, social, and institutional evolution. This chapter brings attention to the problem of generalizing the selective environment, and argues that it is ontologically disunified and definable only through its explanatory function. What unifies the (...) selective environment is that it explains adaptation in a non-agential way, by screening off various forms of agency, whether divine, organismic, or human. This explanatory function of the selective environment helps avoid some sources of confusion when the theory of natural selection is applied to humanities and social sciences. (shrink)

A distinction is drawn among predicates, open sentences (or open formulas), and general terms, including general-term phrases. Attaching a copula, perhaps together with an article, to a general term yields a predicate. Predicates can also be obtained through lambda-abstraction on an open sentence. The issue of designation and semantic content for each type of general expression is investigated. It is argued that the designatum of a general term is a universal, e.g., a kind, whereas the designatum of a predicate is (...) a class (or its characteristic function) and the designatum of an open sentence is a truth-value. Predicates and open sentences are therefore typically non-rigid designators. It is argued further that certain general terms, including phrases, are invariably rigid designators, whereas certain others (general definite descriptions) are typically non-rigid. Suitable semantic contents for predicates, open sentences, and general terms are proposed. Consequences for the thesis of compositionality are drawn. (shrink)

This paper focuses on how experiences of trauma can lead to generalized fear of people, objects and places that are similar or contextually or conceptually related to those that produced the initial fear, causing epistemic, affective, and practical harms to those who are unduly feared and those who are intimates of the victim of trauma. We argue that cases of fear generalization that bring harm to other people constitute examples of injustice closely akin to testimonial injustice, specifically, mnemonic injustice. Mnemonic (...) injustice is a label that has been introduced to capture how injustice can occur via the operation of human memory systems when stereotypes shape what is remembered. Here we argue that injustices can also occur via memory systems when trauma leads to a generalized fear. We also argue that this calls for a reformulation of the notion of mnemonic injustice. (shrink)

It is unknown to what extent medical researchers generalize study findings beyond their samples when their sample size, sample diversity, or knowledge of conditions that support external validity do not warrant it. It is also unknown to what extent medical researchers describe their results with precise quantifications or unquantified generalizations, i.e., generics, that can obscure variations between individuals. We therefore systematically reviewed all prospective studies (n = 533) published in the top four highest ranking medical journals, Lancet, New England Journal (...) of Medicine (NEJM), Journal of the American Medical Association (JAMA), and the British Medical Journal (BMJ), from January 2022 to May 2023. We additionally reviewed all NEJM Journal Watch clinical research summaries (n = 143) published during the same time. Of all research articles reporting prospective studies, 52.5% included generalizations beyond specific national study populations, with the numbers of articles with generics varying significantly between journals (JAMA = 12%; Lancet = 77%) (p < 0.001, V = 0.48). There was no evidence that articles containing broader generalizations or generics were correlated with larger or more nationally diverse samples. Moreover, only 10.2% of articles with generalizations beyond specific national populations reported external validity strengthening factors that could potentially support such extrapolations. There was no evidence that original research articles and NEJM Journal Watch summaries intended for practitioners differed in their use of broad generalizations, including generics. Finally, from the journal with the highest citation impact, articles containing broader conclusions were correlated with more citations. Since there was no evidence that studies with generalizations beyond specific national study populations or with generics were associated with larger, more nationally diverse samples, or with reports of population similarity that may permit extensions of conclusions, our findings suggest that the generalizations in many articles were insufficiently supported. Caution against overly broad generalizations in medical research is warranted. (shrink)