L'éternalisme, la thèse selon laquelle les entités que nous catégorisons comme étant passées, présentes et futures existent tout autant, est la meilleure approche ontologique de l'existence temporelle qui soit en accord avec les théories de la relativité restreinte et de la relativité générale. Cependant, les théories de la relativité restreinte et générale ne sont pas fondamentales si bien que plusieurs programmes de recherche tentent de trouver une théorie plus fondamentale de la gravité quantique rassemblant tous les enseignements de (...) la physique relativiste et de la physique quantique. Certaines de ces approches soutiennent que le temps n'est pas fondamental. Toutefois, si le temps n'est pas fondamental, quelles en sont les conséquences pour l'éternalisme et les débats sur l'existence dans le temps ? Premièrement, je soutiendrai que la non-fondamentalité du temps que l'on rencontre dans la théorie des cordes mène à l'éternalisme standard. Deuxièmement, je soutiendrai que la non-fondamentalité du temps rencontrée dans la gravité quantique à boucles implique l'éternalisme atemporel, à savoir une nouvelle position qui demeure fidèle à l'esprit de l'éternalisme standard. (shrink)

Dans l'interprétation de la gravité quantique canonique, la gravité apparaît comme une pseudoforce géométrique, elle est réduite à la géométrie espace-temps et devient un simple effet de la courbure de l'espace-temps . Le formalisme canonique ne confirme pas cette interprétation. La relativité générale associe la gravité à l'espace-temps, mais le type d'association n'est pas fixé. La gravité quantique à boucles tente d'unifier la gravité avec les trois autres forces fondamentales en commençant par (...) la relativité et en ajoutant des traits quantiques. Il est basé directement sur la formule géométrique d'Einstein. DOI: 10.13140/RG.2.2.31502.18240. (shrink)

La physique contemporaine pourrait bien nous livrer un enseignement incroyable, à savoir que l'espace et le temps n'existent pas fondamentalement. Je présenterai succinctement les ontologies suggérées par les deux principaux programmes de recherche en gravité quantique : la théorie des cordes et la gravité quantique à boucles. Je soutiendrai ensuite qu'il est fructueux de prendre les différentes conceptions ontologiques de la conscience en philosophie de l'esprit en modèles pour la construction de solutions au problème de (...) l'émergence de l'espace-temps. (shrink)

La gravité quantique a nécessité la prise en compte des questions épistémologiques fondamentales, qui peuvent être identifiées en philosophie avec le problème corps-esprit et le problème du libre arbitre . Ces questions ont influencé l'épistémologie de la mécanique quantique sous la forme du « parallélisme psycho-physique » de von Neumann et l'analyse ultérieure de la thèse de Wigner selon laquelle « l'effondrement du paquet d'ondes » se produit dans l'esprit de « l'observateur ». La gravité (...) class='Hi'>quantique en cosmologie pose le problème de la liberté de l'expérimentateur de changer les conditions physiques locales, un « observateur » passif. Dans toute théorie qui décrit un seul univers, des questions se posent sur la nature de la causalité au sens philosophique traditionnel. DOI: 10.13140/RG.2.2.15932.87687. (shrink)

Le test primordial de toute théorie quantique de la gravité est la reproduction des succès de la relativité générale. Cela implique de reconstruire la géométrie locale à partir des observables non locaux. De plus, la gravité quantique devrait probablement prédire la topologie à grande échelle de l'Univers, qui pourrait bientôt être mesurable , et les phénomènes à l'échelle de Planck. Il existe déjà une prédiction liée à la gravité quantique: l'existence et le spectre du (...) rayonnement Hawking du trou noir, une prédiction « semi-classique » résultant de la théorie des champs quantiques sur un fond incurvé fixe, et confirmée ensuite théoriquement . On suppose qu'une théorie de la gravité qui ne reproduira pas cette prédiction est erronée. DOI: 10.13140/RG.2.2.11424.40965 . (shrink)

À propos de la possibilité de voyager dans le temps sur la base de plusieurs ouvrages spécialisés, notamment ceux de Nicholas J. J. Smith (« Time Travel »), William Grey (« Troubles with Time Travel »), Ulrich Meyer (« Explaining causal loops »), Simon Keller and Michael Nelson (« Presentists should believe in time-travel »), Frank Arntzenius and Tim Maudlin (« Time Travel and Modern Physics »), et David Lewis (« The Paradoxes of Time Travel »). L'article commence par une (...) Introduction dans laquelle je fais une brève présentation du voyage dans le temps et poursuit par une Histoire du concept de voyage dans le temps, les principaux aspects physiques du voyage dans le temps, y compris les voyages dans le temps dans le passé dans la relativité générale et la physique quantique , et les voyages dans le temps dans le futur, puis une présentation du Paradoxe du grand-père abordé dans presque toutes les œuvres spécialisées, suivie d’une section consacrée à la Philosophie du voyage dans le temps et d’une section dans laquelle j’analyse les Boucles causales pour le voyage dans le temps. Je termine mon travail avec Conclusions, dans laquelle je maintiens mes opinions personnelles sur le voyage dans le temps et la Bibliographie sur laquelle repose le travail. -/- TABLE: -/- Abstract Introducere Istoria conceptului de călătorie în timp Paradoxul bunicului Filosofía călătoriei în timp Buclele cauzale Concluzii Note Bibliografie -/- DOI: 10.13140/RG.2.2.27116.51841. (shrink)

L'évolution des tests gravitationnels dans une perspective épistémologique encadré dans le concept de reconstruction rationnelle d'Imre Lakatos, fondée sur sa méthodologie de programmes de recherche. Contrairement à d'autres travaux sur le même sujet, la période évaluée est très longue, allant de la philosophie naturelle de Newton aux théories de la gravité quantique d'aujourd'hui. Afin d'expliquer de manière plus rationnelle l'évolution complexe du concept de gravité du siècle dernier, je propose une extension naturelle de la méthodologie des programmes (...) de recherche que j'utilisais ensuite au cours de la communication. Je pense que cette approche offre une nouvelle perspective sur la manière dont le concept de gravité et les méthodes de test de chaque théorie de la gravité ont évalué dans le temps, par le biais d'observations et d'expériences. Je soutiens, sur la base de la méthodologie des programmes de recherche et des études des scientifiques et des philosophes, que les théories actuelles de la gravité quantique sont dégénératives, en raison du manque de preuves expérimentales sur une longue période et d'auto-immunisation contre la possibilité de la réfutabilité. De plus, un courant méthodologique est en cours de développement, attribuant un rôle secondaire, sans importance, aux vérifications par le biais d'observations et / ou d'expériences. Pour cette raison, il ne sera pas possible d'avoir une théorie complète de la gravité quantique sous sa forme actuelle qui inclura à la limite la relativité générale, car les théories physiques ont toujours été ajustées, au cours de leur évolution, sur la base d'essais d'observation ou expérimentaux, et vérifiées par les prédictions effectuées. En outre, contrairement à une opinion répandue et aux programmes en cours concernant l'unification de toutes les forces fondamentales de la physique dans une théorie finale unique, basée sur la théorie des cordes, je soutiens que cette unification est généralement improbable et, de toute façon, impossible pour que l'unification soit développée sur la base des théories actuelles de la gravité quantique, y compris la théorie des cordes. En outre, je partage l’avis de certains scientifiques et philosophes selon lequel on consacre actuellement trop de ressources à l’idée de développer des théories de la gravité quantique, et en particulier de la théorie des cordes, qui devrait inclure la relativité générale et unifier la gravité avec d’autres forces, en particulier conditions dans lesquelles la science n’impose pas de tels programmes de recherche. (shrink)

Plusieurs théories unificatrices ont été proposées. Une grande unification implique l'existence d'une force électronucléaire. La dernière étape de l'unification nécessiterait une théorie qui inclue à la fois la mécanique quantique et la gravité par la relativité générale (« la théorie finale »). Après 1990, certains physiciens considèrent que la théorie M à 11 dimensions, souvent identifiée à l'une des cinq théories des supercordes perturbateurs, ou parfois à la supergravité à supersymétrie maximale supersymétrique à 11 dimensions, est la théorie (...) finale. L'idée de la théorie M s'inspire des idées de la théorie de Kaluza-Klein, dans laquelle il a été constaté que l'utilisation d'un espace-temps à 5 dimensions pour la relativité générale (une des dimensions étant petite) est vue, du point de vue à 4 dimensions, comme la relativité générale habituelle avec l'électrodynamique de Maxwell. DOI: 10.13140/RG.2.2.30364.62084. (shrink)

Il existe trois problèmes majeurs dans la conception d'une théorie de la gravité quantique: la théorie quantique et la relativité générale présentent en elles-mêmes des problèmes conceptuels importants, les bases fondamentales disparates des deux théories génèrent de nouveaux problèmes majeurs en essayant de les combiner, et le contraste entre l'absence d'une théorie de la gravité quantique satisfaisante et des théories des ingrédients réussis soulèvent des questions sur la nature et la fonction de la discussion philosophique (...) de la gravité quantique. DOI: 10.13140/RG.2.2.31430.91203. (shrink)

Au fil du temps, la théorie de la relativité générale a accumulé plusieurs anomalies, indiquant la nécessité de meilleures théories sur la gravité ou d'autres approches. Les hypothèses ad hoc introduites en relativité générale pour expliquer les singularités gravitationnelles basées sur les conditions énergétiques ne sont pas très efficaces. Des hypothèses plus détaillées sur le contenu du sujet sont nécessaires . De nombreux scientifiques et philosophes sont parvenus à la conclusion que les singularités doivent être associées à l'atteinte des (...) limites de la validité physique de la relativité générale et qu'une nouvelle théorie, la gravité quantique, doit être développée. DOI: 10.13140/RG.2.2.12877.26085. (shrink)

Comme la théorie des cordes n'a jusqu'à présent pas pu expliquer les phénomènes, il peut sembler que cela confirme l'opinion de Feyerabend selon laquelle il n'y a pas de « méthode » de la science. Et pourtant, la théorie des cordes est toujours le programme de recherche le plus actif pour la gravité quantique. Mais, par rapport à d'autres théories non falsifiables, cela a quelque chose de plus, en particulier : le langage mathématique, avec une logique claire de (...) décoctions. Jusqu'à un certain point, il peut reproduire les théories de jauge classiques et la relativité générale. Et il y a de l'espoir que dans un avenir pas trop lointain, des expériences pourront être développées pour tester la théorie. DOI: 10.13140/RG.2.2.28282.21443 . (shrink)

Gravitational decoherence (GD) refers to the effects of gravity in actuating the classical appearance of a quantum system. Because the underlying processes involve issues in general relativity (GR), quantum field theory (QFT), and quantum information, GD has fundamental theoretical significance. There is a great variety of GD models, many of them involving physics that diverge from GR and/or QFT. This overview has two specific goals along with one central theme:(i) present theories of GD based on GR and QFT and explore (...) their experimental predictions;(ii) place other theories of GD under the scrutiny of GR and QFT, and point out their theoretical differences. We also describe how GD experiments in space in the coming decades can provide evidence at two levels:(a) discriminate alternative quantum theories and non-GR theories;(b) discern whether gravity is a fundamental or an effective theory. (shrink)

L'interprétation de Copenhague peut être comprise non seulement comme une interprétation statistique minimale du formalisme quantique pour la fréquence des résultats de mesure, mais aussi comme mettant l'accent sur un domaine classique du système quantique, avec une séparation ferme de celui-ci et une description quantique de la première interprétation. DOI: 10.13140/RG.2.2.28288.87049.

Tous les chercheurs intéressés aux fondements de la théorie quantique s’entendent sur le fait que celle-ci a profondément modifié notre conception de la réalité. Là s’arrête, toutefois, le consensus. Le formalisme de la théorie, non problématique, donne lieu à plusieurs interprétations très différentes, qui ont chacune des conséquences sur la notion de réalité. Cet article analyse comment l’interprétation de Copenhague, l’effondrement du vecteur d’état de von Neumann, l’onde pilote de Bohm et de Broglie et les mondes multiples d’Everett modifient, (...) chacun à sa manière, la conception classique de la réalité, dont le caractère local, en particulier, requiert une révision. (shrink)

An analysis of the classical-quantum correspondence shows that it needs to identify a preferred class of coordinate systems, which defines a torsionless connection. One such class is that of the locally-geodesic systems, corresponding to the Levi-Civita connection. Another class, thus another connection, emerges if a preferred reference frame is available. From the classical Hamiltonian that rules geodesic motion, the correspondence yields two distinct Klein-Gordon equations and two distinct Dirac-type equations in a general metric, depending on the connection used. Each of (...) these two equations is generally-covariant, transforms the wave function as a four-vector, and differs from the Fock-Weyl gravitational Dirac equation (DFW equation). One obeys the equivalence principle in an often-accepted sense, whereas the DFW equation obeys that principle only in an extended sense. (shrink)

Newton published his deduction of universal gravity in Principia (first ed., 1687). To establish the universality (the particle-to-particle nature) of gravity, Newton must establish the additivity of mass. I call ‘additivity’ the property a body's quantity of matter has just in case, if gravitational force is proportional to that quantity, the force can be taken to be the sum of forces proportional to each particle's quantity of matter. Newton's argument for additivity is obscure. I analyze and assess manuscript versions of (...) Newton's initial argument within his initial deduction, dating from early 1685. Newton's strategy depends on distinguishing two quantities of matter, which I call ‘active’ and ‘passive’, by how they are measured. These measurement procedures frame conditions on the additivity of each quantity so measured. While Newton has direct evidence for the additivity of passive quantity of matter, he does not for that of the active quantity. Instead, he tries to infer the latter from the former via conceptual analyses of the third law of motion grounded largely on analogies to magnetic attractions. The conditions needed to establish passive additivity frustrate Newton's attempted inference to active additivity. (shrink)

In the present paper, these authors argue on actual reasons why Hilbert’s axiomatic program to unify gravitation theory and electromagnetism failed completely. An outline of plausible resolution of this problem is given here, based on: a) Gödel’s incompleteness theorem, b) Newton’s aether stream model. And in another paper we will present our calculation of receding Moon from Earth based on such a matter creation hypothesis. More experiments and observations are called to verify this new hypothesis, albeit it is inspired from (...) Newton’s theory himself. (shrink)

En cosmologie, la métaphysique implique un large éventail de questions au-delà des preuves empiriques, utilisant parfois l'inférence spéculative. L'analyse épistémologique en cosmologie aide à modéliser l'évaluation. L'étude philosophique offre un cadre général pour interpréter des inférences qui vont au-delà de la science. En cosmologie, il existe des principes ontologiques qui aident à classer les modèles selon leurs caractéristiques, à concevoir la réalité cosmique dans une description plus transparente, et nous permettent de résoudre des équations mathématiques en tant que constructions centrales (...) de tout modèle. DOI: 10.13140/RG.2.2.25229.87524. (shrink)

From the exponential function of Euler’s equation to the geometry of a fundamental form, a calculation of the fine-structure constant and its relationship to the proton-electron mass ratio is given. Equations are found for the fundamental constants of the four forces of nature: electromagnetism, the weak force, the strong force and the force of gravitation. Symmetry principles are then associated with traditional physical measures.

Unifying physics by describing a variety of interactions – or even all interactions – within a common framework has long been an alluring goal for physicists. One of the most ambitious attempts at unification was made in the 1910s by Gustav Mie. Mie aimed to derive electromagnetism, gravitation, and aspects of the emerging quantum theory from a single variational principle and a well-chosen Lagrangian. Mie’s main innovation was to consider nonlinear field equations to allow for stable particle-like solutions (now called (...) solitons), and he clarified the use of variational principles in the context of special relativity. The following brief introduction to Mie’s work has three main objectives. The first is to explain how Mie’s project fit into the contemporary development of the electromagnetic world view. Part of Mie’s project was to develop a relativistic theory of gravitation as a consequence of his generalized electromagnetic theory, and our second goal is to briefly assess this work, which reflects the conceptual resources available for developing a new account of gravitation by analogy with electromagnetism. Finally, Mie was a vocal critic of other approaches to the problem of gravitation. Mie’s criticisms of Einstein, in particular, bring out the subtlety and novelty of the ideas that Einstein used to guide his development of general relativity. (shrink)

An orbital simulation program is described that uses a geometrical approach to modeling gravitational and atomic orbits at the Planck scale. Orbiting objects A, B, C... are sub-divided into points, each point representing 1 unit of Planck mass, for example, a 1kg satellite would divide into 1kg/Planck mass = 45940509 points. Each point in object A then forms a rotating orbital pair with every point in objects B, C..., resulting in a universe-wide, n-body network of rotating point-to-point orbital pairs. Each (...) orbital pair rotates 1 unit of Planck length per unit of Planck time at velocity c in hypersphere space co-ordinates, the results then summed and averaged giving the new co-ordinates, the program then repeats. When these rotations are mapped over time in a 3D space, objects A, B, C... appear to be orbiting each other. The basic simulation uses the fine structure constant alpha as an orbital constant to simulate gravitational orbit parameters. As each orbital comprises only 2 points, 1 at each orbital pole, information regarding the objects A, B, C... ; momentum, size, center of mass, barycenter etc ... is not required, instead only the start positions (co-ordinates) of each point are used as initial inputs. Each point, by having a mass of Planck mass, is itself a construct of multiple particles, and so we can also form particle to particle orbital pairs, transition energies for the H atom (an electron-proton orbital pair) are well documented and so can be used as reference. Atomic orbital pairs rotate slower than gravitational orbitals by a factor of alpha, 'gravity' therefore stronger than the 'electric force' when measured at the Planck scale. (shrink)

It presents the basics of the “Relativistic theory of gravitation”, with the inclusion of original texts, from various papers, published between 1987 and 2009, by theirs authors: S. S Gershtein, A. A. Logunov, Yu. M. Loskutov and M. A. Mestvirishvili, additionally, together with the introductions, summaries and conclusions of the author of this paper. The “Relativistic theory of gravitation” is a gauge theory, compatible with the theories of quantum physics of the electromagnetic, weak and strong forces, which defines gravity as (...) the fourth force existing in nature, as a static field equipped with the transmitter particles of the virtual gravitons of spins 2 and 0, within the spirit of Galilei's principle of relativity, in his generalization of Poincaré's Special Relativity that allowed the authors to universalize that the physical laws of nature are complied with regardless of the frames of reference where they apply, integrated into the Grossmann-Einstein Entwurf theory, in its further development, by those authors, therefore, this theory preserves the conservation laws of energy-impulse and angular impulse of the gravitational field jointly to the other material fields existing in nature, in the Riemann's effective spacetime, through its identity with Minkowski's pseudo Euclidean spacetime. (shrink)

Albert Einstein’s bold assertion of the form invariance of the equation of a spherical light wave with respect to inertial frames of reference became, in the space of 6 years, the preferred foundation of his theory of relativity. Early on, however, Einstein’s universal light-sphere invariance was challenged on epistemological grounds by Henri Poincaré, who promoted an alternative demonstration of the foundations of relativity theory based on the notion of a light ellipsoid. A third figure of light, Hermann Minkowski’s lightcone also (...) provided a new means of envisioning the foundations of relativity. Drawing in part on archival sources, this paper shows how an informal, international group of physicists, mathematicians, and engineers, including Einstein, Paul Langevin, Poincaré, Hermann Minkowski, Ebenezer Cunningham, Harry Bateman, Otto Berg, Max Planck, Max von Laue, A. A. Robb, and Ludwig Silberstein, employed figures of light during the formative years of relativity theory in their discovery of the salient features of the relativistic worldview. (shrink)

L'exemple classique d'un programme de recherche réussi est la théorie gravitationnelle de Newton, probablement le programme de recherche lakatosien le plus réussi. Initialement, la théorie gravitationnelle de Newton était confrontée à de nombreuses « anomalies » (« contre-exemples ») et contredisait les théories observationnelles qui soutenaient ces anomalies. Mais les partisans du programme de recherche sur la gravité newtonienne ont transformé chaque anomalie en cas corroborants. De plus, ils ont eux-mêmes indiqué des contre-exemples qu'ils ont ensuite expliqués à travers (...) la théorie newtonienne. DOI: 10.13140/RG.2.2.16540.44165. (shrink)

It presents the basics of the “Relativistic theory of gravitation”, with the inclusion of original texts, from various papers, published between 1987 and 2009, by theirs authors: S. S Gershtein, A. A. Logunov, Yu. M. Loskutov and M. A. Mestvirishvili, additionally, together with the introductions, summaries and conclusions of the author of this paper. The “Relativistic theory of gravitation” is a gauge theory, compatible with the theories of quantum physics of the electromagnetic, weak and strong forces, which defines gravity as (...) the fourth force existing in nature, as a static field equipped with the transmitter particles of the virtual gravitons of spins 2 and 0, within the spirit of Galilei's principle of relativity, in his generalization of Poincaré's Special Relativity that allowed the authors to universalize that the physical laws of nature are complied with regardless of the frames of reference where they apply, integrated into the Grossmann-Einstein Entwurf theory, in its further development, by those authors, therefore, this theory preserves the conservation laws of energy-impulse and angular impulse of the gravitational field jointly to the other material fields existing in nature, in the Riemann's effective spacetime, through its identity with Minkowski's pseudo Euclidean spacetime. (shrink)

L'interprétation des textes d'Isaac Newton a suscité une controverse à ce jour. L'un des débats les plus animés a trait à l'action entre deux corps distants l'un de l'autre (l'attraction gravitationnelle), et à la mesure dans laquelle Newton a impliqué Dieu dans ce cas. Pratiquement, la plupart des articles traitent quatre types d’attractions gravitationnelles dans le cas des corps distants : l’action directe à la distance en tant que propriété intrinsèque des corps au sens épicurien du terme ; action directe (...) à distance divinement médiée par Dieu ; action à distance médiée par un éther matériel ; ou action à distance médiée par un éther immatériel. Le but de cet article est d'argumenter que Newton a catégoriquement rejeté les types d'action directe en tant que propriété intrinsèque des corps et l'action à distance médiée par un éther matériel. En ce qui concerne les deux autres types d’actions, directe par intervention divine et médiatisée par un environnement immatériel, Newton a répété à plusieurs reprises qu’il ne connaissait pas la cause exacte de la gravité, mais dans les deux cas, il avait directement impliqué Dieu, directement dans le premier cas. et comme cause principale (l'environnement/éther étant la cause secondaire) dans l'action médiatisée immatérielle. Mais comme la reconnaissance de l'action directe à distance aurait pu donner quelque crédit à ceux qui pensaient que la gravité pouvait être essentielle à la matière, et donc à l'athéisme, Newton n'a jamais ouvertement reconnu la possibilité d'une telle idée. Vers la fin de sa vie, Newton s'est penché davantage vers une action à distance médiée par un éther immatériel. -/- SOMMAIRE: -/- Abstract Introduction Principia Correspondance avec Richard Bentley Questions de l'Opticks Conclusions Bibliographie -/- DOI: 10.13140/RG.2.2.31322.70080 . (shrink)

La mécanique quantique est une théorie physique contemporaine réputée pour ses défis au sens commun et ses paradoxes. Depuis bientôt un siècle, plusieurs interprétations de la théorie ont été proposées par les physiciens et les philosophes, offrant des images quantiques du monde, ou des ontologies, radicalement différentes. L'existence d'un hasard fondamental, ou d'une multitude de mondes en-dehors du nôtre, dépend ainsi de l'interprétation adoptée. Après avoir discuté de la définition de l'interprétation d'une théorie physique, ce livre présente trois principales (...) interprétations quantiques, empiriquement équivalentes : l'interprétation dite orthodoxe, l'interprétation de Bohm, et l'interprétation des mondes multiples. Des textes d'Albert & Galchen, ainsi que de Mermin, présentent le concept de non-localité et invitent à une analyse de l'argument d'Einstein-Podolsky-Rosen et du théorème de Bell. (shrink)

In this paper we argue that the current paradigm for AGN and quasars is essentially incomplete and a rivision is needed. Remind that the current paradigm for AGN and quasars is that their radio emission is explained by synchrotron radiation from relativistic electrons that are Doppler boosted through bulk motion. In this model, the intrinsic brightness temperatures cannot exceed 1011 to 1012 K. Typical Doppler boosting is expected to be able to raise this temperature by a factor of 10. The (...) observed brightness temperature of the most compact structures in BL Lac, constrained by baselines longer than 5.3Gλ, must indeed exceed 2×1013K and can reach as high as ˜ 3 × 1014K. This is difficult to reconcile with current incoherent synchrotron emission models from relativistic electrons, requiring alternative models such as emission from relativistic protons. However the proton, as we know, is 1836 times heavier than an electron and absolutely huge energy is required to accelerated it to sublight speed. These alternative models such as emission from relativistic protons can be suported by semiclassical gravity effect finds its roots in the singular behavior of quantum fields on curved distributional space- times presented by rotating gravitational singularities. (shrink)

Gravitational singularities in general relativity are spacetime locations where the gravitational field becomes infinite. Scalar invariant curves of spacetime include a measure of matter density. Some physicists and philosophers believe that because the density of matter tends to become infinite in singularity, spacetime laws are no longer valid there. A gravitational singularity almost universally accepted in astrophysics and cosmology as the earliest state of the universe, is the Big Bang. In this case also, the known laws of physics are no (...) longer valid. DOI: 10.13140/RG.2.2.24285.87523. (shrink)

Dernier Sermon de l’Église du naturalisme fondamentaliste par le pasteur Hofstadter. Comme son travail beaucoup plus célèbre (ou infâme pour ses erreurs philosophiques implacables) Godel, Escher, Bach, il a une plausibilité superficielle, mais si l’on comprend que c’est le scientisme rampant qui mélange les vrais problèmes scientifiques avec les questions philosophiques (c’est-à-dire, les seules vraies questions sont ce que les jeux linguistiques que nous devrions jouer), alors presque tout son intérêt disparaît. Je fournis un cadre d’analyse basé sur la psychologie (...) évolutive et le travail de Wittgenstein (depuis mis à jour dans mes écrits plus récents). Ceux qui souhaitent un cadre complet à jour pour le comportement humain de la vue moderne de deux systemes peuvent consulter mon livre 'The Logical Structure of Philosophy, Psychology, Mind and Language in Ludwig Wittgenstein and John Searle' 2nd ed (2019). Ceux qui s’intéressent à plus de mes écrits peuvent voir «Talking Monkeys --Philosophie, Psychologie, Science, Religion et Politique sur une planète condamnée --Articles et revues 2006-2019 3e ed (2019) et Suicidal Utopian Delusions in the 21st Century 4th ed (2019) et autres. (shrink)

The golden ratio is found to be related to the fine-structure constant, which determines the strength of the electromagnetic interaction. The golden ratio and classical harmonic proportions with quartic equations give an approximate value for the inverse fine-structure constant the same as that discovered previously in the geometry of the hydrogen atom. With the former golden ratio results, relationships are also shown between the four fundamental forces of nature: electromagnetism, the weak force, the strong force, and the force of gravitation.

As is generally known, Newton’s notion of universal gravitation surpassed various theories of particular gravities in the early modern age, as represented mainly by Kepler and Hooke. In his seminal work “Hooke and the Law of Universal Gravitation: A Reappraisal of a Reappraisal” Richard S. Westfall argues that Hooke could not reach beyond the concept of spatially bounded particular gravities, as he deployed the method of analogy between the material principle of congruity and incongruity and the extension of gravitational spheres (...) and their action at a distance. However, the doctrine of universal gravitation does not exclude the nature of particular gravities; it is predicated on the notion of an infinite expansion of individual-gravitational spheres and their uniform nature, namely the mutual and centripetal attraction. In my treatise I attempt to reinvestigate the nature and structure of gravitation, as established historically in the framework of Newtonian Classical Mechanics, by a method of structural intuition. It examines how the structural intuition, as represented in the celestial-mechanical intuitions of Hooke and Kepler, could unfold into an innovative process within the context of early modern mechanical philosophy, attaining thus a historical significance and legitimacy as against the prevailing Newtonian method of geometric-mathematical axiomatization of mechanical principles. It also explores the actual demonstrative features of the tidal phenomenon with regard to its lunar- and solar-gravitational causation, which has been considered to date to be an important piece of empirical evidence for the theory of universal gravitation. (shrink)

Les théories scientifiques en général, en physique en particulier, sont confirmées (temporairement) par des expériences vérifiant les affirmations et les prédictions des théories, jetant ainsi les bases de la connaissance scientifique. Francis Bacon a été le premier à soutenir le concept d'une expérience cruciale, qui peut décider la validité d'une hypothèse ou d'une théorie. Plus tard, Newton a soutenu que les théories scientifiques sont directement induites par les résultats expérimentaux et les observations, excluant les hypothèses non vérifiées. DOI: 10.13140/RG.2.2.34744.70403 .

This article investigates the relationship between Hume’s causal philosophy and Newton ’s philosophy of nature. I claim that Newton ’s experimentalist methodology in gravity research is an important background for understanding Hume’s conception of causality: Hume sees the relation of cause and effect as not being founded on a priori reasoning, similar to the way that Newton criticized non - empirical hypotheses about the properties of gravity. However, according to Hume’s criteria of causal inference, the law of universal gravitation is (...) not a complete causal law, since it does not include a reference either to contiguity or to temporal priority. It is still argued that because of the empirical success of Newton ’s theory—the law is a statement of an exceptionless repetition—Hume gives his support to it in interpreting gravity force instrumentally as if it bore a causal relation to motion. (shrink)

Dicke and Schiff established a framework for testing general relativity, including through null experiments and using the physics of space exploration, electronics and condensed matter, such as the Pound-Rebka experiment and laser interferometry. The gravitational lens tests and the temporal delay of light are highlighted by parameter γ of the PPN formalism, equal to 1 for general relativity and with different values in other theories. The BepiColombo mission aims to test the general theory of relativity by measuring the gamma and (...) beta parameters of the PPN formalism. DOI: 10.13140/RG.2.2.25673.70240. (shrink)

The author presents the history of gravitational waves according to Einstein, linking it to his biography and his time in order to understand it in his connection with the history of the Semites, the personality of Einstein in the handling of his conflict-generating circumstances in his relationships competition with his colleagues and in the formulation of the so-called general theory of relativity. We will fall back on the vicissitudes that Einstein experienced in the transition from his scientific work to normal (...) science as a pillar of theoretical physics. We will deal with how Einstein introduced the relativistic ether, conferring an "odor of materiality" to his geometric explanation of gravity, where undoubtedly it does not fit, but that he had to give in to the pressure that was justified by his most renowned colleagues, led by Lorentz. Einstein had to do it to stay in the queue that would lead him to the Nobel. It was thus, as developing the relativistic ether thread, in June 1916, he introduced the gravitational waves of which, in an act of personal liberation and scientific honesty, when he could, in 1938, he demonstrated how they could not exist, within the scenario of his relativity, to immediately also put an end to the relativistic ether. (shrink)

While the philosophers of science discuss the General Relativity, the mathematical physicists do not question it. Therefore, there is a conflict. From the theoretical point view “the question of precisely what Einstein discovered remains unanswered, for we have no consensus over the exact nature of the theory 's foundations. Is this the theory that extends the relativity of motion from inertial motion to accelerated motion, as Einstein contended? Or is it just a theory that treats gravitation geometrically in the spacetime (...) setting?”. “The voices of dissent proclaim that Einstein was mistaken over the fundamental ideas of his own theory and that their basic principles are simply incompatible with this theory. Many newer texts make no mention of the principles Einstein listed as fundamental to his theory; they appear as neither axiom nor theorem. At best, they are recalled as ideas of purely historical importance in the theory's formation. The very name General Relativity is now routinely condemned as a misnomer and its use often zealously avoided in favour of, say , Einstein's theory of gravitation What has complicated an easy resolution of the debate are the alterations of Einstein's own position on the foundations of his theory”, (Norton, 1993). Of other hand from the mathematical point view the “General Relativity had been formulated as a messy set of partial differential equations in a single coordinate system. People were so pleased when they found a solution that they didn't care that it probably had no physical significance” (Hawking and Penrose, 1996). So, during a time, the declaration of quantum theorists:“I take the positivist viewpoint that a physical theory is just a mathematical model and that it is meaningless to ask whether it corresponds to reality. All that one can ask is that its predictions should be in agreement with observation.” (Hawking and Penrose, 1996)seemed to solve the problem, but recently achieved with the help of the tightly and collectively synchronized clocks in orbit frontally contradicts fundamental assumptions of the theory of Relativity. These observations are in disagree from predictions of the theory of Relativity. (Hatch, 2004a, 2004b, 2007). The mathematical model was developed first by Grossmann who presented it, in 1913, as the mathematical part of the Entwurf theory, still referred to a curved Minkowski spacetime. Einstein completed the mathematical model, in 1915, formulated for Riemann ́s spacetimes. In this paper, we present as of General Relativity currently remains only the mathematical model, darkened with the results of Hatch and, course, we conclude that a Einstein ́s gravity theory does not exist. (shrink)

J’ai lu de nombreuses discussions récentes sur les limites du calcul et de l’univers en tant qu’ordinateur, dans l’espoir de trouver quelques commentaires sur le travail étonnant du physicien polymathe et théoricien de la décision David Wolpert, mais n’ont pas trouvé une seule citation et je présente donc ce résumé très bref. Wolpert s’est avéré quelques théoricaux d’impossibilité ou d’incomplétude renversants (1992 à 2008-voir arxiv dot org) sur les limites de l’inférence (computation) qui sont si généraux qu’ils sont indépendants de (...) l’appareil faisant le calcul, et même indépendamment des lois de la physique, ainsi ils s’appliquent à travers les ordinateurs, la physique, et le comportement humain. Ils utilisent la diagonalisation de Cantor, le paradoxe menteur et les worldlines (lignes du monde) pour fournir ce qui peut être le théorème ultime dans Turing Machine Theory, et apparemment fournir des aperçus de l’impossibilité, l’incomplétude, les limites du calcul, et l’univers comme ordinateur, dans tous les univers possibles et tous les êtres ou mécanismes possibles, générant, entre autres, un principe d’incertitude mécanique non quantique et une preuve de monothéisme. Il existe des connexions évidentes à l’œuvre classique de Chaitin, Solomonoff, Komolgarov et Wittgenstein et à l’idée qu’aucun programme (et donc aucun dispositif) ne peut générer une séquence (ou un dispositif) avec une plus grande complexité qu’il ne possède. On pourrait dire que cet ensemble de travaux implique l’athéisme puisqu’il ne peut y avoir d’entité plus complexe que l’univers physique et du point de vue wittgensteinien, « plus complexe » n’a aucun sens (n’a pas de conditions de satisfaction, c’est-à-dire véridique ou test). Même un « Dieu » (c’est-à-dire un « dispositif » avec un temps/ espace et une énergie illimité) ne peut pas déterminer si un « nombre » donné est « aléatoire», ni trouver un certain moyen de montrer qu’une « formule » donnée, un « théorème » ou une « phrase » ou un « dispositif » (tous ces jeux de langage complexes) fait partie d’un « système » particulier. Ceux qui souhaitent un cadre complet à jour pour le comportement humain de la vue moderne de deux systemes peuvent consulter mon livre 'The Logical Structure of Philosophy, Psychology, Mind and Language in Ludwig Wittgenstein and John Searle' 2nd ed (2019). Ceux qui s’intéressent à plus de mes écrits peuvent voir 'Talking Monkeys --Philosophie, Psychologie, Science, Religion et Politique sur une planète condamnée --Articles et revues 2006-2019 2ème ed (2019) et Suicidal Utopian Delusions in the 21st Century 4th ed (2019) et autres. (shrink)

We will make a new approach for an effect known as “Dark Energy” by an effect on gravitational field. In an accelerated rocket, the dimensions of space towards movement due to ‘Lorentz Contraction’ are on continuous reduction. Using the equivalence principle, we presume that in the gravitational field, the same thing would happen. In this implicates in ‘dark energy effect’. The calculi show that in a 7%-contraction for each billion years would explain our observation of galaxies in accelerated separation.

When the density of the body becomes large enough, general relativity predicts the formation of a black hole. The neutron stars of about 1.4 solar masses and the black holes are the final stage for the evolution of the massive stars. Usually a black hole in a galaxy has played an important role in its formation and related cosmic structures. Such bodies provide an efficient mechanism for the emission of electromagnetic radiation and the formation of microquasars. Accretion can lead to (...) relativistic jets. General relativity allows the modeling of these phenomena, confirmed by observations. DOI: 10.13140/RG.2.2.33569.15202 . (shrink)

Theories in science in general, and in physics in particular, are confirmed (temporarily) by experiments that verify the assertions and predictions of theories, thus laying the groundwork for scientific knowledge. Francis Bacon was the first to support the concept of a crucial experiment, which can decide the validity of a hypothesis or theory. Later, Newton argued that scientific theories are directly induced by experimental results and observations, excluding untested hypotheses. DOI: 10.13140/RG.2.2.33549.08167.

General Relativity defines gravity like the metric of a Lorentzian manifold. Einstein formulated spacetime as quality structural of gravity, i.e, circular definition between gravity and spacetime, also Einstein denoted "Space and time are modes by which we think, not conditions under which we live" and “We denote everything but the gravitational field as matter”, therefore, spacetime is nothing and gravity in first approximation an effect of coordinates, and definitely a geometric effect. The mathematical model generates quantitative predictions coincident in high (...) grade with observations without physical meaning. Philosophy intervened: in Substantivalism, spacetime exists in itself while in Relationalism as metrical relations. But, it does not know what spacetime. The outcomes of model have supported during a century, validity of the General Relativity, interpreted arbitrarily. Einstein formulated, from quadrupoles of energy, the formation of ripples in spacetime propagating as gravitational waves abandoned, in 1938, when he said that they do not exist. LIGO announced the first detection of gravitational waves from a pair of merging black holes. They truly are waves of quantum vacuum. (shrink)

General relativity allows singularities, and we need to understand the ontology of singularities if we want to understand the nature of space and time in the present universe. Although some physicists believe that singularities indicate a failure of general relativity, others believe that singularities open a new horizon in cosmology, with real physical phenomena that can help deepen our understanding of the world. From the definitions of singularities, most known are the possibility that some spacetimes contain incomplete paths (most accepted), (...) the missing points, and the pathology of curvature. DOI: 10.13140/RG.2.2.31611.46888. (shrink)

La première édition de Principia de Newton ne contient que deux remarques supplémentaires sur la méthodologie: la notification que le but de l'article est d'expliquer « comment déterminer les véritables mouvements de leurs causes, les effets et les différences apparents et, au contraire, comment déterminer à partir des hypothèses si elles sont vraies ou apparentes, leurs causes et leurs effets »; et, dans le Scholium à la fin du Livre 1, Section 11, Newton affirme que son approche distinctive permet une (...) argumentation plus sûre dans la philosophie naturelle. DOI: 10.13140/RG.2.2.19797.58082. (shrink)

L'une des controverses les disputées sur la priorité des découvertes scientifiques est celle de la loi de la gravitation universelle, entre Isaac Newton et Robert Hooke. Hooke a accusé Newton de plagiat, de reprendre ses idées exprimées dans des travaux antérieurs. J'essaie de montrer, sur la base d'une analyse précédente, que tous les deux scientifiques avaient tort: Robert Hooke parce que sa théorie n'était fondamentalement que des idées qui ne se seraient jamais matérialisées sans l'appui mathématique d'Isaac Newton; et ce (...) dernier avait tort de ne pas reconnaître les idées de Hooke dans l'élaboration de la théorie de la gravité. En outre, après la mort de Hooke et son accession à la présidence de la Royal Society, Newton a retiré de l'institution toute trace de l'ancien président Robert Hooke. Pour cela, je détaille les accusations et les arguments de chacune des parties, et comment ce différend a été perçu par les contemporains des deux scientifiques. Je termine le papier avec les conclusions tirées du contenu. -/- TABLE: -/- Abstract Introduction La contribution de Robert Hooke à la loi de la gravitation universelle La contribution d'Isaac Newton à la loi de la gravitation universelle La revendication de priorité de Robert Hooke sur la loi de la gravitation universelle La défense de Newton La controverse dans l'opinion des scientifiques contemporains Ce que disent les supporters d'Isaac Newton Ce que disent les supporters de Robert Hooke Conclusions Bibliographie Notes -/- DOI: 10.13140/RG.2.2.20313.06245. (shrink)

This article had its beginning with Einstein's 1919 paper "Do gravitational fields play an essential role in the structure of elementary particles?" Together with General Relativity's statement that gravity is not a pull but is a push caused by the curvature of space-time, a hypothesis for Earth's ocean tides was developed that does not solely depend on the Sun and Moon as Kepler and Newton believed. It also borrows from Galileo. The breakup of planets and asteroids by white dwarfs, neutron (...) stars or black holes is popularly ascribed by today's science to tidal forces (gravitation emanating from the stellar body and having a greater effect on the near side of a planet/asteroid than the farthest side). Remembering Einstein's 1919 paper, it was apparent that my revised idea of tidal forces improves on current accounts because it views matter and mass as unified with space-time whose curvature is gravitation. Unification is a necessity for modern science's developing view of one united and entangled universe – expressed in the Unified Field Theory, the Theory of Everything, String theory and Loop Quantum Gravity. The writing of this article was also assisted by visualizing the gravitational fields forming space-time being themselves formed by a multitude of weak and presently undetectable gravitational waves. The final part of this article concludes that the section BITS AND TOPOLOGY will lead to the conclusions in ETERNAL LIFE, WORLD PEACE AND PHYSICS' UNIFICATION. The final part also compares cosmology to biological enzymes and biology's substrate of reacting "chemicals" - using virtual particles, hidden variables, gravitation, electromagnetism, electronics’ binary digits, plus topology’s Mobius strip and figure-8 Klein bottle. The product is mass - enzyme, substrate and product are all considered mathematical in nature. Also, gravitation and electromagnetism are united using logic and topology – showing there’s no need in this article for things like mathematical formalism, field equations or tensor calculus. (shrink)

Dans une note intitulée « Un état vrai de l'affaire et la controverse entre Sr Isaak Newton et le Dr Robert Hooke comme priorité de cette noble hypothèse du mouvement des planètes autour du Soleil en tant que leurs centres » non publié au cours de sa vie, Hooke a décrit sa théorie de la gravité. Pour soutenir sa « priorité », Hooke cite ses conférences sur les mouvements planétaires du 23 mai 1666, « Une tentative de prouver le (...) mouvement de la Terre à partir d'observations » publiées en 1674 et la correspondance avec Isaac Newton en 1679. DOI: 10.13140/RG.2.2.26375.24485. (shrink)

General Relativity’s Schwarzschild solution describes a spherically symmetric gravitational field as an utterly static thing. The Space Generation Model describes it as an absolutely moving thing. The light propagation time-delay experiment of Shapiro-Reasenberg [1] and the falling atomic clock experiment of Vessot-Levine [2] provide the ideal context for illustrating how, though the respective world views implied by these models are radically di fferent, they make nearly the same prediction for the results of these experiments.

Gravitation is interpreted to be an “ontomathematical” force or interaction rather than an only physical one. That approach restores Newton’s original design of universal gravitation in the framework of “The Mathematical Principles of Natural Philosophy”, which allows for Einstein’s special and general relativity to be also reinterpreted ontomathematically. The entanglement theory of quantum gravitation is inherently involved also ontomathematically by virtue of the consideration of the qubit Hilbert space after entanglement as the Fourier counterpart of pseudo-Riemannian space. Gravitation can be (...) also interpreted as purely mathematical or logical “force” or “interaction” as a corollary from its ontomathematical (rather than physical) realization. The ontomathematical approach to gravitation is implicit in general relativity equating it to operators in pseudo-Riemannian space obeying the Einstein field equation and also well-known by the “geometrization of physics”. Quantum mechanics shares the same by the separable complex Hilbert space and defining “physical quantity” by the Hermitian operators on it. One can interpret special Minkowski space involved by special relativity and the qubit Hilbert space of quantum information as Fourier counterparts immediately noticing that general relativity means gravitation as the Fourier counterpart of non-Hermitian operators implying non-unitarity and the violation of energy conservation and thus destroying Pauli’s particle paradigm. Since the Standard model obeys it, this explains the impossibility of “quantum gravitation” in any framework conservatively generalizing the Standard model so that it would include gravitation along with electromagnetic, weak, and strong interactions. Einstein’s geometrization of gravitation can be continued into a purely mathematical theory of it following Euclid’s realization for geometry to be exhaustively built in a deductive and axiomatic way as well as Riemann’s parametrization of all the class of Euclidean and non-Euclidean geometries by “space curvature”, then being generalized to Minkowski space as the operators on pseudo-Riemannian space as the Einstein field equation means gravitation. The transition from mathematical gravitation to logical one can rely on the historical lesson of the pair of Lobachevski’s and Riemann’s approaches now “reversely”, i.e., from the latter to the former. Logical gravitation is linkable to Hegel’s dialectical logic and ontological dialectics abandoning their interpretations as a new zero logic substituting classical propionyl logic. The approach of ontomathematics generalizing that of ontology, traceable even to Aristotle’s reformation of Plato’s doctrine, needs Hegel’s doctrine to be formalized as a first-order logic naturally containing Boolean algebra, isomorphic to both classical propositional logic and set theory being the class of all first-order logics, as a sub-logic along with Peano arithmetic as another sub-logic. The first-order logic at issue is called Hilbert arithmetic and elaborated in detail in other papers. It allows for both self-foundation of mathematics to be internally proved as complete and furthermore, quantum mechanics reinterpreted as quantum information to be included by the qubit Hilbert space interpretable in turn as a dual and physical counterpart of Hilbert arithmetic in a narrow sense, that is, both counterparts constitute Hilbert arithmetic in a wide sense, being mathematical and physical simultaneously and thus overcoming the Cartesian dualism of “body” gapped from “mind” by an abyss. Then, the proper philosophical interpretation of gravitation to be the fundamental ontomathematical force or interaction overcomes the ridiculous belief of the Big Bang wrongly alleged to be a scientific theory. Ontomathematical gravitation suggests an omnipresent and omnitemporal medium of “God’s” creation “ex nihilo” following only the natural necessity of quantum-information conservation particularly and locally manifested as energy conservation. (shrink)