Résumé: Fruit du colloque "Spiritualité japonaise - Perceptions et représentations, entre tradition et occidentalisation" organisé par les Universités Libre de Bruxelles et Catholique de Louvain, cet ouvrage propose des recherches en philosophie de la religion sur le Japon comparativement à l’Occident.

Vous pouvez obtenir un résumé rapide de ce livre sur p 135 ou 326. Si vous n’êtes pas, à la hauteur sur la psychologie de l’évolution , vous devriez d’abord lire l’un des nombreux textes récents avec ce terme dans le titre. L’un des meilleurs est "The Handbook of Evolutionary Psychology" 2nd ed par Buss. Jusqu’à il y a une quinzaine d’années, les «explications» du comportement n’ont pas vraiment été des explications des processus mentaux du tout, mais plutôt des descriptions (...) vagues et largement inutiles de ce que les gens ont fait et ce qu’ils ont dit, sans aucune idée de pourquoi. Nous pourrions dire que les gens se rassemblent pour commémorer un événement, louer Dieu, recevoir ses (ou ses) bénédictions, etc., mais rien de tout cela décrit les processus mentaux pertinents, donc nous pourrions dire qu’ils sont des explications à peu près de la même manière qu’il explique pourquoi une pomme tombe au sol si nous disons son parce que nous l’avons libéré, et il est lourd-il n’y a pas de mécanisme et pas de puissance explicative ou prédictive. Ce livre poursuit l’élucidation de la base génétique du comportement humain qui a été presque universellement ignorée et niée par le milieu universitaire, la religion, la politique et le public (voir l’excellent livre de Pinker ''The Blank Slatè'). Sa déclaration (p3) qu’il est inutile de demander si la religion est génétique est confondue comme le pourcentage de variation de tout comportement dû aux gènes et à l’environnement peut être étudié, tout comme ils le sont pour tous les autres comportements (voir par exemple, Pinker). Le titre devrait être "Tentatives préliminaires pour expliquer certains aspects de la religion primitive" car il ne traite pas du tout la conscience supérieure (par exemple, satori, illumination, etc.) qui sont de loin les phénomènes les plus intéressants et la seule partie de la religion d’intérêt personnel pour les personnes intelligentes et instruites au 21e siècle. En lisant tout ce livre, vous ne devineriez jamais que de telles choses existent. De même, pour l’immense domaine de la drogue et de la religion. Il manque un cadre de rationalité et ne mentionne pas les deux systèmes de vision de la pensée qui sont aujourd’hui si productifs. Pour cela, je suggère mes propres articles récents.. Néanmoins, le livre a beaucoup d’intérêt, et en dépit d’être daté vaut encore la peine d’être lu. Ceux qui souhaitent un cadre complet à jour pour le comportement humain de la vue moderne de deux systemes peuvent consulter mon livre 'The Logical Structure of Philosophy, Psychology, Mind and Language in Ludwig Wittgenstein and John Searle' 2nd ed (2019). Ceux qui s’intéressent à plus de mes écrits peuvent voir «Talking Monkeys --Philosophie, Psychologie, Science, Religion et Politique sur une planète condamnée --Articles et revues 2006-2019 3e ed (2019) et Suicidal Utopian Delusions in the 21st Century 4th ed (2019) et autres. (shrink)

Depuis Kant, les philosophes ont appris à parler, avec prudence, du surnaturel et de sa relation avec la nature. En général le surnaturel n’est même pas reconnu comme faisant partie de la philosophie. La situation n’aurait pu être plus différente aux XVIIe-XVIIIe siècles, lorsque les philosophes comprenaient la relation entre Dieu et le monde comme l’un des problèmes les plus importants que la philosophie fût censé résoudre. Les solutions étaient bien sûr extrêmement diverses : Spinoza niera même que (...) l’on puisse faire la distinction entre principe créateur et création, tandis que d’autres, tel Robert Boyle, s’imagineront un maître horloger créant une machine absolument parfaite, qui depuis sa création ne requiert aucun acte supplémentaire de la part de son créateur. Jusque dans la pensée du jeune Kant, cette idée se rencontrera sous des formes diverses. Tous convenaient, tout de même, qu’il fallait rejeter l’ancien modèle aristotélicien d’une nature désirante, reconstruisant la nature comme un système reposant sur quelques lois fondamentales et repensant à nouveaux frais le rôle que Dieu peut, ou doit, jouer dans un tel système. Les contributions du présent volume traitent d’aspects historiques et systématiques des théories modernes de la nature et du surnaturel, tout en essayant de comprendre, dans ce contexte, l’importance des théories de la relation entre Dieu et le monde. (shrink)

Las fuentes principales para la reconstrucción de la teoría del conocimiento de Hegel en su Sistema maduro son la filosofía del espíritu subjetivo y la Lógica subjetiva o Lógica del Concepto. En este respecto, la filosofía del Espíritu Absoluto ocupa en principio, dentro de la estrategia general adoptada por Hegel para exponer su pensamiento gnoseológico, un lugar periférico; sin embargo, toda vez que las formas del Espíritu Absoluto, esto es, el Arte, la Religión y la Filosofía, son para Hegel resultados (...) de la progresiva explicitación del tipo de contenidos que implica la lógica interna de los sucesivos actos cognitivos del sujeto, en el marco de la exposición de la filosofía del Espíritu Absoluto Hegel desarrolla y precisa ulteriormente su teoría general sobre los actos de conocimiento. En este contexto, el tratamiento del concepto de la religión en las lecciones berlinesas sobre filosofía de la religión ofrece una oportunidad privilegiada -por regla general inadvertida- para profundizar en el análisis de las reflexiones de Hegel sobre el fenómeno del conocimiento humano. En sus cuatro cursos berlineses -1821, 1824, 1827 y 1831- sobre filosofía de la religión, Hegel divide a esta disciplina en tres partes, a saber: el Concepto de la Religión, la Religión Determinada y la Religión Consumada; en la primera de esas partes, esto es, en la que dedica al concepto de la religión, Hegel desarrolla las diferentes formas subjetivas de la conciencia religiosa sin considerar su contenido (de su contenido versarán las dos partes siguientes), es decir, analiza los actos cognitivos del sujeto de un modo puramente formal, tal como lo había hecho antes en el marco de la filosofía del espíritu subjetivo. En esta medida, la exposición del concepto de la religión ofrece una verdadera filosofía del espíritu subjetivo en compendio en la que se retoman, pero también se complementan las tesis expuestas en la filosofía del espíritu subjetivo -más precisamente, en la Psicología- en sentido estricto. El objetivo de nuestro trabajo es analizar la teoría de los actos de conocimiento presente en las Lecciones sobre Filosofía de la Religión; en razón de los requisitos de extensión que debe cumplir este trabajo, nos limitaremos a analizar los desarrollos que Hegel ofrece en el manuscrito que usa como texto base para el dictado de su primera Lección sobre Filosofía de la Religión en el semestre de verano de 1821 (cf. G.W.F. Hegel, Vorlesungen. Ausgewählte Nachschriften und Manuskripte. Bd. 3. Vorlesungen über die Philosophie der Religion. 1. Einleitung und Begriff der Religion, Hamburg, Felix Meiner, 1983, pp. 95-163). (shrink)

Avant de commenter le livre, je vous propose des commentaires sur Wittgenstein et Searle et la structure logique de la rationalité. Les essais ici sont pour la plupart déjà publiés au cours de la dernière décennie (bien que certains ont été mis à jour), avec un élément non publié, et rien ici ne viendra comme une surprise pour ceux qui ont suivi son travail. Comme W, il est considéré comme le meilleur philosophe standup de son temps et son travail écrit (...) est solide comme un rocher et révolutionnaire tout au long. Cependant, son incapacité à prendre le W plus tard assez au sérieux conduit à quelques erreurs et confusions. Juste quelques exemples: sur p7, il note deux fois que notre certitude sur les faits de base est due à l’importance écrasante de la raison à l’appui de nos revendications, mais W a montré définitivement dans «Sur la certitude» qu’il n’y a aucune possibilité de douter de la véritable seule structure axiomatique de notre système 1 perceptions, souvenirs et pensées, car il est lui-même la base du jugement et ne peut pas lui-même être jugé. Dans la première phrase sur p8, il nous dit que la certitude est révisable, mais ce genre de «certitude», que nous pourrions appeler Certainty2, est le résultat de l’extension de notre certitude axiomatique et non révisible (Certitude1) par l’expérience et est tout à fait différent car il est proposé (vrai ou faux). C’est bien sûr un exemple classique de la « bataille contre l’envoûtement de notre intelligence par la langue » dont W a démontré maintes et maintes fois. Un mot- deux (ou plusieurs) utilisations distinctes. Son dernier chapitre "L’unité de la proposition" (précédemment inédit) bénéficierait également grandement de la lecture de W "On Certainty" ou les deux livres de DMS sur OC (voir mes commentaires) car ils font clairement la différence entre les phrases vraies seulement décrivant S1 et les propositions vraies ou fausses décrivant S2. Cela me semble comme une approche bien supérieure à S de prendre S1 perceptions comme propositionnelle car ils ne deviennent T ou F après que l’on commence à penser à eux dans S2. Cependant, son point que les propositions permettent des déclarations de vérité réelle ou potentielle et de fausseté, du passé et du futur et de la fantaisie, et donc fournir une énorme avancée sur la société pré ou protolinguistique, est convaincante. Comme il l’affirme : « Une proposition est tout ce qui peut déterminer une condition de satisfaction... et une condition de satisfaction... est que tel ou tel est le cas. Ou, il faut ajouter, qui pourrait être ou aurait pu être ou pourrait être imaginé pour être le cas. Dans l’ensemble, PNC est un bon résumé des nombreuses avancées substantielles sur Wittgenstein résultant du demi-siècle de travail de S, mais à mon avis, W est toujours inégalé une fois que vous saisissez ce qu’il dit. Idéalement, ils devraient être lus ensemble: Searle pour la prose et les généralisations clairement cohérentes, illustrés par les exemples perspicaces de W et les aphorismes brillants. Si j’étais beaucoup plus jeune, j’écrirais un livre faisant exactement cela. Ceux qui souhaitent un cadre complet à jour pour le comportement humain de la vue moderne de deuxemssyst peuvent consulter mon livre 'The Logical Structure of Philosophy, Psychology, Mind and Language in Ludwig Wittgenstein and John Searle' 2nd ed (2019). Ceux qui s’intéressent à plus de mes écrits peuvent voir «Talking Monkeys --Philosophie, Psychologie, Science, Religion et Politique sur une planète condamnée --Articles et revues 2006-2019 3e ed (2019) et Suicidal Utopian Delusions in the 21st Century 4th ed (2019) et autres. (shrink)

En 1994 el shayj Ali Muhsin Al Barwani concluyó en el exilio su traducción del Corán al swahili. La principal característica es que huía del swahili estándar formulado por los británicos, para usar el swahili clásico que se enseñaba en las madâris (escuelas coránicas) de Kenya, Tanzania y Zanzíbar. Además, esta traducción introducía elementos (léxico, símbolos, construcciones sociales) del pensamiento tradicional islámico swahili. Nuestro trabajo es un análisis hermenéutico simbólico de la primera sûrâ del Corán, al Fâtiha, para determinar los (...) elementos tradicionales swahilis, descristianizantes y anti-colonialistas en el texto de Al Barwani. De ahí inferiremos qué papel tiene esta traducción como elemento de resistencia contra el colonialismo. (shrink)

G. Hegel in his Introduction to the History of Philosophy limits the initiation of this study to the field of the kind of thinking that emerged in Greece in the S. V ac, starting to do it that in other traditions (in which states, the Taoism, the religion of the Vedas, the Buddhism), the thinking is not autonomus in relation to a religious, mystical, mythological or customs justifications. Therefore there is no thought free of external determinations in these traditions. (...) This Hegelian principle has been accepted by the vast majority of those who carry out the study on the origin and history of philosophy. This paper intends to point out, following comments from experts in the field, how in certain traditions of Indian philosophy defined as nastika darshanas, and taking the Cārvāka materialism as example, philosophical thought occurs free from external determinations (religious, mythological, etc.), without prejudice to those philosophical systems which have been useful when justifying or discredit certain positions in these branches of human action. (shrink)

In the texts that presented the theoretical assumptions of the Parc de La Villette, Bernard Tschumi used a large number of terms that contradicted not only the traditional principles of composing architecture, but also negated the rules of social order and the foundations of Western metaphysics. Tschumi’s statements, which are a continuation of his leftist political fascinations from the May 1968 revolution, as well as his interest in the philosophy of French poststructuralism and his collaboration with Jacques Derrida, prove that (...) terms such as disruption, dissociation, disfunction, disjunctions and dispersion not only referred to architectural problems but also applied to political criticism and the deepest foundations of thinking itself. His collaboration with Derrida manifested itself primarily in the publication La Case Vide: La Villette, 1985, in which the architect’s design drawings and texts explaining his concepts related to the Park de La Villette were accompanied by an extensive essay by Derrida, which included theoretical problems taken up by Tschumi in a philosophical context. Architectural and philosophical issues were also combined during seven discussion meetings organised by Peter Eisenman, invited by Tschumi to collaborate on the design of the Parc de La Villette. Eisenman, who, like Tschumi, invited Derrida to participate in the design of the park and also led to the publication of Chora L Works: Jacques Derrida and Peter Eisenman, in which his ideas were confronted with Derrida’s philosophical text. In this case, Derrida’s essay was not a direct commentary on the architect’s concepts, but rather a reflection on the question of the chôra presented by Plato in Timaeus. During the discussion and in his essay, Derrida pointed out that the chôra is a component of the created world, yet it does not belong to it, but precedes it. The originality of the chôra is so radical that she also precedes all the factors of creating the world, including ideas and the Demiurge. Thus a thesis appeared in the metaphysics of the West that the chôra is a form of active abyss, in relation to which all beings are secondary, both those perfect (as ideas or God) and those created, such as the world, things, people or language. This leads to the conclusion that the chôra does not exist, because all existence is a derivative of the chôra. Nor could the chôra be described, since it is a form of developing a space that is preceded by a lack of space characteristic of the chôra. Derrida intended the chôra to be an instance with an exceptional degree of transcendentalism, an anti-metaphysical instance, but also an a-theological one. However, this attempt failed, both in the field of secular philosophy and in the field of theology. Derrida’s characteristics of the chôra to strengthen its transcendentalism and negation of metaphysics had to be expressed in a language that immediately produces new concepts and a new metaphysics that reproduces the categories of the beginning, the origin or the foundation known from earlier philosophical traditions. All forms of criticism of metaphysics are also inspired by negative, apophatic and mystical theology. The undermining of many concepts of permanent meaning and the introduction of new concepts of unstable meaning, characteristic of the philosophy of deconstruction, had many features of originality, but it was directed towards problems whose solutions repeat, with the use of new vocabulary, the findings known in culture since Democritus. Thus, if apophatic philosophy can be regarded as deconstruction avant la lettre, then deconstruction itself in its late versions began to take on the features of a new religion. The exchange of inspiration between theology and deconstruction was manifested in a series of scientific conferences and publications in which Derrida’s philosophical concepts were interpreted within the scope of religious thought. Theological threads began to be found in such concepts of deconstruction as différance or the chôra, while at the same time Derrida himself undertook in his philosophy to study problems such as the Other (L’Autre) or Impossible (Impossible), which belonged to newer theological traditions. As a consequence of the new problems, the deconstruction became closer to the features of a new religion. Philosophy, at least from Kant’s time, has tried to create a system that would take over from religion the tasks of setting moral and political goals. Similarly, Derrida has directed his interest towards the problems of democracy and ethics, which would enable their renewal. Attempts to create a new religion (cleared of old metaphors), a new community or a new democracy bring problems and threats which may be no less troublesome than the previous systems. All promises of freedom carry with them threats, the greater the more they strive for perfection. The renewal of existential orders, sometimes carried out by means of violent changes, is a certain repetitive feature of human cultures. Deep changes, however, do not protect against the return of both old gods and old demons. Tschumi and Derrida were shaped in their youth by the atmosphere of leftist rebellion against the moral and political limitations of ossified communities and the imperfections of democracy. The ethical theme distinguishes many of their works, including the Parc de La Villette. The opposition to the metaphysical traditions of philosophy and architecture contained in this park was prompted by specific political situations and resulted from bringing political issues to the level of philosophical considerations. Achievements made at the level of pure concepts were then subject to elevation, to a kind of sacralization, which made them religious concepts. The deconstruction reached for the stratus of the new religion especially when it found its followers and began to generate moral obligations. In the new situation, terms such as the chôra, l’autre or the Impossible were absolutized and in relation to them a cult and attitude of adoration emerged. The Parc de La Villtette then gained new post-secular meanings, which allow it to be assigned the function of a Temple of Otherness (L’Autre) and Impossible. (shrink)

In the traditional sense, a work of art creates an illustration of the outside world, or of a certain text or doctrine. Sometimes it is considered that such an illustration is not literal, but is an interpretation of what is visible, or an interpretation of a certain literary or ideological message. It can also be assumed that a work of art creates its own visual world, a separate story or a separate philosophical statement. The Parc de La Villette represents the (...) last of these possibilities: it is a philosophical statement that develops the premises derived from poststructuralist philosophies and the philosophy of deconstruction. The uniqueness of its being status, however, is that it does so not only at the level of the theoretical assumptions, but also through its functioning as an active philosophical work. This means that a park is a happening philosophy. Its activity, however, does not refer only to the present tense, but is also an attempt to penetrate the future, all otherness and impossibility. This kind of activity assumes that the work, in a sense, does not yet fully exist, but is also still produced in the processes of its interpretation. The theoretical foundations of the park included texts by Bernard Tschumi, in which he questioned traditional ways of creating a work of architecture, postulating in return the use of a long series of negations, which were comparable to the crisis of metaphysics characteristic of contemporary philosophy. It is therefore no coincidence that the publication containing Tschumi’s theoretical text on Parc de La Villette was accompanied by an essay by Jacques Derrida developing some of the architect’s concepts. The next step in integrating philosophy into the process of park design was a series of discussions between Peter Eisenman and Derrida, who completely moved the creation of the park into the world of thoughts, without accentuating the need for their realization in the material reality. The main topic of these discussions was the problem of the chôra, which was taken up by later commentators and used to interpret the park as a work in which the philosophy of the beginning is manifested relating to issues of politics, morality and religion. The park was therefore interpreted as a space of invention within the scope of creating new rules of functioning of the community and democracy. Thinking about the political future may, however, exceed the horizon of ordinary expectations. Although philosophical thought is always connected with contemporary problems and metaphysics sometimes intertwines with current politics, yet at the same time the customs of philosophy also include crossing horizons and thinking about absolute otherness and impossibility. Initially, the chôra, différance, Absolute Otherness (tout autre) and the Impossibile were concepts of pure philosophy of atheistic character, but with the further development of the discussion, more and more theological motifs began to emerge. One of the reasons for this phenomenon was the fact that radical negations of all being, which were contemplated in contemporary philosophy (by Heidegger and Derrida, among others), had previously been manifested in negative and apophatic theologies (by Master Eckhart, among others). Also the category of the “Other”, taken from Emmanuel Levinas, was clearly connected with the thought about God. A further reason for connecting the chôra with the theological thought was the interest in the philosophy of deconstruction expressed by some theologians. Caputo in particular managed to persuade Derrida to participate in discussions on the current status of religion. In the late period of Derrida’s writing, further statements on religious topics appeared. All these reasons led to posing a question about the identity of the chôra and God. Although there were no satisfactory conclusions on this issue, the discussion was also important to create an interpretation of the park as a place of worship. The chôra, representing, according to Plato, the preoriginal emptiness is the place of every beginning, but it turns out that it is not neutral to the being created in it. The chôra deposits itself in every being as an irremovable beginning that interferes with its stability. The chôra, therefore, forces us into a palintropical movement, but it also turns out to be a pure compulsion, an erring necessity and a fundamental force from which, in the human perception, motifs useful to the individual and to the community are extracted. All definitions of this force, including its anthropomorphisation, are formulated in such a way that they allow for building private and collective morality upon them. Such definitions are changed depending on variable political situations. It is difficult to determine whether in the processes of changes in the formulation of “God’s names” any essential value is retained, which is not subject to change. The current definitions of the chôra (God?), which can be found, for example, in the philosophy of Caputo, stress that she is a combination of various and contradictory forces. This characteristic inherits much of Plato’s concept, reminds us of Master Eckhart’s views on Gottheit and, at the same time, is not unfamiliar to Tschumi, whose essays were an apologia of contradictions. The current concept of chôra, transferred into the sphere of politics, is the praise of social diversity and the protection of the difference from the forces of order. In the Parc de La Villette, the future community and democracy were elevated as a system of safe existence of individuals in all their singularity. The park is a temple of a future community in which individual beings have nothing in common. (shrink)

(Spanish) RESUMEN: La libertad absoluta postulada por Viktor Emil Frankl y Jean-Paul Sartre, la Shoah y la creencia en un dios omnipotente, bueno y justo parecen contradecirse. La pregunta por el sentido del sufrimiento de las víctimas del Holocausto (la verdadera catástrofe, el mayor crimen contra la humanidad), simbolizado por Auschwitz, y como punto de inflexión en la historia, es terriblemente dolorosa y parece no tener una respuesta filosófica ni teológica. A mi juicio, es importantísimo distinguir entre las víctimas inocentes (...) de la Shoah que perecieron y las víctimas inocentes que sufrieron un verdadero infierno y perdieron a sus seres queridos, pero que lograron sobrevivir. Ambas son víctimas, por supuesto, pero así como encontrarle un posible sentido al sufrimiento de las víctimas masacradas y gaseadas podría suponer un insulto a su sufrimiento y agonía –en especial, al horror que sufrieron los niños–, el horrible sufrimiento de los supervivientes pudo dar, tal vez, de alguna manera, un sentido a sus vidas después de la liberación de los campos de concentración y exterminio, ya fuera como voz, como protesta o como simple supervivencia. Frankl apuesta por un sentido último (que abraza el sentido del sufrimiento de las víctimas), y Sartre, aunque parezca no apostar por sentido alguno, volcó su vida al compromiso político después de la Segunda Guerra Mundial, y ello parece vislumbrar una minúscula pizca de sentido después de la barbarie. La filosofía de Frankl es un sí a la vida incluso en las situaciones más extremas, un grito casi nietzscheano que exalta el valor de la vida más allá de cualquier sufrimiento. Frankl, padre de la logoterapia y superviviente del Holocausto, abre una puerta a Dios al hablar de un dios inconsciente, una dimensión suprahumana y una fe incondicional, y define la religión como espiritualidad y como la búsqueda del hombre por el sentido último. Según Frankl, la libertad no se contradice con Dios, y la religión existe no a raíz de la barbarie, sino a pesar de la barbarie. El existencialismo sartreano es una filosofía de la libertad radical y de la responsabilidad. El hombre está condenado a ser libre. El ser humano es un ser en el que la existencia precede a la esencia. Somos totalmente responsables de lo que somos. Sartre afirma que la libertad humana es incompatible con Dios. En un mundo sin Dios, la moral la construyen los hombres, con sus propias decisiones y sus acciones, y la existencia y el sufrimiento de las víctimas no tienen sentido alguno. Sartre define al hombre como libertad, responsabilidad, angustia y contingencia. Frankl define al hombre como libertad, responsabilidad, espiritualidad y búsqueda de sentido. Con esta tesis me propongo entrar en la resbaladiza dimensión del dolor, la desesperación, el sentido y sinsentido del sufrimiento de las víctimas (teniendo presente los horrores de Auschwitz, que en teología y filosofía ha simbolizado desde la liberación de los campos la muerte de Dios y la muerte de la moral). Es verdad que no solo los hombres, mujeres y niños judíos fueron víctimas de la barbarie alemana, pero, como reza el mensaje de Elie Wiesel en la exposición permanente del Block 27 del Auschwitz-Birkeanu State Museum: "Not all victims were Jewish in this place, but all Jews were victims". La Shoah no es un episodio dentro de la Segunda Guerra Mundial, sino un punto de inflexión en la historia de la humanidad, y es una catástrofe que nos concierne a todos, hombres y mujeres judíos y no judíos, religiosos e irreligiosos, creyentes e increyentes, como seres libres, responsables y morales que somos –o que deberíamos ser. Muchas de las víctimas del Holocausto, en medio de la desesperación, entraron en las cámaras de gas orando, aferrándose a la esperanza de que ese final espeluznante no era un punto final. Con esta tesis no me propongo de ninguna manera responder a la eterna pregunta de si Dios existe o no, sino que propongo interpretar ese grito hacia Dios como un desesperado anhelo de esperanza. También me propongo encontrar una coherencia en las posturas de estos dos grandes pensadores para quienes la libertad y la responsabilidad definen al hombre: Frankl (quien apuesta por una dimensión suprahumana donde existe un sentido último en el que el sufrimiento de las víctimas tiene que tener algún sentido, aunque ese sentido sea completamente incomprensible en la dimensión humana) y Sartre (el existencialista ateo por excelencia, para quien el mundo, la existencia y el sufrimiento son absolutamente contingentes). En el primer capítulo expongo la logoterapia y el existencialismo sartreano: describo las tres dimensiones del hombre y las tres búsquedas de sentido propuestas por Frankl, y expongo las cinco consecuencias de "l'existence précède l'essence", centrándome en la libertad y la responsabilidad, y hablo del suicidio. El segundo capítulo está dedicado al dios inconsciente frankleano, la dimensión suprahumana, la búsqueda por el sentido último y la fe incondicional. En el tercer capítulo ilustro la libertad sin Dios sartreana, la ontología sartreana, el ateísmo sartreano y el humanismo sartreano, y hablo sobre la responsabilidad, la mauvaise foi, la contingencia, la situation y la angustia. El cuarto capítulo es necesariamente histórico (sin dejar de ser filosófico): me pregunto por la muerte de Dios después de Auschwitz, argumento y defiendo la unicidad del Holocausto (la Shoah es un punto de inflexión en la historia de la humanidad), describo las masacres antes de los campos de exterminio (Einsatzgruppen, Ordnungspolizei y Wehrmacht), el gigantesco complejo de Auschwitz (Stammlager, Auschwitz-Birkenau y Monowitz-Buna), reflexiono sobre Dios y el mal (centrándome en los niños de Auschwitz), describo los días de Frankl en Auschwitz, hablo de Dios como esperanza, de la inmortalidad y la escatología, de la crueldad de Dios, de la relación entre el cristianismo y el antisemitismo, del islam y el antisemitismo, critico el silencio de Dios, hablo de la muerte de Dios y del juicio contra Dios. En el quinto capítulo expongo la moral frankleana (una moral que atañe al hombre y no a Dios), basándome en su teoría del amor y en su única obra de teatro (Synchronisation in Binkerwald), y la moral sartreana (una moral que atañe a una humanidad sin Dios), recordando a Dostoyevsky, analizando la famosa cita de Garcin en Huis clos "L'enfer, c'est les Autres", criticando el marxismo de Sartre y cuestionando (con la mirada de Frankl y Sartre) el verso de Brecht "Erst kommt das Fressen, dann kommt die Moral"; al final del capítulo incluyo una reflexión propia y las críticas frankleana y sartreana sobre la impunidad de los verdugos y colaboradores después del Holocausto (con el permiso de Dios). Después de la Conclusión, añado un Apéndice sobre las vidas de Frankl y Sartre, para poder entender mejor su obra. PALABRAS CLAVE: logoterapia, existencialismo sartreano, búsqueda de sentido, libertad, responsabilidad, moral, angustia, sufrimiento, supervivientes, víctimas, contingencia, espiritualidad, religión, Dios, esperanza, antisemitismo, culpa, Auschwitz, Holocausto, Shoah. /// (English) ABSTRACT: The absolute freedom defended by Viktor Emil Frankl and Jean-Paul Sartre, the Shoah and the belief in an omnipotent, benevolent and just God seem to contradict each other. The question of the meaning of the victims' suffering of the Holocaust (the true catastrophe, the biggest crime against humanity), simbolised by Auschwitz and as a turning point in History, is terribly painful and doesn't seem to have an answer. In my opinion, it's crucial to distinguish between the innocent victims of the Shoah who perished and the innocent victims who sufferend a real hell and lost their loved ones, but managed to survive. Both are victims, of course, but just as finding a possible meaning to the suffering of the massacred and gassed victims could result in an insult to their suffering and agony –especially to the horror that the children suffered– the gigantic suffering of the survivors could, maybe, somehow, give a meaning to their lives after the liberation of the concentration and extermination camps, either as a voice, as a protest, or as a simple survival. Frankl believes in an ultimate meaning (that embraces the meaning of the victims' suffering), and Sartre, even if it appears not to embrace any meaning, turned his life to political engagement after War World II, and that attitude seems to give a tiny glimpse of meaning after the barbarity. Frankl's philosophy says yes to life even in the most extreme situations, and it's a Nietzschean-like scream that exalts the value of life beyond any monstrous suffering. Frankl, the father of logotherapy and a Holocaust survivor, opens a door to God when he talks about an unconscious God, a supra-human dimension and an unconditional faith; he defines religion as spirituality and as man's search for ultimate meaning. According to Frankl, freedom is not contradictory with God, and religion exists not because of the barbarity but in spite of the barbarity. Sartrean existentialism is a philosophy of radical freedom and responsibility. Men are condemned to be free. We are beings where the existence precedes the essence. We are completely responsible of what we are. Sartre argues that human freedom is incompatible with God. In a godless world, morality is constructed by people, with their own choices and actions, and human existence and the suffering of the victims don't have any meaning. Sartre defines man as freedom, responsibility, Angst and contingency. Frankl defines man as freedom, responsibility, spirituality and search for meaning. With this dissertation I attempt to enter in the slippery dimension of the pain, despair, meaning and meaninglessness of the victims' suffering (having in mind the horrors of Auschwitz, that in theology and in philosophy have simbolised, since the liberation of the camps, the death of God and the death of morality). It's true that not only Jewish men, women and children were victims of the German barbarity, but, as Elie Wiesel's message from the permanent exhibition from Block 27 of the Auschwitz-Birkeanu State Museum reads: "Not all victims were Jewish in this place, but all Jews were victims". The Shoah is not an episode inside War World II, but a turning point in the history of humankind, and a catastrophe that embraces us all, Jewish and not not Jewish men and women, religious and not religious, believers and not believers, as the free, responsible and moral beings that we all are –or that we should be. A lot of the victims, in the midst of their desperation, entered into the gas chambers praying, holding to the hope that their horrifying end was not the ultimate end. With this dissertation I do not attempt to answer the eternal question of the existence of God, rather, I will try to interpret that scream to God as a longing for hope. I also intend to find a coherence between the thought of these two great thinkers for whom freedom and responsibilty define man: Frankl (who argues that there is a suprahuman dimension where an ultimate meaning exists and where the victims' suffering has to have a meaning, even if this meaning is completely incomprehensible in the human dimension) and Sartre (the atheist existentialist par excellence, for whom the world, human existence and suffering are absolutely contingent). In the first chapter I expose logotherapy and Sartrean existentialism: I describe the three dimensions of man, the three searches for meaning, the five consequences of "l'existence précède l'essence" and I speak about suicide. The second chapter delves into the unconscious God, the supra-human dimension, the ultimate meaning and the unconditional faith. In the third chapter I expose the freedom without God defended by Sartre, Sartre's ontology, Sartre's atheism, Sartre's humanism, and his ideas about responsibility, mauvaise foi, contingency, situation, and Angst. The fourth chapter is necessarily historical (while being philosophical too): I wonder about the death of God after Auschwitz, I argue and defend the uniqueness of the Holocaust (the Shoah is a turning point in the history of humankind), I describe the massacres before the extermination camps (Einsatzgruppen, Ordnungspolizei y Wehrmacht), the gigantic Auschwitz camp complex (Stammlager, Auschwitz-Birkenau y Monowitz-Buna), I reflect on God and evil (focusing on the children of Auschwitz), I describe Frankl's days in Auschwitz, I talk about God as hope, about immortality and escathology, I discuss God's cruelty, the relationship between Christianity and antisemitism and Islam and antisemitism, I question the silence of God, and I talk about the death of God and about the trial against God. In the fifth chapter I talk about the Franklean morality (a morality that concerns man and not God), on the basis of his love theory and his only work of theater (Synchronisation in Binkerwald), and the Sartrean morality (a morality that concerns a humanity without God), remembering Dostoyevsky, analysing Garcin's famous quote in Huis clos "L'enfer, c'est les Autres", crticizing Sartre's marxism and questioning (with Frankl's and Sartre's eyes) Brecht's verse "Erst kommt das Fressen, dann kommt die Moral"; at the end of the chapter I include my own reflection (and Frankl and Sartre's critique) about the impunity of the executioners and collaborators after the Holocaust (with God's permission). After the Conclusion, I add an Appendix about the lives of Frankl and Sartre, which helps understanding better their work. KEYWORDS: logotherapy, existentialism, search for meaning, freedom, responsibility, morality, Angst, suffering, survivors, victims, contingency, spirituality, religion, God, hope, antisemitism, guilt, Auschwitz, Holocaust, Shoah. (shrink)

Vous obtenez un échantillon formidable de mauvaise écriture, des idées confuses et dépassées et un jargon obsolète. Si l’on a une bonne éducation actuelle, il est doublement douloureux de lire ce livre (et la plupart écrit sur le comportement humain). Douloureux parce qu’il est si torturé et déroutant, et puis encore quand vous vous rendez compte à quel point il est simple avec la psychologie moderne et la philosophie. La terminologie et les idées sont horriblement confuses et datées (mais (...) moins dans l’analyse de Wilber que dans ses sources). Ce livre et la plupart de ses sources sont des textes de psychologie en soi, bien que la plupart des auteurs ne s’en soient pas rendu compte. Il s’agit du comportement humain et du raisonnement sur les raisons pour lesquelles nous pensons et agissons comme nous le faisons et comment nous pourrions changer à l’avenir. Mais (comme toute une telle discussion jusqu’à récemment) aucune des explications n'est vraiment des explications, et donc ils ne donnent aucun aperçu du comportement humain. Personne ne discute des mécanismes mentaux impliqués. C’est comme décrire comment une voiture fonctionne by discuter du volant et du métal et de la peinture sans aucune connaissance du moteur, du carburant ou du train d’entraînement. En fait, comme la plupart des anciens «exemples» de comportement, les textes cite ici et les commentaires par Wilber sont souvent plus intéressants pour ce genre de choses qu’ils acceptent (et omettre!) comme explications, et le genre de raisonnement ils utilisation, que pour le contenu réel. Si l’on est sur la philosophie et la psychologie cognitive et évolutive, la plupart de ce qui est archaïque. Comme presque tout le monde (érudits et public—e. g. voir mon examen de La Liberté Evoluie de Dennett et d’autres livres), il ne comprend pas que les bases de la religion et l’éthique - en fait tout comportement humain, sont programmés dans nos gènes. Une révolution dans la compréhension de nous-mêmes a eu lieu alors qu’il écrivait ses nombreux livres et il l’a passé par. Ceux qui souhaitent un cadre complet à jour pour le comportement humain de la vue moderne de deux systemes peuvent consulter mon livre 'The Logical Structure of Philosophy, Psychology, Mind and Language in Ludwig Wittgenstein and John Searle' 2nd ed (2019). Ceux qui s’intéressent à plus de mes écrits peuvent voir «Talking Monkeys --Philosophie, Psychologie, Science, Religion et Politique sur une planète condamnée --Articles et revues 2006-2019 3e ed (2019) et Suicidal Utopian Delusions in the 21st Century 4th ed (2019) et autres. (shrink)

L'oeuvre philosophique de Hans-Georg Gadamer offre des concepts éclairants pour penser les rapports de la modernité occidentale avec son héritage religieux. Elle jette notamment une lumière précieuse sur la relative rupture avec la religion qui marque la réalité sociopolitique contemporaine de plusieurs cultures de l'Ouest. Dans la présente contribution, il sera question de la place que peut occuper, dans la perspective de Gadamer, la religion (au sens générique du terme) dans l'ethos occidental. Mon propos consistera dans un premier (...) temps à souligner brièvement la pertinence de l'herméneutique gadamérienne pour la mise en relief de la place que conserve la religion dans la situation herméneutique de l'Occident actuel, en prenant pour concept phare celui de travail de l'histoire (Wirkungsgeschichte). Je chercherai, dans un deuxième temps, à dégager, à partir des écrits plus tardifs de Gadamer, quelques indications sur le rôle que peut jouer la religion dans le devenir solidaire de l'humanité. (shrink)

Dans cette contribution, j'examinerai l'argument qui renvoie dos à dos le théisme et l'athéisme et qui structure la présentation de l'alternative que constitue le Dieu à venir. N'étant ni adhérant, ni sympathisant du réalisme spéculatif, je ne proposerai pourtant pas de critique externe de la philosophie de la religion proposée par Meillassoux. De manière heuristique, je vais tenir pour acquis Après la finitude et je montrerai ce qui me semble être les faiblesses de l'argument, critiques rendant finalement peu (...) crédible l'affirmation que peut encore venir un Dieu qui ne serait ni le Dieu métaphysique, ni le Dieu du sentiment religieux. Pour cela, je vais reprendre le dilemme spectral (Meillassoux) et discuter la cohérence du concept de Dieu à venir ainsi que sa pertinence pour résoudre le dilemme. Il apparaitra alors que si l'on admet la contingence absolue, on ne peut croire raisonnablement en un Dieu, même à venir. D'où le désespoir absolu. (shrink)

Catharine Trotter Cockburn (1679- 1749) fu poetessa, drammaturga e filosofa. La vivacità intellettuale e la forte determinazione le permisero di aggirare il pregiudizio di genere e di sottrarsi alle dinamiche di marginalizzazione femminile tipiche dell’età moderna. Pur celandosi dietro l’anonimato, Cockburn prese parte attiva al dibattito filosofico del tempo, intervenendo soprattutto in materia di morale. Le sue opere filosofiche, scritte in difesa di Locke o di Clarke, custodiscono, nonostante il dichiarato intento apologetico, tratti di originalità e indipendenza, particolarmente evidenti nella (...) teoria dell’obbligo morale, nell’interpretazione modale della dottrina lockeana d’identità personale, nell’ipotesi di una natura ontologica dello spazio. (shrink)

Horwich donne une belle analyse de Wittgenstein (W) et est un érudit W de premier plan, mais à mon avis, ils sont tous en deçà d’une pleine appréciation, comme je l’explique longuement dans cet examen et beaucoup d’autres. Si l’on ne comprend pas W (et de préférence Searle aussi) alors je ne vois pas comment on pourrait avoir plus qu’une compréhension superficielle de la philosophie et de la pensée de l’ordre supérieur et donc de tout comportement complexe (psychologie, sociologie, (...) anthropologie, histoire, littérature, société). En un mot, W a démontré que lorsque vous avez montré comment une phrase est utilisée dans le contexte d’intérêt, il n’y a rien de plus à dire. Je vais commencer par quelques citations notables, puis donner ce que je pense sont les considérations minimales nécessaires pour comprendre Wittgenstein, la philosophie et le comportement humain. Tout d’abord, on pourrait noter que mettre "meta" en face de n’importe quel mot devrait être suspect. W a fait remarquer par exemple, que la métamathématique est mathématiques comme les autres. L’idée que nous pouvons sortir de la philosophie (c’est-à-dire la psychologie descriptive de la pensée de haut ordre) est elle-même une profonde confusion. Une autre irritation ici (et tout au long de l’écriture académique pour les 4 dernières décennies) est le sexisme linguistique inverse constant de «elle» et «la sienne» et «elle» ou «il / elle», etc, où «ils» et «leur» et «eux» ferait bien. De même, l’utilisation du mot Français «répertoire» où le «répertoire» anglais se portera plutôt bien. La lacune majeure est l’échec complet (bien que très commun) d’employer ce que je considère comme la vue extrêmement puissante et intuitive de deux systèmes de HOT et Searle cadre que j’ai décrit ci-dessus. C’est particulièrement poignant dans le chapitre sur le sens p111 et seq. (en particulier dans les notes de bas de page 2-7), où nous nageons dans l’eau très boueuse sans le cadre de l’automatisé vrai seul S1, propositionnelle dispositionnelle S2, COS etc. On peut également avoir une meilleure vue de l’intérieur et de l’extérieur en lisant par exemple, Johnston ou Budd (voir mes commentaires). Horwich fait cependant beaucoup de commentaires incisifs. J’ai particulièrement aimé son résumé de l’importation de la position anti-théorique de W sur p65. Il doit mettre davantage l’accent sur 'On Certainty', récemment l’objet de beaucoup d’efforts de Daniele Moyal- Sharrock, Coliva et d’autres et résumé dans mes récents articles. Horwich est de premier ordre et son travail vaut bien l’effort. On espère qu’il (et tout le monde) étudiera Searle et une certaine psychologie moderne ainsi que Hutto, Read, Hutchinson, Stern, Moyal-Sharrock, Stroll, Hacker et Baker, etc. pour atteindre une large vision moderne du comportement. La plupart de leurs papiers sont sur academia dot edu et philpapers dot org, mais pour PMS Hacker voir http : info dot sjc dot ox dot ac dot uk/ scr / hacker / DownloadPapers dot html. Il donne l’un des plus beaux résumés de l’endroit où une compréhension de Wittgenstein nous laisse que j’ai jamais vu. « Il ne doit y avoir aucune tentative d’expliquer notre activité linguistique/conceptuelle (PI 126) comme dans la réduction de l’arithmétique à la logique de Frege ; aucune tentative de lui donner des fondations épistémologiques (PI 124) comme dans les comptes basés sur le sens d’une connaissance a priori; aucune tentative de caractériser des formes idéalisées de celui-ci (PI 130) comme dans le sens logique; aucune tentative de réforme (PI 124, 132) comme dans la théorie de l’erreur de Mackie ou l’intuitionnisme de Dummett; aucune tentative de rationaliser (PI 133) comme dans le récit de Quine de l’existence; aucune tentative pour le rendre plus cohérent (PI 132) comme dans la réponse de Tarski aux paradoxes menteurs; et aucune tentative pour le rendre plus complet (PI 133) comme dans le règlement des questions d’identité personnelle pour des scénarios hypothétiques bizarres de « téléportation ». Enfin, permettez-moi de suggérer qu’avec la perspective que j’ai encouragée ici, W est au centre de la philosophie et de la psychologie contemporaines et n’est pas obscure, difficile ou non pertinente, mais scintillante, profonde et limpide et que de lui manquer est de manquer l’une des plus grandes aventures intellectuelles possibles. Ceux qui souhaitent un cadre complet à jour pour le comportement humain de la vue moderne de deuxemssyst peuvent consulter mon livre 'The Logical Structure of Philosophy, Psychology, Mind and Language in Ludwig Wittgenstein and John Searle' 2nd ed (2019). Ceux qui s’intéressent à plus de mes écrits peuvent voir «Talking Monkeys --Philosophie, Psychologie, Science, Religion et Politique sur une planète condamnée --Articles et revues 2006-2019 3e ed (2019) et Suicidal Utopian Delusions in the 21st Century 4th ed (2019) et autres. (shrink)

Como la mayoría de los escritos sobre el comportamiento humano, estos artículos carecen de un marco coherente y por lo tanto dudo en recomendar este libro a cualquier persona, ya que los experimentados deben tener la misma perspectiva que yo, y los ingenuos en su mayoría estarán perdiendo su tiempo. Dado que encuentro la mayoría de estos ensayos obviamente fuera de la marca o simplemente muy aburrido, no puedo generar mucho entusiasmo por comentar sobre ellos, así que después de proporcionar (...) lo que considero un precis razonable de un marco (ver mis otros artículos para una versión ampliada) proporciono comentarios superficiales sobre los diversos artículos. Aquellos que deseen un marco completo y actualizado para el comportamiento humano desde la vista moderna de dos sistemas pueden consultar mi libros Talking Monkeys 3ª ed (2019), The Logical Structure of Philosophy, Psychology, Mind and Language in Ludwig Wittgenstein and John Searle 2a ed (2019), Suicidio por Democracia 4ª ed (2019), La estructura Lógica del Comportamiento Humano (2019), La Estructura Lógica de la Conciencia (2019, Comprender las Conexiones entre la Ciencia, la Filosofía, Psicología, Religión, Política , Economía, Historia y Literatura (2019), Delirios Utópicos Suicidas en el Siglo XXI 5ª ed (2019) y otras. "La confusión y la estérilidad de la psicología no debe explicarse llamándola "ciencia joven"; su estado no es comparable con el de la física, por ejemplo, en sus inicios. (Más bien con la de ciertas ramas de las matemáticas. Teoría del conjunto.) Porque en psicología hay métodos experimentales y confusión conceptual. (Como en el otro caso, confusión conceptual y métodos de prueba.) La existencia del método experimental nos hace pensar que tenemos los medios para resolver los problemas que nos molestan; aunque el problema y el método se pasan unos a otros". Wittgenstein (PI p.232) . (shrink)

Je commence par quelques commentaires célèbres par le philosophe (psychologue) Ludwig Wittgenstein parce que Pinker partage avec la plupart des gens (en raison des paramètres par défaut de notre psychologie innée évoluée) certains préjugés sur le fonctionnement de l’esprit, et parce que Wittgenstein offre des idées uniques et profondes dans le fonctionnement du langage, la pensée et la réalité (qu’il considérait comme plus ou moins coextensive) ne trouve nulle part ailleurs. Lare est seulement une référence à Wittgenstein dans ce volume, (...) ce qui est très malheureux étant donné qu’il était l’analyste le plus brillant et original de la langue. Dans le dernier chapitre, en utilisant la célèbre métaphore de la grotte de Platon, il résume magnifiquement le livre avec un aperçu de la façon dont l’esprit (langage, pensée, psychologie intentionnelle) - un produit de l’égoïsme aveugle, modéré que légèrement par l’altruisme automatisé pour les proches portant des copies de nos gènes (Inclusive Fitness)- fonctionne automatiquement, mais tente de se terminer sur une note optimiste en nous donnant l’espoir que nous pouvons néanmoins utiliser ses vastes capacités pour coopérer et faire du monde un endroit décent pour vivre. Pinker est certainement au courant, mais dit peu sur le fait que beaucoup plus sur notre psychologie est laissé de côté que inclus. Parmi les fenêtres de la nature humaine qui sont laissées de côté ou qui reçoivent un minimum d’attention, on peut lire les mathématiques et la géométrie, la musique et les sons, les images, les événements et la causalité, l’ontologie (classes de choses ou ce que nous savons), la plupart de l’épistémologie (comment nous le savons), les dispositions (croire, penser, juger, avoir l’intention, etc.) et le reste de la psychologie intentionnelle de l’action, des neurotransmetteurs et des enthéogènes, des états spirituels (p. ex. satori et illumination, stimulation et enregistrement du cerveau, lésions cérébrales et déficits comportementaux et troubles, jeux et sports, théorie de la décision (théorie des jeux et économie comportementale), comportement animal (très peu de langage mais un milliard d’années de génétique partagée). De nombreux livres ont été écrits sur chacun de ces domaines de la psychologie intentionnelle. Les données de ce livre sont des descriptions, pas des explications qui montrent pourquoi notre cerveau le fait de cette façon ou comment il est fait. Comment pouvons-nous utiliser les phrases de leur manière (c.-à-d., connaître toutes leurs significations)? Il s’agit d’une psychologie évolutive qui fonctionne à un niveau plus fondamental, c’est-à-dire le niveau où Wittgenstein est le plus actif. Et il y a peu d’attention au contexte dans lequel les mots sont utilisés - une arène que Wittgenstein a lancée. Néanmoins, il s’agit d’une oeuvre classique et avec ces mises en garde est encore bien la peine de lire. Ceux qui souhaitent un cadre complet à jour pour le comportement humain de la vue moderne de deuxemssyst peuvent consulter mon livre 'The Logical Structure of Philosophy, Psychology, Mind and Language in Ludwig Wittgenstein and John Searle' 2nd ed (2019). Ceux qui s’intéressent à plus de mes écrits peuvent voir «Talking Monkeys --Philosophie, Psychologie, Science, Religion et Politique sur une planète condamnée --Articles et revues 2006-2019 3e ed (2019) et Suicidal Utopian Delusions in the 21st Century 4th ed (2019) et autres. (shrink)

Platon s'est inspir? des travaux philosophiques de certains de ses pr?d?cesseurs, en particulier Socrate, mais aussi Parm?nide, H?raclite et Pythagore, pour d?velopper sa propre philosophie, qui explore les domaines les plus importants, notamment la m?taphysique, l'?thique, l'esth?tique et la politique. Avec son professeur Socrate et son ?l?ve Aristote, il pose les bases de la pens?e philosophique occidentale. Platon est consid?r? comme l'un des philosophes les plus importants et les plus influents de l'histoire humaine, ?tant l'un des fondateurs de la (...) religion et de la spiritualit? occidentales. La philosophie qu'il a d?velopp?e, connue sous le nom de platonisme, est bas?e sur la th?orie des Formes connues par la raison pure comme une solution au probl?me des universaux. La philosophie de Platon s'inscrit dans la lign?e des pr?socratiques, des sophistes et des traditions artistiques qui sous-tendent l'?ducation grecque, dans un cadre nouveau, d?fini par la dialectique et la th?orie des Id?es. Pour Platon, la connaissance est une activit? de l'?me, affect?e par des objets sensibles, et par des processus internes. Dans La R?publique de Platon, la forme la plus ?lev?e est consid?r?e comme la Forme du Bien, la source de toutes les autres Formes qui pourraient ?tre connues par la raison. Le th?me central du livre est la justice, argument?e ? l'aide de plusieurs th?ories platoniciennes, dont le mythe all?gorique de la caverne, la doctrine des Id?es, la dialectique, la th?orie de l'?me et la conception d'une cit? id?ale. Sa dialectique est un type de connaissance, ? r?le ontologique et m?taphysique, qui s'atteint par la confrontation de plusieurs positions pour d?passer l'opinion (doxa), un passage du monde des apparences (ou ? sensible ?) ? la connaissance intellectuelle (ou ? intelligible ? ) aux premiers principes. Le mod?le ?ducatif de Platon (paid?ia) diff?rencie le niveau d'?ducation selon les comp?tences des ?l?ves. Selon les principes socratiques, pour faire justice, il faut savoir ce qui est bien, et c'est ce que le philosophe sait le mieux. Platon a d?taill? ce concept en soulignant la distinction entre le philosophe (qui cherche les principes de v?rit? sans pr?tendre les poss?der) et le sophiste (qui se laisse guider par l'opinion comme seul param?tre valable de la connaissance). (shrink)

Depuis Gintis est un économiste senior et j’ai lu certains de ses livres précédents avec intérêt, je m’attendais à un peu plus de perspicacité dans le comportement. Malheureusement, il fait les mains mortes de la sélection de groupe et la phénoménologie dans les pièces maîtresses de ses théories du comportement, et cela invalide en grande partie le travail. Pire encore, puisqu’il montre un si mauvais jugement ici, il remet en question tout son travail précédent. La tentative de ressusciter la sélection (...) de groupe par ses amis à Harvard, Nowak et Wilson, il y a quelques années, c’était l’un des principaux scandales en biologie au cours de la dernière décennie, et j’ai raconté la triste histoire dans mon article 'Altruism, Jesus and the End of the World-how the Templeton Foundation bought a Harvard Professorship and attacked Evolution, Rationality and Civilization -- A review of E.O. Wilson 'The Social Conquest of Earth' (2012) et Nowak and Highfield 'SuperCooperators' (2012).' Contrairement à Nowak, Gintis ne semble pas être motivé par le fanatisme religieux, mais par le fort désir de générer une alternative aux sombres réalités de la nature humaine, facilitée par le manque (quasi universel) de compréhension de la biologie humaine fondamentale et le slateisme vierge des scientifiques comportementaux, d’autres universitaires et du grand public. Gintis attaque à juste titre (comme il l’a fait à maintes reprises) les économistes, les sociologues et d’autres scientifiques du comportement pour ne pas avoir un cadre cohérent pour décrire le comportement. Bien sûr, le cadre nécessaire pour comprendre le comportement est évolutif. Malheureusement, il ne parvient pas à en fournir un lui-même (selon ses nombreux critiques et je suis d’accord), et la tentative de greffer le cadavre pourri de la sélection de groupe sur toutes les théories économiques et psychologiques qu’il a généré dans ses décennies de travail, n’a fait qu’invalider tout son projet. Bien que Gintis fasse un vaillant effort pour comprendre et expliquer la génétique, comme Wilson et Nowak, il est loin d’être un expert, et comme eux, le calcul l’aveugle juste aux impossibilités biologiques et bien sûr c’est la norme en science. Comme Wittgenstein l’a noté sur la première page de la culture et de la valeur « Il n’y a pas de dénomination religieuse dans laquelle l’utilisation abusive des expressions métaphysiques a été responsable de tant de péchés qu’il l’a en mathématiques. » Il a toujours été clair que un gène qui provoque un comportement qui diminue sa propre fréquence ne peut pas persister, mais c’est le cœur de la notion de sélection de groupe. En outre, il a été bien connu et souvent démontré que la sélection de groupe réduit juste à la condition physique inclusive (sélection de parents), qui, comme Dawkins l’a noté, est juste un autre nom pour l’évolution par sélection naturelle. Comme Wilson, Gintis a travaillé dans cette arène pendant environ 50 ans et n’a toujours pas compris, mais après le scandale a éclaté, il ne m’a fallu que 3 jours pour trouver, lire et comprendre le travail professionnel le plus pertinent, comme détaillé dans mon article. Il est ahurissant de se rendre compte que Gintis et Wilson n’ont pas été en mesure d’y parvenir en près d’un demi-siècle. Je discute des erreurs de sélection de groupe et de phénoménologie qui sont la norme dans le milieu universitaire comme des cas spéciaux de l’échec quasi universel de comprendre la nature humaine qui détruisent l’Amérique et le monde. Ceux qui souhaitent un cadre complet à jour pour le comportement humain de la vue moderne de deux systemes peuvent consulter mon livre 'The Logical Structure of Philosophy, Psychology, Mind and Language in Ludwig Wittgenstein and John Searle' 2nd ed (2019). Ceux qui s’intéressent à plus de mes écrits peuvent voir «Talking Monkeys --Philosophie, Psychologie, Science, Religion et Politique sur une planète condamnée --Articles et revues 2006-2019 3e ed (2019) et Suicidal Utopian Delusions in the 21st Century 4th ed (2020) et autres. (shrink)

Este libro es invaluable como sinopsis de algunos de los trabajos de uno de los más grandes filósofos de los últimos tiempos. Hay mucho valor en el análisis de sus respuestas a las confusiones básicas de la filosofía, y en los intentos generalmente excelentes de conectar el pensamiento chino clásico con la filosofía moderna. Tomo una visión moderna de Wittgensteiniano para colocarla en perspectiva. Aquellos que deseen un marco completo hasta la fecha para el comportamiento humano de la moderna dos (...) sistemas punto de vista puede consultar mi libros Talking Monkeys 3ª ed (2019), Estructura Logica de Filosofia, Psicología, Mente y Lenguaje en Ludwig Wittgenstein y John Searle 2ª ed (2019), Suicidio pela Democracia 4ª ed (2019), La Estructura Logica del Comportamiento Humano (2019), The Logical Structure de la Conciencia (2019, Comprender las Conexiones entre Ciencia, Filosofía, Psicología, Religión, Política y Economía, Historia y Literatura (2019), Delirios Utópicos Suicidas en el siglo 21 5ª ed (2019), Observaciones sobre Imposibilidad, Incompletitud, Paraconsistencia, Indecidibilidad, Aleatoriedad, Computabilidad, Paradoja e Incertidumbre en Chaitin, Wittgenstein, Hofstadter, Wolpert, Doria, da Costa, Godel, Searle, Rodych Berto, Floyd, Moyal-Sharrock y Yanofsky(2019) y otros. Este libro es un intento único de correlacionar la filosofía clásica china con la de Searle (S), a quien considero como el mejor desde Wittgenstein (W) y su heredero intelectual. La calidad de los artículos es inusualmente alta para una colección de este tipo, que debe deberse a la cuidadosa selección de papeles de Mou. A los lectores les resultará instructivo comparar esto con otro volumen reciente de artículos sobre la filosofía de S, "Pensando en el mundo real", otro libro en el que he escrito la única reseña. Al igual que con W, todo lo que S escribe es un tesoro, pero lamentablemente este tome ha atraído tan poca atención que esta parece ser la única revisión, a pesar de que apareció hace 6 años. Su única deficiencia real es la falta de impresión de la respuesta de S a Allinson, ya que corregiría sus numerosos errores sustanciales. Como se señaló en mis otras críticas, tales errores son de interés ya que son los impagos universales de nuestra psicología debido al hecho de que nuestro lenguaje carece de perspicuidad, como W señaló por primera vez en el BBB (Blue and Brown Books) hace 3/4 de un siglo. Cuando se grabó la conferencia, traté de obtener el video o una transcripción de la respuesta de S de Mou, S, Allinson y 3 personas en HKUST, pero nadie ayudaría. La cuestión de la espiritualidad se mezcla inevitablemente con las cuestiones del lenguaje de la filosofía en algunos de los artículos aquí. Las muchas sutilezas en el camino para disipar la ilusión del ego y la consecución de la iluminación son otra cuestión entera, aunque como en todas las demás arenas, inevitablemente surgen confusiones filosóficas cuando se habla de religión, en lugar de practicarla. Es decir, la filosofía en el sentido amplio, como la reflexiona sobre la ética, la religión, la moralidad, cómo debemos vivir o sentir nos acerca de nuestra vida y el mundo no es el sentido más estrecho en el que W y S lo están practicando, aunque inevitablemente y casi universalmente el sentido amplio se mezcla con i acerca de cómo funciona el lenguaje (la mente como W nos mostró). Como siempre, lo primero que hay que tener en cuenta es el dictum de W de que no hay nuevos descubrimientos que hacer en filosofía ni explicaciones que dar, sino sólo descripciones claras del comportamiento (lenguaje). Una vez que uno entiende que todos los problemas son confusiones sobre cómo funciona el lenguaje, estamos en paz y la filosofía en su sentido ha logrado su propósito. Como W/S ha señalado, sólo hay una realidad, por lo que en el sentido estrecho, no hay múltiples versiones de la mente o la vida o el mundo que se pueden dar significativamente, y sólo podemos comunicarnos en nuestro lenguaje público único. Mostró famosamente que no puede haber un lenguaje privado y que cualquier pensamiento "privado interno" no puede ser comunicado y no puede tener ningún papel en nuestra vida social. También debería ser muy sencillo resolver problemas filosóficos en este sentido. "Ahora bien, si no son las conexiones causales que nos preocupan, entonces las actividades de la mente están abiertas ante nosotros". Wittgenstein" El Libro Azul" p6(1933). (shrink)

Une brève revue de la vie et de l’autobiographie spirituelle du mystique américain unique Adi Da (Franklin Jones). L’autocollant sur la couverture de certaines éditions dit «L’autobiographie spirituelle la plus profonde de tous les temps» et cela pourrait bien être vrai. Je suis dans mes 70 ans et j’ai lu de nombreux livres de professeurs spirituels et de spiritualité, et c’est l’un des plus grands. Certes, il est by loin le compte le plus complet et le plus clair du processus (...) d’illumination que j’ai jamais vu. Même si vous n’avez aucun intérêt du tout dans le plus fascinant de tous les processus psychologiques humains, c’est un document étonnant qui révèle beaucoup sur la religion, le yoga et la psychologie humaine et sonde les profondeurs et les limites des possibilités humaines. Je le décris en détail et je compare son enseignement à celui du mystique indien contemporain Osho. Ceux qui souhaitent un cadre complet à jour pour le comportement humain de la vue moderne de deux systeme peuvent consulter mon livre 'The Logical Structure of Philosophy, Psychology, Mind and Language in Ludwig Wittgenstein and John Searle' 2nd ed (2019). Ceux qui s’intéressent à plus de mes écrits peuvent voir «Talking Monkeys --Philosophie, Psychologie, Science, Religion et Politique sur une planète condamnée --Articles et revues 2006-2019 3e ed (2019) et Suicidal Utopian Delusions in the 21st Century 4th ed (2019) et autres. (shrink)

Après un demi-siècle dans l’oubli, la nature de la conscience est maintenant le sujet le plus chaud dans les sciences du comportement et la philosophie. Commençant par le travail pionnier de Ludwig Wittgenstein dans les années 1930 (les Livres Bleus et Brown) et des années 50 à nos jours par son successeur logique John Searle, j’ai créé la table suivante comme un heuristique pour la poursuite de cette étude. Les lignes montrent divers aspects ou façons d’étudier et les colonnes (...) montrent les processus involontaires et les comportements volontaires comprenant les deux systèmes (deux processus) de la Structure Logique de la Conscience (LSC), qui peuvent également être considérés comme la structure logique de la rationalité (LSR-Searle), du comportement (LSB), de la personnalité (LSP), de la réalité (LSOR), de l’intentionnalité (LSI) - le terme philosophique classique, la psychologie détative , la psychologie descriptive de la pensée (DPT) - ou mieux, le langage de la psychologie descriptive de la pensée (LDPT), termes introduits ici et dans mes autres écrits très récents. Ceux qui souhaitent un cadre complet à jour pour le comportement humain de la vue moderne de deuxemssyst peuvent consulter mon livre 'The Logical Structure of Philosophy, Psychology, Mind and Language in Ludwig Wittgenstein and John Searle' 2nd ed (2019). Ceux qui s’intéressent à plus de mes écrits peuvent voir «Talking Monkeys --Philosophie, Psychologie, Science, Religion et Politique sur une planète condamnée --Articles et revues 2006-2019 3e ed (2019) et Suicidal Utopian Delusions in the 21st Century 4th ed (2019) et autres. (shrink)

Hume was a cognitive scientist of religion avant la lettre. His Natural History of Religion (1757 [2007]) locates the origins of religion in human nature. This paper explores similarities between some of his ideas and the cognitive science of religion, the multidisciplinary study of the psychological origins of religious beliefs. It also considers Hume’s distinction between two questions about religion: its foundation in reason (the domain of natural theology and philosophy of religion) and its (...) origin in human nature (the domain of cognitive science of religion). (shrink)

This essay sheds light, through a comparative study of the anti-Manichaean passages contained in Augustine’s Letters, on the significance for Augustine of the refutation of Manichaeism, which he had embraced in his youth. Augustine’s contrasting the Manichaean dualism in metaphysics, anthropology and ethics was his life-long project as a scholar, and lead him to expound in a clear and simple way his core beliefs in philosophy and religion.

Philosophy in the City (or PinC, as it came to be known) is an outreach programme led by student volunteers from the University of Sheffield's Department of Philosophy. It aims to bring philosophy out of the university and into the wider urban community, stimulating young and older minds through events and activities organised with local partners, including schools, charities, and a homeless shelter. Since its inception in 2006, the project has seen hundreds of student volunteers from the university engage in (...) philosophical conversations with thousands of local residents from a wide variety of backgrounds. Sixteen years on, what can we learn from the achievements and shortfalls of this initiative? The present paper is not a systematic review of the project’s history, but a retrospective dialogue between the two authors who both participated in its foundation and its early development: Alexis Artaud de la Ferrière was the project’s first President and Joshua Forstenzer its third. In the course of this dialogue, they revisit the initial motivations and ambitions undergirding the project, discuss the obstacles faced throughout their respective tenures of leadership, and analyse the evolving mission of the project against the backdrop of historic changes in English higher education which occurred during this period. (shrink)

A reflection on the philosophical traditions at the Autonomous University of Nuevo Leon and in the city of Monterrey.

The Shadow of God in the Philosopher’s Garden. The Parc de La Villette in Paris in the context of the philosophy of chôra I Bernard Tschumi’s project of the Parc de La Villette could have won the competition and was implemented thanks to the political atmosphere that accompanied the victory of the left-wing candidate in the French presidential elections in 1981. François Mitterand’s revision of the political programme and the replacement of radical reforms with the construction of prestigious architectural objects (...) and urban assumptions in the French capital gave Tschumi a unique opportunity to realise ideas that polemicised with traditional forms of social life, questioned the basic principles of architecture and included architectural work in the philosophical disputes over the issues of metaphysics. Tschumi’s theoretical assumptions put forward during the design of the Parc de La Villette highlighted the questions of conflict between the main components of the project and suggested that the intensification of differences was analogous to Jacques Derrida’s creation of the concept of différance. It was this philosopher who in a special commentary to Derrida’s project also introduced the concept of maintenant, which aimed at demonstrating that the architect’s polemical inclinations remain in a hidden balance with his inclinations to affirmation of architectural principles. During the discussion between Derrida and Peter Eisenman, who was to take part in the design of the Parisian park, the concept of the chôra was also put forward, which in the course of the debate led to an additional confusion of architectural and philosophical problems. II In the period from the Antiquity to the Renaissance, the dialogue Timaeus was the most frequently commented work of Plato. At present, the most frequently discussed is the issue of the chôra included in it, which aroused fascination among philosophers, researchers of rhetoric, religion, feminism, but also architecture. The work on the chôra also influenced the development of the interpretation of the Parc de La Villette, among which the topics related to the beginning and the change were highlighted. In early uses of the word chôra in Greek, as in Homer’s 18th Book of Iliad, it meant both dancing and a place to dance. On this occasion, it can be seen that it is not possible to determine which phenomenon took precedence in the creation of the name. It cannot be denied, however, that the word concerned a specific movement, as if circular and returning to an indefinable beginning. Despite gaining more and more general meanings, the word chôra has retained its connection with the dance of people on the threshing floor, the dance of bees (choros meliton) or the dance of stars (choros astron). In Timaeus, the chôra is a space filled with movement with an effect similar to shaking the sieve to husk the grain: it separates similar elements from the dissimilar ones. The juxtaposition of the Parc de La Villette and the chôra already at this stage leads to the suggestion that the park was treated by the architect as a place of dynamic changes leading to the establishment of new social solutions. In his statements, the architect confirmed that the park was to be a space of new politics and ethics. The book by Julia Kristeva La Révolution du langage poétique contributed to the spread of the belief that works of art can play a role as factors of political revolution. In this work, the author put forward the thesis that the chôra is a kind of space, the character of which has a destructive influence on attempts to conclude language games. The chôra gives beginning to words, but at the same time, by leaving a trace of this beginning it forces us to renew their meanings. The chôra understood in this way, turns out to be an irremovable beginning, to which one has to return all the time. Kristeva found manifestations of the chôra’s activity in avant-garde French poetry, to which she attributed the role of a mediator between criticism of metaphysics and aspirations for social change. The chôra, violating the language, introduces some voids into it, as if traces of the abyss, which direct the consciousness towards understanding the necessity of political changes. The Parc de La Villette was to pursue similar objectives in the city space. In his essays, Tschumi considered the problems of creating spaces that would give rise to a radical democracy. The proposed rebellious spaces should have the characteristics of a void, in which contradictory forces would occur as forms of pure activity. The means of achieving this goal was to concentrate contradictions and make them visible. The Parc de La Villette was supposed to collect differences as indelible and at the same time by showing them it was supposed to raise awareness of the social world as a conglomerate of differences. Saturation of the space of the park with subversive values results from the character of this space suppressed in the consciousness, as well as from the social diversity which has not been taken into account so far. The main contradictions contained in space relate to the division that exists between its presentation as a mental problem and a sensual one. The park was the deliberate creation of a place that transcends such a division and creates a separate space for negotiation between architectural theories and its practical applications. The purpose of the park was to become a place of future events, which would not hide their conflicting character coming from diversity of both space and society. The method of composition usually aimed at achieving a harmonious whole has been replaced by Tschumi with a system of juxtaposition of non-coherent elements or those resulting from variations and transformations. Tschumi did not seek direct influence on politics in the Parc de La Villette, but made room for thinking about the possibilities of the future. He introduced problems rather than showed solutions to them. The task of the park was to put the principles of architecture into a kind of vibration that would inspire users to participate in the new community. III Tschumi believes that the quality of architecture depends on the theoretical factor it contains. Such a view led to the creation of architecture that would achieve visibility and comprehensibility only after its interpretation. On his way to creating such an architecture he took on a purely philosophical reflection on the basic building block of architecture, which is space. In 1975, he wrote an essay entitled Questions of Space, in which he included several dozen questions about the nature of space. The questions he formulated could be regarded as analogous to the situation in the philosophy of the time, in which the interest in questioning the most obvious forms of understanding the world and intellectual categories increased. The research on space is an area common to many fields of natural sciences, humanities and artistic creation, but it also deals with other problems, such as issues of experience. The concept of space-time continuum proposed by Hermann Minkowski drew attention to the identity of time and space with the events taking place. Probably regardless of the postulates of physicists commenting on Albert Einstein’s discoveries, also in philosophy it increased the importance of the concept of the event which became dominant in Martin Heidegger’s latest work Contributions of Philosophy: Of the event. Furthermore, Tschumi’s reflections on space entered into relation with the problem of experience, which aroused the interest of a group of French philosophers trying to assimilate Georges Bataille’s concept of “inner experience”. Both Tschumi and Derrida referred to Bataille because his views could be used not only to modify the concept of the subject, but also to change the understanding of what constitutes the area of architecture. The discussion on experience has led to the recognition that the subject is not sovereign, but actually a form of what is on their outside. Such insights make it possible to treat the area of the Parc de La Villette as existing mainly when it is organised by its users. The decisive features of the park are its assumptions, according to which it is a variety of active void that leads to agreeing new social relations with it. The park does not force to participate in already existing moral or political communities, but tries to move into an unknown future in which the scope of free functioning of individuals will be increased. Doubts about the principles of functioning of the individual self and its discovery as a whole composed of non-coherent parts, as well as its dependence on its own depth full of disordered forces, influenced the understanding of architecture as a set of contradictions whose source is a fundamental void anticipating the empty phenomenal space. The use of this phenomenal void in architecture, as well as the rejection of the whole and unity, had a specific political purpose and drew its inspiration from political analyses. In the Parc de La Villette, metaphysics and politics were brought closer together because the philosophy of void was used to create new conditions for community action. It can be argued that the source of this philosophy was the perception of errors in existing societies dependent on the shortcomings of traditional metaphysics. Spacing (espacement) was one of the key terms in Derrida’s philosophy, which was also combined with the concepts of différance and chôra. The study of the nature of space, especially its transition from the level of pure possibility to the level of sensual phenomenon, also contributes to understanding how well designed space can have an impact on its audience. This explanation is based on Tschumi’s assumption that the space of the Parc de La Villette contradicts the integrating approaches and instead exposes contradictions, but it does so in a way that combines incompatible properties into a single piece of architecture. The specificity of such integration is similar to the invention of a musical phrase, which is an ideological message: moral and political. Such a thesis may raise doubts, however, if both the clearly adopted assumptions and those deduced from the work allow for their logically ordered presentation then to a limited extent it may be assumed that the work has achieved a connection between a specific philosophy of space and its practical application. Derrida combined the problem of spatiality with the problem of transcendental imagination in the philosophy of Immanuel Kant, who in the first version of Critique of Pure Reason assumed that pure imagination precedes the appearance of time and space, even in their transcendental forms. The imagination in such a situation can be described as a factor activating time and space, which indicates what function is played by movement in this activity. This leads us to recognize that the ultra originary source of pure forms of sensual intuition is movement, which in early Greek philosophy was identified with void and its lack of resistance to phenomena occurring in it. Derrida’s philosophy in search of a certain super-transcendental source of time and space pointed to différance which, like void or the chôra, does not have material features or even any other form of being. Différance is the primary cause of the disruption of motionlessness and the introduction of activity into motionless time and space, thus its activity can be described as spacing (espacement). Derrida’s discoveries in this respect are not entirely original, because Georg Wilhelm Friedrich Hegel already pointed out when examining the present that it is primarily a differential relation (differente Beziehung), which, being seemingly neutral, influences the present with supernatural force and makes it unidentifiable with itself. Differente Beziehung must similarly influence the originary space, negating its initial character by multiplying its divisions and expanding its boundaries. Différance acts by revealing contradictions wherever there is apparent undifferentiation. Tschumi, composing the Parc de La Villette as a variety of void and a set of incompatible layers, followed the rules of différance or the chôra: he made void visible together with its saturation with contradictions. If space can be considered to be the result of the activity of difference, such activity has a certain regularity, which influences the behaviour of its observers. Differences or contradictions fall into a certain rhythm, which can be considered a manifestation of transcendent order. The problem is that what can be considered the source of such order, namely the logos or God, is partly disorder and error. According to descriptions contained in Timaeus, the world is a combination of forces that drive to order with forces of erroneous necessity that resounds in every order and forces it to return to disorder. Derrida denied the possibility of understanding différance as a theological value, even if it were a negative or apophatic theology, but no categorical denial could be perfect. The assumption that différance or the chôra are not endowed with any substance properties cannot deny their activity, and thus a certain force. Already since Democritus, philosophy has multiplied the names of such a force and the contradictory variety of its manifestations, never forgetting also the necessity for reason to withdraw from the possibility of giving its correct characteristics. Such a withdrawal may be interpreted as an expression of respect and, in certain situations, as a cult of the force that precedes reasonableness. The Parc de La Villette, which is an artistic divagation about the contradictions and forces behind them, can be considered as a place of their sublimation, and therefore as a variation of the temple of what differs from order and disorder. IV In the texts that presented the theoretical assumptions of the Parc de La Villette, Tschumi used a large number of terms that contradicted not only the traditional principles of composing architecture, but also negated the rules of social order and the foundations of Western metaphysics. Tschumi’s statements, which are a continuation of his leftist political fascinations from the May 1968 revolution, as well as his interest in the philosophy of French poststructuralism and his collaboration with Derrida, prove that terms such as “disruption”, “dissociation”, “disfunction”, “disjunction” and “dispersion” not only referred to architectural problems but also applied to political criticism and the deepest foundations of thinking itself. His collaboration with Derrida manifested itself primarily in the publication La Case Vide: La Villette 1985, in which the architect’s design drawings and texts explaining his concepts related to the Parc de La Villette were accompanied by an extensive essay by Derrida, which included theoretical problems taken up by Tschumi in a philosophical context. Architectural and philosophical issues were also combined during seven discussion meetings organised by Eisenman, invited by Tschumi to collaborate on the design of the Parc de La Villette. Eisenman, who, like Tschumi, invited Derrida to participate in the design of the park and also led to the publication of Chora L Works: Jacques Derrida and Peter Eisenman, in which his ideas were confronted with Derrida’s philosophical text. In this case, Derrida’s essay was not a direct commentary on the architect’s concepts, but rather a reflection on the question of the chôra presented by Plato in Timaeus. During the discussion and in his essay, Derrida pointed out that the chôra is a component of the created world, yet it does not belong to it, but precedes it. The originality of the chôra is so radical that she also precedes all the factors of creating the world, including ideas and the Demiurge. Thus athesis appeared in the metaphysics of the West that the chôra is a form of active abyss, in relation to which all beings are secondary, both those perfect (as ideas or God) and those created, such as the world, things, people or language. This leads to the conclusion that the chôra does not exist, because all existence is a derivative of the chôra. Nor could the chôra be described, since it is a form of developing a space that is preceded by a lack of space characteristic of the chôra. Derrida intended the chôra to be an instance with an exceptional degree of transcendentalism, an anti-metaphysical instance, but also an a-theological one. However, this attempt failed, both in the field of secular philosophy and in the field of theology. Derrida’s characteristics of the chôra to strengthen its transcendentalism and negation of metaphysics had to be expressed in a language that immediately produces new concepts and a new metaphysics that reproduces the categories of the beginning, the origin or the foundation known from earlier philosophical traditions. All forms of criticism of metaphysics are also inspired by negative, apophatic and mystical theology. The undermining of many concepts of permanent meaning and the introduction of new concepts of unstable meaning, characteristic of the philosophy of deconstruction, had many features of originality, but it was directed towards problems whose solutions repeat, with the use of new vocabulary, the findings known in culture since Democritus. Thus, if apophatic philosophy can be regarded as deconstruction avant la lettre, then deconstruction itself in its late versions began to take on the features of a new religion. The exchange of inspiration between theology and deconstruction was manifested in a series of scientific conferences and publications in which Derrida’s philosophical concepts were interpreted within the scope of religious thought. Theological threads began to be found in such concepts of deconstruction as différance or the chôra, while at the same time Derrida himself undertook in his philosophy to study problems such as the Other (L’Autre) or the Impossible (Impossible), which belonged to newer theological traditions. As a consequence of the new problems, the deconstruction became closer to the features of a new religion. Philosophy, at least from Kant’s time, has tried to create a system that would take over from religion the tasks of setting moral and political goals. Similarly, Derrida has directed his interest towards the problems of democracy and ethics, which would enable their renewal. Attempts to create a new religion (cleared of old metaphors), a new community or a new democracy bring problems and threats which may be no less troublesome than the previous systems. All promises of freedom carry with them threats, the greater the more they strive for perfection. The renewal of existential orders, sometimes carried out by means of violent changes, is a certain repetitive feature of human cultures. Deep changes, however, do not protect against the return of both old gods and old demons. Tschumi and Derrida were shaped in their youth by the atmosphere of leftist rebellion against the moral and political limitations of ossified communities and the imperfections of democracy. The ethical theme distinguishes many of their works, including the Parc de La Villette. The opposition to the metaphysical traditions of philosophy and architecture contained in this park was prompted by specific political situations and resulted from bringing political issues to the level of philosophical considerations. Achievements made at the level of pure concepts were then subject to elevation, to a kind of sacralization, which made them religious concepts. The deconstruction reached for the status of the new religion especially when it found its followers and began to generate moral obligations. In the new situation, terms such as the chôra, l’Autre or the Impossible were absolutized and in relation to them a cult and attitude of adoration emerged. The Parc de La Villtette then gained new post-secular meanings, which allow it to be assigned the function of a Temple of Otherness (L’Autre) and Impossible. V In the traditional sense, a work of art creates an illustration of the outside world, or of a certain text or doctrine. Sometimes it is considered that such an illustration is not literal, but is an interpretation of what is visible, or an interpretation of a certain literary or ideological message. It can also be assumed that a work of art creates its own visual world, a separate story or a separate philosophical statement. Parc de La Villette represents the last of these possibilities: it is a philosophical statement that develops the premises derived from poststructuralist philosophies and the philosophy of deconstruction. The uniqueness of its being status, however, is that it does so not only at the level of the theoretical assumptions, but also through its functioning as an active philosophical work. This means that a park is a happening philosophy. Its activity, however, does not refer only to the present tense, but is also an attempt to penetrate the future, all otherness and impossibility. This kind of activity assumes that the work, in a sense, does not yet fully exist, but is also still produced in the processes of its interpretation. The theoretical foundations of the park included texts by Tschumi, in which he questioned traditional ways of creating a work of architecture, postulating in return the use of a long series of negations, which were comparable to the crisis of metaphysics characteristic of contemporary philosophy. It is therefore no coincidence that the publication containing Tschumi’s theoretical text on Parc de La Villette was accompanied by an essay by Derrida developing some of the architect’s concepts. The next step in integrating philosophy into the process of park design was a series of discussions between Eisenman and Derrida, who completely moved the creation of the park into the world of thoughts, without accentuating the need for their realization in the material reality. The main topic of these discussions was the problem of the chôra, which was taken up by later commentators and used to interpret the park as a work in which the philosophy of the beginning is manifested relating to issues of politics, morality and religion. The park was therefore interpreted as a space of invention within the scope of creating new rules of functioning of the community and democracy. Thinking about the political future may, however, exceed the horizon of ordinary expectations. Although philosophical thought is always connected with contemporary problems and metaphysics sometimes intertwines with current politics, yet at the same time the customs of philosophy also include crossing horizons and thinking about absolute otherness and impossibility. Initially, the chôra, différance, absolute otherness (tout autre) and the Impossible were concepts of pure philosophy of atheistic character, but with the further development of the discussion, more and more theological motifs began to emerge. One of the reasons for this phenomenon was the fact that radical negations of all being, which were contemplated in contemporary philosophy (by Heidegger and Derrida, among others), had previously been manifested in negative and apophatic theologies (by Master Eckhart, among others).Also the category of the “Other”, taken from Emmanuel Levinas, was clearly connected with the thought about God. A further reason for connecting the chôra with the theological thought was the interest in the philosophy of deconstruction expressed by some theologians. John Caputo in particular managed to persuade Derrida to participate in discussions on the current status of religion. In the late period of Derrida’s writing, further statements on religious topics appeared. All these reasons led to posing a question about the identity of the chôra and God. Although there were no satisfactory conclusions on this issue, the discussion was also important to create an interpretation of the park as a place of worship. The chôra, representing, according to Plato, the preoriginal emptiness is the place of every beginning, but it turns out that it is not neutral to the being created in it. The chôra deposits itself in every being as an irremovable beginning that interferes with its stability. The chôra, therefore, forces us into a palintropical movement, but it also turns out to be a pure compulsion, an erring necessity and a fundamental force from which, in the human perception, motifs useful to the individual and to the community are extracted. All definitions of this force, including its anthropomorphisation, are formulated in such a way that they allow for building private and collective morality upon them. Such definitions are changed depending on variable political situations. It is difficult to determine whether in the processes of changes in the formulation of “God’s names” any essential value is retained, which is not subject to change. The current definitions of the chôra (God?), which can be found, for example, in the philosophy of Caputo, stress that she is a combination of various and contradictory forces. This characteristic inherits much of Plato’s concept, reminds us of Master Eckhart’s views on Gottheit and, at the same time, is not unfamiliar to Tschumi, whose essays were an apologia of contradictions. The current concept of chôra, transferred into the sphere of politics, is the praise of social diversity and the protection of the difference from the forces of order. In the Parc de La Villette, the future community and democracy were elevated as a system of safe existence of individuals in all their singularity. The park is a temple of a future community in which individual beings have nothing in common. (shrink)

While the notion of chance has been central in discussions over the probabilistic nature of natural selection and genetic drift, its role in the production of variants on which populational sampling takes place has received much less philosophical attention. This article discusses the concept of chance in evolution in the light of contemporary work in evo-devo. We distinguish different levels at which randomness and chance can be defined in this context, and argue that recent research on variability and evolvability demands (...) a causal understanding of variational probabilities under which development acquires a creative, rather than a constraining role in evolution. We then provide a propensity interpretation of variational probabilities that solves a conceptual confusion between causal properties, variational probabilities and extant variation present in the literature, and explore some metaphysical consequences that follow from our interpretation, specifically with regards to the nature of developmental types. (shrink)

El pensamiento de los pueblos de la Antigüedad se compuso de lenguajes, sistemas de valores y planteamientos que escapan no sólo a los convencionalismos lingüísticos actuales, también resultan ajenos a las categorías propias de la filosofía, la religión y la mitología misma. Un caso revelador es la (hek3) egipcia, traducida a lenguas contemporáneas como magia, magic, Zauber o Magie; en dicho traslado, se le adhiere una serie de connotaciones propias de la mentalidad judeocristiana y evolucionista. Una magia sin más, producto (...) del hombre crédulo, perezoso de mente y supersticioso. Sin embargo, tal reducción no se preocupa en estudiar aspectos de gran trascendencia como el proceso de transmisión que la palabra sufrió al cabo de los siglos, omitiendo el papel que jugó la magia persa dentro de la reflexión de filósofos, historiadores y poetas de la Hélade. La (hek3)fue una manera de concebir el universo que no puede reducirse sólo a creencias pseudoreligiosas, fue una sofisticada estructura para entender las cosas que, sencillamente, desconocemos. El presente artículo es una invitación a revisar los productos culturales de siglos lejanos, sin perder de vista que la incomprensión no se da exclusivamente con lo distante, sino en las entrañas mismas de nuestro tiempo. (shrink)

«Les gens disent encore et encore que la philosophie ne progresse pas vraiment, que nous sommes toujours occupés avec les mêmes problèmes philosophiques que les Grecs. Mais les gens qui disent cela ne comprennent pas pourquoi il doit en être ainsi. C’est parce que notre langue est restée la même et continue de nous séduire à poser les mêmes questions. Tant qu’il continue à y avoir un verbe qui ressemble à s’il fonctionne de la même manière que de manger (...) et de boire, tant que nous avons encore les adjectifs 'identiques', 'faux', 'false', 'possible', tant que nous continuons à parler d’une rivière du temps, d’une étendue d’espace, etc., etc., les gens continueront à trébucher sur les mêmes difficultés déroutantes et se retrouveront à regarder quelque chose qui ne semble pas capable de se dégager. Et qui plus est, cela satisfait un désir pour le transcendant, parce que, dans la mesure où les gens pensent qu’ils peuvent voir les ‘«limites de la compréhension humaine », ils croient bien sûr ce ils peuvent voir au-delà de ceux-ci. Cette citation est de Ludwig Wittgenstein qui a redéfini la philosophie il ya 70 ans (mais la plupart des gens n’ont pas encore de le savoir). Dennett, bien qu’il ait été un philosophe pendant une quarantaine d’années, est l’un d’entre eux. Il est également curieux que lui et son antagoniste principal, John Searle, étudié sous les célèbres Wittgensteiniens (Searle avec John Austin, Dennett avec Gilbert Ryle) mais Searle plus ou moins obtenu le point et Dennett n’a pas, (bien qu’il est étirer les choses à appeler Searle ou Ryle Wittgensteinians). Dennett est un déterministe difficile (bien qu’il essaie de se faufiler la réalité dans la porte arrière), et peut-être cela est dû à Ryle, dont le célèbre livre "Le concept de l’esprit" (The Concept of Mind) (1949) continue d’être réimprimé. Ce livre a fait un excellent travail d’exorciser le fantôme, mais il a quitté la machine. Dennett aime faire les erreurs Wittgenstein, Ryle (et beaucoup d’autres depuis) ont exposé en détail. Notre utilisation des mots conscience, choix, liberté, intention, particule, pensée, détermine, vague, cause, arrivé, événement (et ainsi de suite sans fin) sont rarement une source de confusion, mais dès que nous quittons la vie normale et entrer dans la philosophie (et toute discussion détachée de l’environnement dans lequel la langue a évolué-c’est-à-dire le contexte exact dans lequel les mots avaient un sens) chaos règne. Comme la plupart, Dennett n’a pas un cadre cohérent - que Searle a appelé la structure logique de la rationalité. J’ai développé sur ce considérablement depuis que j’ai écrit cette revue et mes articles récents montrent en détail ce qui ne va pas avec l’approche de Dennett à la philosophie, que l’on pourrait appeler Scientism sur les stéroïdes. Permettez-moi de terminer par une autre citation de Wittgenstein-- «L’ambition est la mort de la pensée. Ceux qui souhaitent un cadre complet à jour pour le comportement humain de la vue moderne de deux systèmes peuvent consulter mon livre 'The Logical Structure of Philosophy, Psychology, Mind and Language in Ludwig Wittgenstein and John Searle' 2nd ed (2019). Ceux qui s’intéressent à plus de mes écrits peuvent voir «Talking Monkeys --Philosophie, Psychologie, Science, Religion et Politique sur une planète condamnée --Articles et revues 2006-2019 3e ed (2019) et Suicidal Utopian Delusions in the 21st Century 4th ed (2020) et autres. (shrink)

Between Mircea Eliade and Rudolf Otto many connections can be made concerning the idea of sacred. Even though, the scientist of Romanian origin perceives the sacred reality differently from the German theologian. If the latter puts an emphasis on the irrational side of the divine, the former argues that the sacred has to be perceived twofold: as irrational and rational in the same time, the concept of coincidentia oppositorum best embodying the sacred reality. The sacred’s materializations are the hierophanies, the (...) history of religion being nothing else than a sum of hierophanies. Finally, for Eliade, the ascred is connected to the life of homo religiosus. (shrink)

Ce n’est pas un livre parfait, mais il est unique, et si vous écrémez les 400 premières pages ou plus, les 300 dernières (sur quelque 700) sont une assez bonne tentative d’appliquer ce qui est connu sur le comportement aux changements sociaux de la violence et des manières au fil du temps. Le sujet fondamental est le suivant : comment notre génétique contrôle-t-elle et limite-t-elle le changement social ? Étonnamment, il ne parvient pas à décrire la nature de la sélection (...) des parents (fitness inclusif) qui explique une grande partie de la vie sociale animale et humaine. Il n’a pas non plus (comme presque tout le monde) un cadre clair pour décrire la structure logique de la rationalité (LSR—terme préféré de John Searle) que je préfère appeler la psychologie descriptive de la pensée de haut ordre (DPHOT). Il aurait dû dire quelque chose sur les nombreuses autres façons d’abuser et d’exploiter les gens et la planète, car ceux-ci sont maintenant beaucoup plus graves que de rendre d’autres formes de violence presque hors de propos. Étendre le concept de violence pour inclure les-conséquences mondiales à long terme de la réplication des gènes de quelqu’un, et avoir une compréhension de la nature de la façon dont fonctionne l’évolution (c.-à-d., la sélection des parents) fournira une perspective très différente sur l’histoire, les événements actuels, et comment les choses sont susceptibles d’aller dans les quelques centaines d’années. On pourrait commencer par noter que la diminution de la violence physique au cours de l’histoire a été compensée (et rendue possible) par le viol sans pitié de la planète (c’est-à-dire par la destruction par les gens de l’avenir de leur propre descendant). Pinker (comme la plupart des gens la plupart du temps) est souvent distrait par les superficialités de la culture quand c’est la biologie qui compte. Voir mes critiques récentes de Wilson 'The Social Conquest of Earth' et Nowak and Highfield’s 'SuperCooperators' ici et sur le net pour un bref résumé de la vacuité de «véritable altruisme»(sélection de groupe), et le fonctionnement de la sélection des parents et l’inutilité et la superficialité de décrire le comportement en termes culturels. C’est la question classique de la nature/nourrir et la nature l’emporte nourrir - infiniment. Ce qui importe vraiment, c’est la violence faite à la terre par l’augmentation incessante de la population et de la destruction des ressources (en raison de la médecine et de la technologie et de la répression des conflits par la police et l’armée). Environ 200.000 personnes de plus par jour (un autre Las Vegas tous les 10 jours, un autre Los Angeles chaque mois), les 6 tonnes ou plus de la base va dans la mer / personne / année - environ 1% du total du monde disparaissant chaque année, etc. signifie que si un miracle se produit la biosphère et la civilisation va largement s’effondrer au cours des deux prochains siècles, et il y aura la famine, la misère et la violence de tous les types. Les manières, les opinions et les tendances des gens à commettre des actes de violence ne sont d’aucune pertinence à moins qu’ils ne puissent faire quelque chose pour éviter cette catastrophe, et je ne vois pas comment cela va se produire. Il n’y a pas de place pour les arguments, et aucun point non plus (oui je suis un fataliste), donc je vais juste faire quelques commentaires comme s’ils étaient des faits. N’imaginez pas que j’ai un intérêt personnel dans la promotion d’un groupe au détriment des autres. J’ai 78, n’ont pas de descendants et pas de proches parents et ne s’identifient à aucun groupe politique, national ou religieux et considèrent ceux que j’appartiens par défaut aussi répugnant que tout le reste. Les parents sont les pires ennemis de la vie sur Terre et, compte tenu de la vue générale des choses, les femmes sont aussi violentes que les hommes quand on considère le fait que la violence des femmes (comme la plupart de celle faite par les hommes) se fait en grande partie au ralenti, à une distance dans le temps et l’espace et la plupart du temps effectuée par procuration -par leurs descendants et par les hommes. De plus en plus, les femmes portent des enfants, qu’elles aient un compagnon ou non et que l’effet d’empêcher une femme de se reproduire est en moyenne beaucoup plus important que d’arrêter un homme, car ils constituent le goulot d’étranglement reproducteur. On peut considérer que les gens et leur progéniture méritent richement toute la misère vient leur chemin et (à de rares exceptions près) les riches et les célèbres sont les pires délinquants. Meryl Streep ou Bill Gates ou J.K Rowling et chacun de leurs enfants peuvent détruire 50 tonnes de terre d’o re plus chaque année pendant des générations dans l’avenir, tandis qu’un fermier indien et son peut détruire 1 tonne. Si quelqu’un nie que c’est très bien, et à leurs descendants, je dis "Bienvenue à l’enfer sur Terre"(WTHOE). Aujourd’hui, l’accent est toujours mis sur les droits de l’homme, mais il est clair que si la civilisation doit avoir une chance, les responsabilités humaines doivent remplacer les droits de l’homme. Personne n’obtient des droits sans être un citoyen responsable et la première chose que cela signifie est la destruction de l’environnement minimal. La responsabilité la plus fondamentale n’est pas les enfants à moins que votre société vous demande de les produire. Une société ou un monde qui permet aux gens de se reproduire au hasard sera toujours exploité par des gènes égoïstes jusqu’à ce qu’il s’effondre (ou atteint un point où la vie est si horrible qu’il ne vaut pas la peine de vivre). Si la société continue à maintenir les droits de l’homme comme primaires, à leurs descendants, on peut dire avec confiance "WTHOE". Ceux qui souhaitent un cadre complet à jour pour le comportement humain de la vue moderne de deuxemssyst peuvent consulter mon livre 'The Logical Structure of Philosophy, Psychology, Mind and Language in Ludwig Wittgenstein and John Searle' 2nd ed (2019). Ceux qui s’intéressent à plus de mes écrits peuvent voir «Talking Monkeys --Philosophie, Psychologie, Science, Religion et Politique sur une planète condamnée --Articles et revues 2006-2019 3e ed (2019) et Suicidal Utopian Delusions in the 21st Century 4th ed (2019) et autres. (shrink)

Después de medio siglo en el olvido, la naturaleza de la conciencia es ahora la más caliente en las ciencias del comportamiento y la filosofía.comienzo con el trabajo pionero de Ludwig Wittgenstein en la década de 1930 (los Libros Azul y Marrón) y desde los años 50 hasta la actualidad por su sucesor lógico John Searle, he creado la siguiente tabla como heurística para promover este estudio. Las filas muestran varios aspectos o formas de estudiar y las columnas muestran los (...) procesos involuntarios y los comportamientos voluntarios que comprenden los dos sistemas (procesos duales) de la Estructura Lógica de Conciencia (LSC), que también pueden considerarse como el Lógico Estructura de Racionalidad (LSR-Searle), de comportamiento (LSB), de personalidad (LSP), de la realidad (LSOR), de la intencionalidad (LSI) -el término filosófico clásico, la Psicología Descriptiva de la Conciencia (DPC), la Psicología Descriptiva del Pensamiento (DPT) –o mejor, el Lenguaje de lo Descriptivo Psicología del Pensamiento (LDPT), términos introducidos aquí y en mis otros escritos muy recientes. -/- Aquellos que deseen un marco completo hasta la fecha para el comportamiento humano de la moderna dos sistemas punto de vista puede consultar mi libros Talking Monkeys 3ª ed (2019), Estructura Logica de Filosofia, Psicología, Mente y Lenguaje en Ludwig Wittgenstein y John Searle 2ª ed (2019), Suicidio pela Democracia 4ª ed (2019), La Estructura Logica del Comportamiento Humano (2019), The Logical Structure de la Conciencia (2019, Entender las Conexiones entre Ciencia, Filosofía, Psicología, Religión, Política y Economía y Delirios Utópicos Suicidas en el siglo 21 5ª ed (2019), Observaciones sobre Imposibilidad, Incompletitud, Paraconsistencia, Indecidibilidad, Aleatoriedad, Computabilidad, Paradoja e Incertidumbre en Chaitin, Wittgenstein, Hofstadter, Wolpert, Doria, da Costa, Godel, Searle, Rodych Berto, Floyd, Moyal-Sharrock y Yanofsky y otros. (shrink)

A Crítica de Hume ao Argumento do Desígnio José Oscar de Almeida Marques Dep. de Filosofia – UNICAMP -/- RESUMO: É comum considerar que o chamado “argumento do desígnio” (o argumento a posteriori para provar a existência de Deus a partir da ordem e funcionalidade do mundo) teria sido refutado ou seriamente abalado por Hume. Mas a natureza e o alcance dessa alegada refutação são problemáticos, pois Hume muitas vezes expressou suas críticas através de seus personagens e evitou assumi-las diretamente (...) enquanto autor. Em vez de supor que Hume procedeu dessa forma apenas para disfarçar suas verdadeiras convicções e evitar um conflito com as autoridades eclesiásticas, proponho que sua posição nesse assunto não é tão categórica como às vezes se supõe, e que os famosos argumentos de Filo nos Diálogos mostram apenas que é possível que a ordem e funcionalidade do mundo tenham surgido sem a intervenção de um desígnio consciente, mas não podem por si sós dar a essa hipótese o mínimo grau de plausibilidade necessário para torná-la digna de uma séria consideração. De fato, antes da revolução explicativa operada por Darwin um século depois, ninguém estava realmente em condições de vislumbrar uma alternativa plausível à atuação de algum tipo de inteligência na geração da ordem e funcionalidade do mundo. ------------ Some Remarks on Hume’s Critique of the Argument from Design José Oscar of Almeida Marques Dep. of Philosophy - UNICAMP -/- ABSTRACT: The so-called “argument from design” (the a posteriori argument to prove the existence of God from the order and functionality of the world) is commonly considered to have been refuted or seriously impaired by Hume. But the nature and scope of this alleged refutation is problematic because Hume often expressed his critics through other characters’ mouth and avoided to assume them directly as author. Contrarily to the supposition that Hume proceeded in this way only to disguise his true convictions and to avoid a confrontation with the ecclesiastical authorities, I propose that his stance on the matter is not, in fact, as clear-cut as it is sometimes supposed, and that Philo’s famous arguments in the Dialogues show only that it is possible for the order and functionality of the world to have arisen without the intervention of an intelligent design, but cannot by themselves lend to this hypothesis the least degree of plausibility needed to make it worthy of serious consideration. In fact, before the explanatory revolution inaugurated by Darwin a century later, nobody was in position to envisage a plausible alternative to the operation of some sort or other of intelligence in the generation of the order and functionality of the world. (shrink)

In the essay 'Donner la mort' (1992) Jacques Derrida develops a new concept for the philosophical category of the subjectivity. In particular, he crucially connects the genesis of the subject with the experience of the absolute responsibility that, for Derrida, also represents the beginning of the religion itself: the religion comes to light fundamentally as history of the responsibility. The symbol of the absolute responsibility is the biblical figure of Abraham in the shocking pericope of Genesis 22, where (...) God demands the sacrifice of Isaac. This paper aims to analyze the structure of the absolute responsibility as genesis of the subject in Derrida’s reconstruction of the biblical text. The responsibility itself turns out to be the common foundation of those religions that share the figure of Abraham and provides also a base for a philosophy of monotheism. (shrink)

On assiste, depuis les années 70, à une interminable littérature sur la vie et la pensée de Nietzsche. Ce foisonnement d’études prend des proportions telles, que même des interprétations relativement récentes (Deleuze, Derrida, Klossowski, Sarah Kofman) se voient déjà élevées au rang des classiques. Les thèmes anciens, mêlés à d’autres plus actuels, sont repris, répétés, relus et réécrits dans des perspectives diverses. Ainsi se noue le dialogue d’une philosophie avec de larges pans de culture : Nietzsche et la métaphysique, (...) Nietzsche et la science, Nietzsche et la politique, Nietzsche et la musique, Nietzsche et la religion, Nietzsche et l’antisémitisme, Nietzsche et les Nazis, Nietzsche et le féminin, Nietzsche et la psychanalyse. (shrink)

Célèbre fourmi-homme E.O. Wilson a toujours été l’un de mes héros - non seulement un biologiste exceptionnel, mais l’une des minorités minuscules et en voie de disparition des intellectuels qui ose au moins faire allusion à la vérité sur notre nature que d’autres ne parviennent pas à saisir, ou dans la mesure osant o saisir, soigneusement éviter pour l’opportunisme politique. Malheureusement, il met fin à sa longue carrière d’une manière très sordide en tant que parti à une attaque ignorante et (...) arrogante sur la science motivée au moins en partie par la ferveur religieuse de ses collègues de Harvard. Il montre les conséquences ignobles lorsque les universités acceptent l’argent de groupes religieux, les revues scientifiques sont tellement impressionnés par les grands noms qu’ils évitent l’examen par les pairs appropriés, et quand les egos sont autorisés à devenir hors de contrôle. Il nous entraîne dans la nature de l’évolution, les bases de la méthodologie scientifique, comment les mathématiques se rapportent à la science, ce qui constitue une théorie, et même quelles attitudes à la religion et la générosité sont appropriées que nous approchons inexorablement l’effondrement de la civilisation industrielle. Ceux qui souhaitent un cadre complet à jour pour le comportement humain de la vue moderne de deux systemes peuvent consulter mon livre 'The Logical Structure of Philosophy, Psychology, Mind and Language in Ludwig Wittgenstein and John Searle' 2nd ed (2019). Ceux qui s’intéressent à plus de mes écrits peuvent voir «Talking Monkeys --Philosophie, Psychologie, Science, Religion et Politique sur une planète condamnée --Articles et revues 2006-2019 3e ed (2019) et Suicidal Utopian Delusions in the 21st Century 4th ed (2020) et autres. (shrink)

Dire de l’islam qu’il s’agit d’une religion relève du truisme. Dire qu’il existe des courants philosophiques divers dans les pays où l’islam est pratiqué est aussi de l’ordre du consensus. Mais affirmer qu’il y a une «philosophie islamique» et que celle-ci n’est ni une théologie ni une philosophie au sens nous l’entendons en Europe et en Amérique n’est pas une chose facile à comprendre. Pourtant penser la philosophique islamique pourrait être une manière renouve­lante de se réapproprier les (...) rapports Orient-Occident avec toutes les difficultés que sous-entend cette catégorisation à l’heure des réseaux planétaires et de la globalisation. (shrink)

Although Descartes’ characterization of the mind has sometimes been seen as too ‘moral’ and too ‘intellectualist’ to serve as a modern notion of consciousness, this article re-establishes the idea that Descartes’ way of doing metaphysics contributed to a novel delineation of the sphere of the mental. Earlier traditions in moral philosophy and religion certainly emphasized both a dualism of mind and body and a contrast between free intellectual activities and forcibly induced passions. Recent scholastic and neo-Stoic philosophical traditions, moreover, (...) drew attention to the disparity between the material and the immaterial, as well as to the possibility of a retreat into the personal realm of one’s own mind. Yet none of these moral and religious assessments of the relation between mind and body were motivated by the purely epistemological interest that we find in Descartes in setting apart a world of consciousness from the world of physics. The present article explains how Descartes made use of specific theological and moral philosophical theories in his own analysis of mental faculties; how he changed the orientation of metaphysics itself in the direction of a phenomenology of the mental; how he never returned to the naive idea of offering a dualist foundation for ethics; and how his mechanicism may have motivated his epistemological transformation of the science of metaphysics. In all these various ways, Descartes inaugurated an understanding of human mental life on the basis of physiological rather than metaphysical considerations, a view of psychology that is related to the experience of human individuals, and a naturalistic characterization of the mind in terms of a domain of consciousness rather than of moral conscience. (shrink)

Spanish translation of Gilbert de la Porrée on 'De praedicatione' by Boethius.

This article aims to carry out a review and analysis of the relationship and influence of sophist thought and epistemology in modern Brief strategic psychotherapy, Nardone model. The particular interest of this research revolves around the epistemological aspects and the questioning of objective reality and how this may have influenced the praxis of brief therapy. The epistemological, theoretical, and philosophical contributions of the sophists promoted a cultural change in the Hellenic world their legacy continues to this day, greatly influencing various (...) fields of knowledge, from philosophy to psychotherapy. A review of the preliminary evidence published in the philosophical and psychological literature is presented, examining sophist epistemology and its influence on brief strategic therapy, analyzing its epistemological approach related to relativism and skepticism, at the same time showing a philosophy that continues to this day that influences contemporary thinking and modern psychotherapy, especially Brief Strategic Therapy. From the review and analysis, is evidenced the influence of the sophists thinking on epistemology, the questioning of objective reality, and the clinical practice of brief strategic therapy. (shrink)

El presente artículo introduce el lector a la filosofía analítica de la religión desde un punto de vista histórico y haciendo énfasis en su evolución. El objetivo es doble: primero dar a conocer una nueva disciplina que se ha desarrollado de manera notoria dentro del habla inglesa pero que ha sido ignorada dentro de la filosofía de habla hispana; segundo, comprender su nacimiento y algunas de sus principales características.

The problem of universals remains a philosophical theme not only in ontology but also in epistemology. In Husserl, there are particular universals, the noematic ‘X’, the identical, and universals stricto sensu, atemporal universal names. In this paper, I present the theme as it is analyzed by Husserl in Ideas I. In the first section, I describe the trajectory to the universals highlighting the parallelism between noese and noema. In the second section, I draw the reflection of this problem on the (...) philosophy of language which is also affected by the noeticnoematic correspondence. In the third and last section, I show how the investigation about the universals moves in the noematic sphere, and conclude defending the possibility of reaching the universal strict sense departing from the noematic ‘X’. (shrink)

The article again treats the question of whether ≪the Idea of the Good is a Reality in the Universe, or beyond it. Is it immanent or transcendent?≫. Plato scholars such as Matthias Baltes and Luc Brisson have defended the thesis that Plato’s Idea of the Good is, on the one hand, beyond being in dignity and power, but, on the other, is nevertheless not transcendent over being. The article delivers first the most important arguments for the thesis of Baltes and (...) Brisson. Then, it gives two counterarguments against the thesis. Third, it concludes with some general questions concerning the deflationist interpretation of Plato’s Republic 509b9‑10, and defends again the transcendence of the Idea of the Good. (shrink)

ABSTRACT: In Japanese language, the “self” is always incardinated in a specific “relational” aspect that constitutes the subjective existential structure based on this spatial base in contrast with the temporal aspect that is the one that normally has the priority on Western tradition. In this paper I will try to expose this spatiality in the subject in relation with the climate and culture theory that we find on Watsuji Tetsurô´s work Fûdo (風土) (1935) as we can read in the newly (...) translated Spanish version entitled Antropología del paisaje. Climas, culturas y religiones. My study will be focused on the Prologue and First Chapter entitled “Filosofía del Paisaje” (Philosophy of Climate) in order to do an analysis of the spatial dimension recognizing the space as essential element in the constitution of the concept of subject in the philosophy of this Japanese philosopher. -/- Resum: El «jo», a la llengua japonesa, s’ubica sempre en un àmbit «relacional», de manera que trobem que en l’estructura existencial del subjecte l’accent queda posat en l’aspecte espacial i no tant en l’aspecte temporal, prioritzat a la filosofia occidental. En aquesta comunicació intentaré exposar l’aspecte espacial del jo en relació amb la teoria del clima que trobem a l’obra de Watsuji Tetsuro Fûdo ( ) (1935) que, en la seva recent traducció en llengua castellana, s’ha titulat Antropología del paisaje. Climas, culturas y religiones. El meu estudi se centrarà en el pròleg i en el primer capítol, titulat «Filosofía del paisaje», per a fer una anàlisi de la dimensió espacial reconeixent l’espai en tant que element essencial en la constitució del concepte de subjecte en la filosofia de l’autor japonès. (shrink)

This paper delves into the character concept as applied to reproduction. Our argument is that the prevailing functional-adaptationist perspective falls short in explaining the evolution of reproductive traits, and we propose an alternative organismal-relational approach that incorporates the developmental and interactive aspects of reproduction. To begin, we define the functional individuation of reproductive traits as evolutionary strategies aimed at enhancing fitness, and we demonstrate how this perspective influences the classification of reproductive characters and modes, the comprehension of shared traits as (...) resulting from conflicts of evolutionary interest between individuals, and the explanation of reproductive diversity. After outlining the shortcomings of this framework, we introduce an organismal-relational approach grounded in evolutionary developmental studies of reproduction. This view provides a revised classification for reproductive characters and modes and offers a new understanding of interorganismal traits that takes into account their inherently relational nature. Lastly, we present the research agenda that emerges from this approach, which addresses the core explanatory gaps left by the adaptationist perspective, including the explanation of reproductive homologies and homoplasies, the developmental constraints associated with the evolution of reproductive modes, and the evolvability of reproductive characters. (shrink)

In this article I try to prove that the crisis of the West is necessarily linked to the crisis of a monotheism, which has lost its primordial sense. Indeed, because God was conceived of in Western civilization on the basis of the Plotinian unus—that is, on the basis of identity—and every other relationship to alterity was conceived of following this very same criterion, sociality was defined as plurality of the individual, as a mere numerical multiplicity. Against this conception I sketch (...) a new schema for thinking of God and thinking of the relation to otherness based on a differentiality irreducible to any identity. I depict this differentiality as based on the Husserlian conception of time consciousness, defining it not only as a mere lack of identity but as a non-indifference for the other. Hence, I conclude that it is possible to think of a true monotheism that fosters a multiplicity of religions that are not indifferent but responsible to each other. (shrink)

Con el movimiento de la Ilustración, Kant llamaba a hacer uso público de una razón mayor de edad para desmontar el pensamiento dogmático de los tutores y abrirse a formas de argumentación libres y emancipadoras. Por otro lado, es sabido cómo el romanticismo surge como reacción frente al pensamiento ilustrado. El espíritu de la época busca refugio en el sentimiento después de la pérdida del contenido absoluto. Esta nueva figura -el sentimiento- va a ser a los ojos de Hegel la (...) conclusión lógica a que ha conducido la Ilustración. Aquí va a residir el motivo fundamental del enfrentamiento entre la Ilustración y el Romanticismo, donde las figuras de Kant y Schleiermacher se encuentran o quizás se separan en cuanto al ámbito que debe corresponder a la filosofía, a la religión y si hay un punto de encuentro en las dos. (shrink)

This article deals with the doctrine of providence in Thomas Aquinas based on the thinking of the French philosopher Christian Godin: divine providence would provide an understanding of the “totality” (totalité) that concerns not only the entire universe but also each individual. Aquinas gives an Aristotelian explanation of chance, luck and contingency from the divine perspective. Omniscience, omnipotence and divine providence, however, do not contradict the existence of either true contingency in the natural world or freedom but, on the contrary, (...) they support them. In short, the two peculiarities of the doctrine of providence in St. Thomas here exposed are: first, that God’s will is the ultimate foundation of all contingency (and not merely the deficiency of secondary causes); second, that the divine causality cannot be reduced to any of the two groups of created causes (necessary or contingent) but it is only known to us by analogy. (shrink)