En sciences sociales, les scientifiques utilisent les rapports des sujets sur leurs propres états mentaux dans leurs démarches expérimentales. Ainsi, l’introspection, ou la capacité des sujets à former des croyances sur leurs propres états mentaux, y joue un rôle important. Selon les tenants de l’introspectionnisme, l’introspection est une méthode, certes privée, mais qui permet de justifier directement des hypothèses scientifiques. Ainsi, contrairement aux méthodes utilisées dans les sciences de la nature qui se fondent uniquement sur des données publiques, les sciences (...) sociales utiliseraient des données subjectives pour justifier leurs hypothèses. Contre l’introspectionnisme, nous défendons que l’introspection n’est pas utilisée pour justifier directement les hypothèses, mais que sa place est plutôt similaire à celle d’un instrument de mesure des états et processus mentaux des sujets, susceptible d’être calibré, à la façon dont les instruments de mesure utilisés dans les sciences... (shrink)

RésuméJe soutiendrai que la façon dont Davidson rend compte de l'intention pure peut être comprise comme une analyse de l'intention comme étant relative à un jugement dans une perspective en première personne. Selon Davidson, avoir la pure intention de faire A, c'est formuler un jugement tout bien considéré qu'il est désirable de faire A. Dans cette analyse anti-réductionniste, l'intention est traitée comme un état irréductible du sujet. J’établirai une comparaison entre cette analyse et celle de Wright et je (...) montrerai comment la position de Davidson peut être considérée comme une analyse non-réductionniste rapportant l'intention au jugement, selon les directions suggérées par Wright. J'expliquerai ensuite comment cette analyse peut aider à éclaircir diverses difficultés qui se présentent dans la conception que Davidson se fait ultérieurement de la signification et du contenu mental. (shrink)

Que signifie le fait d’avoir le statut de personne morale, c’est-à-dire d’avoir la capacité de responsabilité morale? Dans un important essai sur la question, Dennett a proposé six conditions qui définissent ce concept. Premièrement, l’entité à laquelle nous attribuerions le statut de personne morale doit être douée de rationalité. Deuxièmement, elle doit être capable d’adopter la position intentionnelle — c’est-à-dire qu’elle doit être capable d’attribuer des intentions aux autres. Troisièmement, elle doit pouvoir être l’objet d’une certaine attitude. Quatrièmement, (...) elle doit être capable de réciprocité de manière à pouvoir répondre à cette attitude. Cinquièmement, elle doit être capable de communiquer avec les autres. Les troisième, quatrième et cinquième conditions, de façon explicite et significative, impliquent des dimensions sociales, bien que, pour Dennett, la nature précise de ces dimensions sociales demeure une question encore ouverte. Enfin, ces cinq premières conditions sont nécessaires pour la sixième : l’entité doit être capable de conscience de soi. La conscience de soi est comprise ici comme étant un processus mental d’un ordre supérieur, dont, ainsi que le suggèrent Dennett et d’autres, les jeunes enfants sont incapables. Bien plus, dans une variété d’autres contextes, Dennett. (shrink)

La première chose que nous devons garder à l’esprit est que lorsque nous disons que la Chine dit ceci ou la Chine fait cela, nous ne parlons pas du peuple chinois, mais des sociopathes qui contrôlent le PCC -- Parti communiste chinois, c’est-à-dire, les sept tueurs en série sociopathes seniles (SSSSK) du Comité permanent du PCC ou des 25 membres du Politburo etc. Les plans du PCC pour la Seconde Guerre mondiale et la domination totale sont énoncés très clairement (...) dans les publications et les discours du gouvernement chinois et c’est le « rêve chinois » de Xi Jinping. C’est un rêve seulement pour la petite minorité (peut-être quelques dizaines à quelques centaines) qui gouvernent la Chine et un cauchemar pour tout le monde (y compris 1,4 milliard de Chinois). Les 10 milliards de dollars par an leur permettent, à eux ou à leurs marionnettes, de posséder ou de contrôler des journaux, des magazines, des chaînes de télévision et de radio et de placer des fausses nouvelles dans la plupart des grands médias partout dans le monde chaque jour. En outre, ils ont une armée (peut-être des millions de personnes) qui troll tous les médias de placer plus de propagande et de noyer des commentaires légitimes (l’armée de 50 centimes). En plus de dépouiller le monde des ressources de 3rd, une poussée majeure de l’initiative de des centaines de milliards de dollars Belt and Road est la construction de bases militaires dans le monde entier. Ils forment le monde libre dans une course aux armements massive de haute technologie qui fait la guerre froide avec l’Union soviétique ressembler à un pique-nique. Bien que le SSSSK, et le reste de l’armée mondiale, dépensent des sommes énormes sur le matériel avancé, il est très probable que WW3 (ou les petits engagements qui l’ont précédé) sera dominé par les logiciels. Il n’est pas hors de question que le SSSSK, avec probablement plus de pirates (codeurs) travaillant pour eux, puis tout le reste du monde combiné, va gagner de futures guerres avec un minimum de conflit physique, juste en paralysant leurs ennemis via le net. Pas de satellites, pas de téléphones, pas de communications, pas de transactions financières, pas de réseau électrique, pas d’Internet, pas d’armes de pointe, pas de véhicules, de trains, de navires ou d’avions. Il n’y a que deux voies principales pour enlever le PCC, libérer 1,4 milliard de prisonniers chinois, et mettre fin à la marche lunatique à la Seconde Guerre mondiale. Le pacifique est de lancer une guerre commerciale tous avare pour dévaster l’économie chinoise jusqu’à ce que l’armée en ait marre et démarre le PCC. Une alternative à la fermeture de l’économie chinoise est une guerre limitée, comme une frappe ciblée par dire 50 drones thermobares sur le 20e Congrès du PCC, lorsque tous les membres supérieurs sont en un seul endroit, mais qui n’aura pas lieu avant 2022 afin que l’on puisse frapper la réunion plénière annuelle. Les Chinois seraient informés, au fur et à mesure de l’attaque, qu’ils devaient déposer les armes et se préparer à organiser des élections démocratiques ou à être regroupés dans l’âge de pierre. L’autre alternative est une attaque nucléaire tous anch, une attaque nucléaire. La confrontation militaire est inévitable compte tenu de la voie actuelle du PCC. Il se produira probablement sur les îles de la mer de Chine méridionale ou Taiwan dans quelques décennies, mais comme ils établissent des bases militaires dans le monde entier, il pourrait se produire n’importe où (voir Tigre accroupi, etc.). Les conflits futurs auront des aspects difficiles et souples avec les objectifs déclarés du PCC de mettre l’accent sur la cyberguerre par le piratage et le paralysage des systèmes de contrôle de toutes les communications militaires et industrielles, l’équipement, les centrales électriques, les satellites, Internet, les banques, et tout appareil ou véhicule connecté au net. Les SS sont lentement sur le terrain d’un éventail mondial de sous-marins ou de drones sous-marins habités et autonomes capables de lancer des armes conventionnelles ou nucléaires qui peuvent rester dormants en attendant un signal de la Chine ou même à la recherche de la signature de navires ou d’avions américains. Tout en détruisant nos satellites, éliminant ainsi la communication entre les États-Unis et nos forces dans le monde entier, ils utiliseront les leurs, en conjonction avec des drones pour cibler et détruire nos forces navales actuellement supérieures. Bien sûr, tout cela se fait de plus en plus automatiquement par l’IA. De loin le plus grand allié du PCC est le parti démocrate des États-Unis. Le choix est d’arrêter le PCC maintenant ou regarder comme ils prolongent la prison chinoise sur le monde entier. Ceux qui s’intéressent à d’autres détails sur le chemin fou de la société moderne peuvent consulter mes autres œuvres telles que Suicide by Democracy-an Obituary for America and the World th Edition 2020 et Suicidal Utopian Delusions in the 21st Century: Philosophie, Nature Humaine et l’effondrement de la civilisation 4e ed (2020) . (shrink)

La première chose que nous devons garder à l'esprit est que lorsque vous dites que la Chine dit ceci ou la Chine fait cela, nous ne parlons pas du peuple chinois, mais des sociopathes qui contrôlent le PCC -- Parti communiste chinois, c'est-à-dire les sept tueurs en série sociopathiques séniles (SSSSK) de l'E e Comité permanent du PCC ou des 25 membres du Politburo, etc. -/- Les plans du PCC pour la Troiseme Guerre mondiale et la domination totale sont (...) énoncés très clairement dans les publications et les discours du gouvernement chinois et c'est le « rêve chinois » de Xi Jinping. C'est un rêve seulement pour la petite minorité (peut-être quelques dizaines à quelques centaines) qui gouvernent la Chine et un cauchemar pour tout le monde (y compris 1,4 milliard de Chinois). Les 10 milliards de dollars par an leur permettent, eux ou leurs marionnettes, de posséder ou de contrôler des journaux, des magazines, des chaînes de télévision et de radio et de placer des fausses nouvelles dans la plupart des grands médias partout chaque jour. En outre, ils ont une armée (peut-être des millions de personnes) qui troll tous les médias plaçant plus de propagande et de noyer les commentaires légitimes (l'armée de 50 cents). -/- En plus de dépouiller le 3e monde des ressources, l'une des grandes orientations de l'initiative Belt and Road, qui s'est portée à plusieurs milliards de dollars, consiste à construire des bases militaires dans le monde entier. Ils forcent le monde libre dans une course aux armements massive de haute technologie qui fait de la guerre froide avec l'Union soviétique ressembler à un pique-nique. -/- Bien que le SSSSK, et le reste de l'armée du monde, dépensent d'énormes sommes sur le matériel de pointe, il est très probable que WW3 (ou les petits engagements qui y ont précédé) sera dominé par le logiciel. Il n'est pas hors de question que le SSSSK, avec probablement plus de pirates (codeurs) travaillant pour eux, puis tout le reste du monde combiné, va gagner de futures guerres avec un conflit physique minimal, juste en paralysant leurs ennemis via le net. Pas de satellites, pas de téléphones, pas de communications, pas de transactions financières, pas de réseau électrique, pas d'Internet, pas d'armes avancées, pas de véhicules, trains, navires ou avions. -/- Il n'y a que deux voies principales à enlever le CCP, libérant 1,4 milliard de prisonniers chinois, et mettant fin à la marche folle à WW3. Le pacifique est de lancer une guerre commerciale tous adhérences pour dévaster l'économie chinoise jusqu'à ce que l'armée en ait marre et démarre le PCC. -/- Une alternative à la fermeture de l'économie de la Chine est une guerre limitée, comme une frappe ciblée par dire 50 drones thermobares sur le 20e Congrès du PCC, lorsque tous les membres supérieurs sont en un seul endroit, mais qui n'aura pas lieu jusqu'en 2022 afin on pourrait frapper à la réunion plénière annuelle. Les Chinois seraient informés, au fur et à mesure de l'attaque, qu'ils devaient déposer les armes et se préparer à tenir des élections démocratiques ou à être nuked dans l'âge de pierre. L'autre alternative est une attaque nucléaire tous adhérences. La confrontation militaire est inévitable compte tenu de la trajectoire actuelle du PCC. Il se produira probablement au-dessus des îles dans la mer de Chine méridionale ou à Taïwan dans quelques décennies, mais pendant qu'ils établissent des bases militaires dans le monde entier il pourrait se produire n'importe où (voir Tigre accroupi etc.). Les conflits futurs auront des aspects de hardkill et de softkill avec les objectifs déclarés du CCP pour souligner la cyberguerre en piratant et paralysant des systèmes de commande de toutes les communications militaires et industrielles, équipements, centrales électriques, satellites, internet, banques, et tout appareil ou véhicule connecté au réseau. Les SS sont lentement sur le terrain d'un éventail mondial de sous-marins de surface et autonomes habités et autonomes ou des drones capables de lancer des armes conventionnelles ou nucléaires qui peuvent rester en sommeil en attendant un signal de la Chine ou même à la recherche de la signature de navires ou d'avions américains. Tout en détruisant nos satellites, éliminant ainsi la communication entre les États-Unis et nos forces dans le monde entier, ils utiliseront les leurs, en conjonction avec des drones pour cibler et détruire nos forces navales actuellement supérieures. Bien sûr, tout cela est de plus en plus fait automatiquement par l'IA. (shrink)

Ce n’est pas un livre parfait, mais il est unique, et si vous écrémez les 400 premières pages ou plus, les 300 dernières (sur quelque 700) sont une assez bonne tentative d’appliquer ce qui est connu sur le comportement aux changements sociaux de la violence et des manières au fil du temps. Le sujet fondamental est le suivant : comment notre génétique contrôle-t-elle et limite-t-elle le changement social ? Étonnamment, il ne parvient pas à décrire la nature de la sélection (...) des parents (fitness inclusif) qui explique une grande partie de la vie sociale animale et humaine. Il n’a pas non plus (comme presque tout le monde) un cadre clair pour décrire la structure logique de la rationalité (LSR—terme préféré de John Searle) que je préfère appeler la psychologie descriptive de la pensée de haut ordre (DPHOT). Il aurait dû dire quelque chose sur les nombreuses autres façons d’abuser et d’exploiter les gens et la planète, car ceux-ci sont maintenant beaucoup plus graves que de rendre d’autres formes de violence presque hors de propos. Étendre le concept de violence pour inclure les-conséquences mondiales à long terme de la réplication des gènes de quelqu’un, et avoir une compréhension de la nature de la façon dont fonctionne l’évolution (c.-à-d., la sélection des parents) fournira une perspective très différente sur l’histoire, les événements actuels, et comment les choses sont susceptibles d’aller dans les quelques centaines d’années. On pourrait commencer par noter que la diminution de la violence physique au cours de l’histoire a été compensée (et rendue possible) par le viol sans pitié de la planète (c’est-à-dire par la destruction par les gens de l’avenir de leur propre descendant). Pinker (comme la plupart des gens la plupart du temps) est souvent distrait par les superficialités de la culture quand c’est la biologie qui compte. Voir mes critiques récentes de Wilson 'The Social Conquest of Earth' et Nowak and Highfield’s 'SuperCooperators' ici et sur le net pour un bref résumé de la vacuité de «véritable altruisme»(sélection de groupe), et le fonctionnement de la sélection des parents et l’inutilité et la superficialité de décrire le comportement en termes culturels. C’est la question classique de la nature/nourrir et la nature l’emporte nourrir - infiniment. Ce qui importe vraiment, c’est la violence faite à la terre par l’augmentation incessante de la population et de la destruction des ressources (en raison de la médecine et de la technologie et de la répression des conflits par la police et l’armée). Environ 200.000 personnes de plus par jour (un autre Las Vegas tous les 10 jours, un autre Los Angeles chaque mois), les 6 tonnes ou plus de la base va dans la mer / personne / année - environ 1% du total du monde disparaissant chaque année, etc. signifie que si un miracle se produit la biosphère et la civilisation va largement s’effondrer au cours des deux prochains siècles, et il y aura la famine, la misère et la violence de tous les types. Les manières, les opinions et les tendances des gens à commettre des actes de violence ne sont d’aucune pertinence à moins qu’ils ne puissent faire quelque chose pour éviter cette catastrophe, et je ne vois pas comment cela va se produire. Il n’y a pas de place pour les arguments, et aucun point non plus (oui je suis un fataliste), donc je vais juste faire quelques commentaires comme s’ils étaient des faits. N’imaginez pas que j’ai un intérêt personnel dans la promotion d’un groupe au détriment des autres. J’ai 78, n’ont pas de descendants et pas de proches parents et ne s’identifient à aucun groupe politique, national ou religieux et considèrent ceux que j’appartiens par défaut aussi répugnant que tout le reste. Les parents sont les pires ennemis de la vie sur Terre et, compte tenu de la vue générale des choses, les femmes sont aussi violentes que les hommes quand on considère le fait que la violence des femmes (comme la plupart de celle faite par les hommes) se fait en grande partie au ralenti, à une distance dans le temps et l’espace et la plupart du temps effectuée par procuration -par leurs descendants et par les hommes. De plus en plus, les femmes portent des enfants, qu’elles aient un compagnon ou non et que l’effet d’empêcher une femme de se reproduire est en moyenne beaucoup plus important que d’arrêter un homme, car ils constituent le goulot d’étranglement reproducteur. On peut considérer que les gens et leur progéniture méritent richement toute la misère vient leur chemin et (à de rares exceptions près) les riches et les célèbres sont les pires délinquants. Meryl Streep ou Bill Gates ou J.K Rowling et chacun de leurs enfants peuvent détruire 50 tonnes de terre d’o re plus chaque année pendant des générations dans l’avenir, tandis qu’un fermier indien et son peut détruire 1 tonne. Si quelqu’un nie que c’est très bien, et à leurs descendants, je dis "Bienvenue à l’enfer sur Terre"(WTHOE). Aujourd’hui, l’accent est toujours mis sur les droits de l’homme, mais il est clair que si la civilisation doit avoir une chance, les responsabilités humaines doivent remplacer les droits de l’homme. Personne n’obtient des droits sans être un citoyen responsable et la première chose que cela signifie est la destruction de l’environnement minimal. La responsabilité la plus fondamentale n’est pas les enfants à moins que votre société vous demande de les produire. Une société ou un monde qui permet aux gens de se reproduire au hasard sera toujours exploité par des gènes égoïstes jusqu’à ce qu’il s’effondre (ou atteint un point où la vie est si horrible qu’il ne vaut pas la peine de vivre). Si la société continue à maintenir les droits de l’homme comme primaires, à leurs descendants, on peut dire avec confiance "WTHOE". Ceux qui souhaitent un cadre complet à jour pour le comportement humain de la vue moderne de deuxemssyst peuvent consulter mon livre 'The Logical Structure of Philosophy, Psychology, Mind and Language in Ludwig Wittgenstein and John Searle' 2nd ed (2019). Ceux qui s’intéressent à plus de mes écrits peuvent voir «Talking Monkeys --Philosophie, Psychologie, Science, Religion et Politique sur une planète condamnée --Articles et revues 2006-2019 3e ed (2019) et Suicidal Utopian Delusions in the 21st Century 4th ed (2019) et autres. (shrink)

D’où vient la difficulté des démocraties libérales à résorber les inégalités de distribution des risques environnementaux qui affectent davantage les personnes racisées? Dit autrement, d’où vient leur incapacité à contrer le racisme environnemental? En mobilisant la notion de réification, cet article cherche à analyser les causes de la perpétuation de cette forme particulière de racisme dans nos sociétés. Après avoir défini ce concept et celui de racisme environnemental, nous explorons deux possibles explications s’appuyant sur des conceptions différentes du processus de (...) « réification de l’environnement ». La première est inspirée de Steven Vogel et György Lukács et la seconde de Simon Hailwood et Axel Honneth. Plutôt que de proposer une thèse forte, ce travail souhaite ouvrir un nouvel angle de recherche sur les racines conceptuelles d’un problème aux conséquences politiques, économiques et sociales qui maintient certaines populations dans des situations de plus grande précarité matérielle et morale. (shrink)

Dans cet article, nous entendons mettre en évidence l’impact de la violence verbale sur l’identité de personnes d’origines culturelles diverses, précisément dans les sociétés multiculturelles. L’importance de ce thème réside dans la multiplicité des formes de violence verbale et la variété des territoires qu’elle touche. À première vue, ce type de violence paraît sans gravité, mais son impact sur l’identité de chaque personne ayant subi ce type de violence, ainsi que sur son psychisme, est considérable. À titre d’illustration (...) et d’un point de vue linguistico-culturel, nous analyserons trois exemples, dont deux font partie de la caricature, afin de faire face à la violence verbale qui peut prendre de nombreuses formes, notamment des stéréotypes en contexte migratoire. -/- . (shrink)

Que diriez-vous d’une autre prise sur les riches et célèbres? Tout d’abord l’évidence - les romans de Harry Potter sont la superstition primitive qui encourage les enfants à croire en la fantaisie plutôt que d’assumer la responsabilité du monde - la norme bien sûr. JKR est tout aussi désemparé sur elle-même et le monde que la plupart des gens, mais environ200 fois plus destructeur que l’Américain moyen et environ 800 fois plus que le Chinois moyen. Elle a été responsable de (...) la destruction de peut-être 30.000 hectares de forêt pour produire ces romans trash et toute l’érosion qui s’ensuit (pas trivial car il est au moins 6 et peut-être 12 tonnes / an de sol dans l’océan pour tout le monde sur terre ou peut-être 100 tonnes par Américain, et donc environ 5000 tonnes par an pour les livres de Rowling et films et ses 3 enfants). La terre perd au moins 1% de sa terre maximale chaque année, de sorte qu’il approche de 2100, la plupart de sa capacité de culture alimentaire aura disparu. Ensuite, il ya l’énorme quantité de carburant brûlé et les déchets faits pour faire et distribuer les livres et les films, poupées en plastique, etc. Elle montre son manque de responsabilité sociale en produisant des enfants plutôt que d’utiliser ses millions pour encourager la planification familiale ou acheter la forêt tropicale, et en promouvant la stupidité libérale conventionnelle de la suprématie du 3e monde qui détruit la Grande-Bretagne, l’Amérique, le monde et l’avenir de son descendant. Bien sûr, elle n’est pas si différente des 7 autres. 8 milliards désemparés - juste plus bruyant et plus destructeur. C’est le problème de déjeuner gratuit bref grand. La foule ne peut tout simplement pas voir qu’il n’y a pas une telle chose comme aider une personne sans nuire à d’autres. Les droits ou privilèges accordés aux nouveaux arrivants dans un monde surpeuplé ne peuvent que s’affaiblir dans ceux des autres. Malgré les catastrophes écologiques massives qui se produisent partout tous les jours, ils ne peuvent pas les épingler à la maternité effrénée de "la diversité", qui explique la majeure partie de l’augmentation de la population du siècle dernier et tout cela dans celui-ci. Ils manquent d’une combinaison d’intelligence, d’éducation, d’expérience et de santé mentale nécessaires pour extrapoler les assauts quotidiens sur les ressources et le fonctionnement de la société à l’effondrement éventuel de la civilisation industrielle. Chaque repas, chaque voyage en voiture ou en bus, chaque paire de chaussures est un autre clou dans le cercueil de la terre. Il n’a probablement jamais traversé son esprit qu’un siège dans un avion de Londres à San Francisco produit environ une tonne de carbone qui fond environ 3 mètres carrés de glace de mer et comme l’un des surprivileged, elle a probablement volé des centaines de ces vols. Non seulement les riches et les célèbres, mais presque n’importe quelle personnalité publique du tout, y compris pratiquement tous les enseignants, sont poussés à être politiquement corrects, ce qui dans les démocraties occidentales, signifie maintenant social-démocrate (néomarxiste, c’est-à-dire communiste dilué) suprémacistes du tiers monde travaillant pour la destruction de leurs propres sociétés et de leurs propres descendants. Ainsi, ceux dont le manque d’éducation, d’expérience, d’intelligence (et de bon sens de base), qui devrait leur interdire de faire des déclarations publiques du tout, domine totalement tous les médias, créant l’impression que l’intelligent et civilisé doit favoriser la démocratie, la diversité et l’égalité, alors que la vérité est que ce sont les problèmes et non les solutions, et qu’ils sont eux-mêmes les principaux ennemis de la civilisation. Voir mon Suicide by Democracy 4th ed (2020). (shrink)

Je défends ici la nécessité, et ébauche une première version, d’une théorie iconique des propositions. Selon celle-ci, les propositions sont comme les objets de représentation, ou similaires à eux. Les propositions, suivant cette approche, sont des propriétés que l’esprit instancie lorsqu’il modélise le monde. Je connecte cette théorie aux récents développements de la littérature académique sur les propositions, ainsi qu’à une branche de recherches en sciences cognitives, qui explique certains types de représentations mentales en termes d’iconicité. I motivate the (...) need for, and then sketch, an iconic theory of propositions according to which propositions are like or similar to their objects of representation. Propositions on this theory are properties that the mind instantiates when it models the world. I connect the theory to recent developments in the propositions literature as well as to a strain of cognitive science that explains some kinds of mental representation in terms of iconicity. (shrink)

La première préface à l’Histoire de la folie est un texte riche qui propose une conception originale de la culture : celle-ci se définirait non par ce qu’elle affirme, mais par ce qu’elle rejette. Or, s’il existe une littérature secondaire qui en fait mention, la préface n’est presque jamais traitée pour elle-même. Nous pensons pourtant qu’en plus d’offrir une conception de la culture, elle permet de penser l’œuvre et la folie à travers une certaine confrontation, à savoir celle entre (...) la dialectique et le tragique. C’est en suivant cette confrontation, voulue par Foucault, que nous dégagerons les points forts de la préface. On se demandera, enfin, si Foucault, dans ce texte, dispose des moyens pour mener la véritable confrontation des « dialectiques de l’histoire » ou si, comme le pensait Derrida, il ne s’agit que d’une contestation de l’ordre rationnel. (shrink)

This paper considers the connection between automaticity, control and agency. Indeed, recent philosophical and psychological works play up the incompatibility of automaticity and agency. Specifically, there is a threat of automaticity, for automaticity eliminates agency. Such conclusions stem from a tension between two thoughts: that automaticity pervades agency and yet automaticity rules out control. I provide an analysis of the notions of automaticity and control that maintains a simple connection: automaticity entails the absence of control. An appropriate analysis, however, shows (...) that actions are forms of control and pervasively automatic even if automaticity implies the absence of control. Consequences are drawn for the theory of mental agency and the psychological concepts of automaticity and control. (shrink)

Just as bodily actions are things you do with your body, mental actions are things you do with your mind. Both are different from things that merely happen to you. Where does the idea of mental action come from? What are mental actions? And why do they matter in philosophy? These are the three main questions answered in this paper. Section 1 introduces mental action through a brief history of the topic in philosophy. Section 2 explains what it is to (...) be a mental action in terms of intentional action. Section 3 argues that the fact that we can perform mental actions has some striking consequences concerning mental content. Section 4 shows how mental action helps to explain some important facts about self-knowledge and the normativity of thought. The conclusion mentions two further fruitful avenues for philosophical research on mental action. (shrink)

Mental and behavioral disorders represent a significant portion of the public health burden in all countries. The human cost of these disorders is immense, yet treatment options for sufferers are currently limited, with many patients failing to respond sufficiently to available interventions and drugs. High quality ontologies facilitate data aggregation and comparison across different disciplines, and may therefore speed up the translation of primary research into novel therapeutics. Realism-based ontologies describe entities in reality and the relationships between them in such (...) a way that – once formulated in a suitable formal language – the ontologies can be used for sophisticated automated reasoning applications. Reference ontologies can be applied across different contexts in which different, and often mutually incompatible, domain-specific vocabularies have traditionally been used. In this contribution we describe the Mental Functioning Ontology (MF) and Mental Disease Ontology (MD), two realism-based ontologies currently under development for the description of humanmental functioning and disease. We describe the structure and upper levels of the ontologies and preliminary application scenarios, and identify some open questions. (shrink)

Bringing research on collective memory together with research on episodic future thought, Szpunar and Szpunar :376–389, 2016) have recently developed the concept of collective future thought. Individual memory and individual future thought are increasingly seen as two forms of individual mental time travel, and it is natural to see collective memory and collective future thought as forms of collective mental time travel. But how seriously should the notion of collective mental time travel be taken? This article argues that, while collective (...) mental time travel is disanalogous in important respects to individual mental time travel, the concept of collective mental time travel nevertheless provides a useful means of organizing existing findings, while also suggesting promising directions for future research. (shrink)

Dans notre société de plus en plus digitalisée, avons-nous vraiment le choix d’adopter ou non les technologies? Comment cette digitalisation impacte-t-elle les personnes âgées en particulier et son écosystème? Quels sont les enjeux éthiques soulevés par cette digitalisation? Ce texte vise à amener des éléments de réflexions en lien avec ces enjeux selon le point de vue de divers experts des domaines de la technologie, du vieillissement et de la bioéthique. Ces experts se sont rencontrés lors d’un symposium ayant eu (...) lieu à Angers, France, en octobre 2019. Le texte est un compte-rendu des échanges et points de vue de ces experts, ainsi que des discussions ouvertes qu’ils ont eues avec l’assistance, portant sur les principaux enjeux soulevés par cette digitalisation selon la perspective des personnes âgées, des proches-aidants, des soignants, de la société et de la recherche. (shrink)

Nonreductive physicalism states that actions have sufficient physical causes and distinct mental causes. Nonreductive physicalism has recently faced the exclusion problem, according to which the single sufficient physical cause excludes the mental causes from causal efficacy. Autonomists respond by stating that while mental-to-physical causation fails, mental-to-mental causation persists. Several recent philosophers establish this autonomy result via similar models of causation :1031–1049, 2016; Zhong, J Philos 111:341–360, 2014). In this paper I argue that both of these autonomist models fail on account (...) of the problem of Edwards’s Dictum. However, I appeal to foundational principles of action theory to resuscitate mental-to-mental causation in a manner that is consistent with the models of causation endorsed by these autonomists. (shrink)

Mental (or semantic) holism is the doctrine that the identity of a belief content (or the meaning of a sentence that expresses it) is determined by its place in the web of beliefs or sentences comprising a whole theory or group of theories. It can be contrasted with two other views: atomism and molecularism. Molecularism characterizes meaning and content in terms of relatively small parts of the web in a way that allows many different theories to share those parts. For (...) example, the meaning of 'chase' might be said by a molecularist to be try to catch. Atomism characterizes meaning and content in terms of none of the web; it says that sentences and beliefs have meaning or content independently of their relations to other sentences or beliefs. One major motivation for holism has come from reflections on the natures of confirmation and learning. As Quine (1953) observed, claims about the world are confirmed not individually, but only in conjunction with theories of which they are a part. And typically, one cannot come to understand scientific claims without understanding a significant chunk of the theory of which they are a part. For example, in learning the Newtonian concepts of 'force', 'mass', kinetic energy' and 'momentum', one doesn't learn any definitions of these terms in terms that are understood beforehand, for there are no such definitions. Rather, these theoretical terms were all learned together in conjunction with procedures for solving problems. The major problem with holism is that it threatens to make generalization in psychology virtually impossible. If the content of any state depends on all others, it would be extremely unlikely that any two believers would ever share a state with the same content. Moreover, holism would appear to conflict with our ordinary conception of reasoning. What sentences one accepts influence what one infers. if i accept a sentence and then later reject it, i thereby change the inferential role of that sentence, so the meaning of what i accept wouldn't be the same as what i later reject. but then it would be difficult to understand on this view how one could rationally --or even irrationally!-- change one's mind. and agreement and translation are also problematic for much the same reason. holists have responded (1) by proposing that we should think not in terms of "same/different" meaning but in terms of a gradient of similarity of meaning, (2) by proposing "two factor" theories or (3) by simply accepting the consequence that there is no real difference between changing meanings and changing beliefs. (shrink)

Episodic memory (memories of the personal past) and prospecting the future (anticipating events) are often described as mental time travel (MTT). While most use this description metaphorically, we argue that episodic memory may allow for MTT in at least some robust sense. While episodic memory experiences may not allow us to literally travel through time, they do afford genuine awareness of past-perceived events. This is in contrast to an alternative view on which episodic memory experiences present past-perceived events as mere (...) intentional contents. Hence, episodic memory is a way of coming into experiential contact with, or being again aware of, what happened in the past. We argue that episodic memory experiences depend on a causal-informational link with the past events being remembered, and that, assuming direct realism about episodic memory experiences, this link suffices for genuine awareness. Since there is no such link in future prospection, a similar argument cannot be used to show that it also affords genuine awareness of future events. Constructivist views of memory might challenge the idea of memory as genuine awareness of remembered events. We explain how our view is consistent with both constructivist and anti-causalist conceptions of memory. There is still room for an interpretation of episodic memory as enabling genuine awareness of past events, even if it involves reconstruction. (shrink)

This article argues that existing approaches to programming ethical AI fail to resolve a serious moral-semantic trilemma, generating interpretations of ethical requirements that are either too semantically strict, too semantically flexible, or overly unpredictable. This paper then illustrates the trilemma utilizing a recently proposed ‘general ethical dilemma analyzer,’ GenEth. Finally, it uses empirical evidence to argue that human beings resolve the semantic trilemma using general cognitive and motivational processes involving ‘mental time-travel,’ whereby we simulate different possible pasts and futures. I (...) demonstrate how mental time-travel psychology leads us to resolve the semantic trilemma through a six-step process of interpersonal negotiation and renegotiation, and then conclude by showing how comparative advantages in processing power would plausibly cause AI to use similar processes to solve the semantic trilemma more reliably than we do, leading AI to make better moral-semantic choices than humans do by our very own lights. (shrink)

The problem of amodal perception is the problem of how we represent features of perceived objects that are occluded or otherwise hidden from us. Bence Nanay (2010) has recently proposed that we amodally perceive an object's occluded features by imaginatively projecting them into the relevant regions of visual egocentric space. In this paper, I argue that amodal perception is not a single, unitary capacity. Drawing appropriate distinctions reveals amodal perception to be characterized not only by mental imagery, as Nanay suggests, (...) but also by genuinely visual representations as well as beliefs. I conclude with some brief remarks on the role of object-directed bodily action in conferring a sense of unseen presence on an object's occluded features. (shrink)

This study investigates the relationship between mental health and emotional intelligence among senior high school students in a public school. Thus, the study employed a correlational design to measure the relationship between mental health and emotional intelligence among 152 Grade 12 senior high school students in a public school. Hence, to measure the study’s variables - Mental Health Inventory and Emotional Intelligence Scale (EIS) were utilized. Based on the inferential statistics, the r coefficient of 0.32 indicates a low positive correlation (...) between the variables and a p-value of 0.00, indicating a significant relationship between the respondents' mental health and emotional intelligence. Implications and recommendations were discussed in the study. (shrink)

This paper is about a puzzle which lies at the heart of contemporary physicalist theories of mind. On the one hand, the original motivation for physicalism was the need to explain the place of mental causation in the physical world. On the other hand, physicalists have recently come to see the explanation of mental causation as one of their major problems. But how can this be? How can it be that physicalist theories still have a problem explaining something which their (...) physicalism was intended to explain in the first place? If physicalism is meant to be an explanation of mental causation, then why should it still face the problem of mental causation? (shrink)

The so-called ‘mental files theory’ in the philosophy of mind stems from an analogy comparing object-concepts to ‘files’, and the mind to a ‘filing system’. Though this analogy appears in philosophy of mind and language from the 1970s onward, it remains unclear to many how it should be interpreted. The central commitments of the mental files theory therefore also remain unclear. Based on influential uses of the file analogy within philosophy, I elaborate three central explanatory roles for mental files. Next, (...) I outline several common criticisms of the file picture, which have been a source of resistance to the view. Finally, I outline several interpretations of the theory, thus highlighting that the best interpretation of the file-theory's central analogy remains a live issue. (shrink)

As the science and technology of the brain and mind develop, so do the ways in which brains and minds may be surveilled and manipulated. Some cognitive libertarians worry that these developments undermine cognitive liberty, or “freedom of thought.” I argue that protecting an individual’s cognitive liberty undermines others’ ability to use their own cognitive liberty. Given that the threatening devices and processes are not relevantly different from ordinary and frequent intrusions upon one’s brain and mind, strong protections of cognitive (...) liberty may proscribe neurotechnological intrusions, but also ordinary intrusions. Thus, the cognitive libertarian position “hog-ties” others’ use of their own liberties. This problem for the cognitive libertarian is the same problem that ordinary libertarianism faces in protecting individual rights to property and person. But the libertarian strategies for resolving the problem don’t work for the cognitive libertarian. I conclude that the right to mental privacy is weaker than what cognitive libertarians want it to be. (shrink)

What is the relationship between perception and mental imagery? I aim to eliminate an answer that I call perceptualism about mental imagery. Strong perceptualism, defended by Bence Nanay, predictive processing theorists, and several others, claims that imagery is a kind of perceptual state. Weak perceptualism, defended by M. G. F. Martin and Matthew Soteriou, claims that mental imagery is a representation of a perceptual state, a view sometimes called The Dependency Thesis. Strong perceptualism is to be rejected since it misclassifies (...) imagery disorders and abnormalities as perceptual disorders and abnormalities. Weak Perceptualism is to be rejected since it gets wrong the aim and accuracy conditions of a whole class of mental imagery–projected mental imagery–and relies on an impoverished concept of perceptual states, ignoring certain of their structural features. Whatever the relationship between perception and imagery, the perceptualist has it wrong. (shrink)

Most theories of promising are insufficiently broad, for they ground promissory obligation in some external or contingent feature of the promise. In this paper, I introduce a new kind of theory. The Mental States First (MSF) theory grounds promissory obligation in something internal and essential: the mental state expressed by promising, or the state that promisors purport to be in. My defense of MSF relies on three claims. First, promising to Φ expresses that you have resolved to Φ. Second, resolving (...) to Φ commits you to Φing, all else being equal. Third, the norms on speech acts are determined by the norms on the mental states they express, such that publicly expressing that you are in a state subjects you to whatever commitments are normally incurred by being in that state, regardless of whether you really are in it. I suggest that this general approach might also explain how the norms on other sorts of speech acts work. (shrink)

Conscious experiences are characterized by mental qualities, such as those involved in seeing red, feeling pain, or smelling cinnamon. The standard framework for modeling mental qualities represents them via points in geometrical spaces, where distances between points inversely correspond to degrees of phenomenal similarity. This paper argues that the standard framework is structurally inadequate and develops a new framework that is more powerful and flexible. The core problem for the standard framework is that it cannot capture precision structure: for example, (...) consider the phenomenal contrast between seeing an object as crimson in foveal vision versus merely as red in peripheral vision. The solution I favor is to model mental qualities using regions, rather than points. I explain how this seemingly simple formal innovation not only provides a natural way of modeling precision, but also yields a variety of further theoretical fruits: it enables us to formulate novel hypotheses about the space and structures of mental qualities, formally differentiate two dimensions of phenomenal similarity, generate a quantitative model of the phenomenal sorites, and define a measure of discriminatory grain. A noteworthy consequence is that the structure of the mental qualities of conscious experiences is fundamentally different from the structure of the perceptible qualities of external objects. (shrink)

Historically, mental imagery has been defined as an experiential state - as something necessarily conscious. But most behavioural or neuroimaging experiments on mental imagery - including the most famous ones - don’t actually take the conscious experience of the subject into consideration. Further, recent research highlights that there are very few behavioural or neural differences between conscious and unconscious mental imagery. I argue that treating mental imagery as not necessarily conscious (as potentially unconscious) would bring much needed explanatory unification to (...) mental imagery research. It would also help us to reassess some of the recent aphantasia findings inasmuch as at least some subjects with aphantasia would be best described as having unconscious mental imagery. (shrink)

As it emerged from philosophical analyses and cognitive research, most concepts exhibit typicality effects, and resist to the efforts of defining them in terms of necessary and sufficient conditions. This holds also in the case of many medical concepts. This is a problem for the design of computer science ontologies, since knowledge representation formalisms commonly adopted in this field do not allow for the representation of concepts in terms of typical traits. However, the need of representing concepts in terms of (...) typical traits concerns almost every domain of real world knowledge, including medical domains. In particular, in this article we take into account the domain of mental disorders, starting from the DSM-5 descriptions of some specific mental disorders. On this respect, we favor a hybrid approach to the representation of psychiatric concepts, in which ontology oriented formalisms are combined to a geometric representation of knowledge based on conceptual spaces. (shrink)

This dissertation argues that mental representation is identical to phenomenal consciousness, and everything else that appears to be both mental and a matter of representation is not genuine mental representation, but either in some way derived from mental representation, or a case of non-mental representation.

Although cognitivism has lost some ground recently in the philosophical circles, it is still the favorite view of many scholars of emotions. Even though I agree with cognitivism's insight that emotions typically involve some type of evaluative intentional state, I shall argue that in some cases, less epistemically committed, non-propositional evaluative states such as mental pictures can do a better job in identifying the emotion and providing its intentional object. Mental pictures have different logical features from propositions: they are representational, (...) and some may or may not portray actual objects aptly. Yet, unlike propositional attitudes, mental pictures do not allow for objective criteria by which one can judge that a certain picture is an apt portrait of someone or something. (shrink)

Editorial introduction to series of papers resulting from a European Commission Project on mental capacity.

We offer an interpretation of the mental files framework that eliminates the metaphor of files, information being contained in files, etc. The guiding question is whether, once we move beyond the metaphors, there is any theoretical role for files. We claim not. We replace the file-metaphor with two theses: the semantic thesis that there are irreducibly relational representational facts (viz. facts about the coordination of representations); and the metasemantic thesis that processes tied to information-relations ground those facts. In its canonical (...) statement, the ‘file’-theory makes reference to a certain kind of relational representational feature, and a certain kind of mental activity. Mental files need not come into it. In short, we posit mental filing without mental files. Our interpretation avoids awkward problems that arise on the standard interpretation and clarifies the explanatory commitments of the theory. (shrink)

The problem of mental causation is discussed by taking into account some recent developments in the philosophy of science. The problem is viewed from the perspective of the new interventionist theory of causation developed by Woodward. The import of the idea that causal claims involve contrastive classes in mental causation is also discussed. It is argued that mental causation is much less a problem than it has appeared to be.

It is argued that, because of scientific essentialism, two currently popular arguments against the mind-body identity thesis -- the multiple-realizability argument and the Nagel-Jackson knowledge argument -- are unsatisfactory as they stand and that their problems are incurable. It is then argued that a refutation of the identity thesis in its full generality can be achieved by weaving together two traditional Cartesian arguments -- the modal argument and the certainty argument. This argument establishes, not just the falsity of the identity (...) thesis, but also the metaphysical possibility of disembodiment. (shrink)

Human beings have the ability to ‘augment’ reality by superimposing mental imagery on the visually perceived scene. For example, when deciding how to arrange furniture in a new home, one might project the image of an armchair into an empty corner or the image of a painting onto a wall. The experience of noticing a constellation in the sky at night is also perceptual-imaginative amalgam: it involves both seeing the stars in the constellation and imagining the lines that connect them (...) at the same time. I here refer to such hybrid experiences – involving both a bottom-up, externally generated component and a top-down, internally generated component – as make-perceive (Briscoe 2008, 2011). My discussion in this paper has two parts. In the first part, I show that make-perceive enables human beings to solve certain problems and pursue certain projects more effectively than bottom-up perceiving or top-down visualization alone. To this end, the skillful use of projected mental imagery is surveyed in a variety of contexts, including action planning, the interpretation of static mechanical diagrams, and non-instrumental navigation. In the second part, I address the question of whether make-perceive may help to account for the “phenomenal presence” of occluded or otherwise hidden features of perceived objects. I argue that phenomenal presence is not well explained by the hypothesis that hidden features are represented using projected mental images. In defending this position, I point to important phenomenological and functional differences between the way hidden object features are represented respectively in mental imagery and amodal completion. (shrink)

The standard objection to dualist theories of mind is that they seemingly cannot account for the obvious fact that mental phenomena cause our behaviour. On the plausible assumption that all our behaviour is physically necessitated by entirely physical phenomena, there appears to be no room for dualist mental causation. Some argue that dualists can address this problem by making minimal adjustments in their ontology. I argue that no such adjustments are required. Given recent developments in philosophy of causation, it is (...) plausible that mental phenomena cause behaviour in standard dualist ontologies. (shrink)

The problem of mental causation in contemporary philosophy of mind concerns the possibility of holding two different views that are in apparent tension. The first is physicalism, the view that there is nothing more to the world than the physical. The second is that the mental has genuine causal efficacy in a way that does not reduce to pure physical particle-bumping. This article provides a historical background to this question, with focus on Davidson’s anomalous monism and Kim’s causal exclusion problem. (...) Responses to causal exclusion are categorized in terms of six different argumentative strategies. In conclusion, caution is advised regarding the inclination to reduce the mental to the physical and sketch a positive direction for substantively characterizing mental causation by recourse to well-confirmed accounts of causation coupled with empirical research. (shrink)

While Quine’s linguistic behaviorism is well-known, his Kant Lectures contain one of his most detailed discussions of behaviorism in psychology and the philosophy of mind. Quine clarifies the nature of his psychological commitments by arguing for a modest view that is against ‘excessively restrictive’ variants of behaviorism while maintaining ‘a good measure of behaviorist discipline…to keep [our mental] terms under control’. In this paper, I use Quine’s Kant Lectures to reconstruct his position. I distinguish three types of behaviorism in psychology (...) and the philosophy of mind: ontological behaviorism, logical behaviorism, and epistemological behaviorism. I then consider Quine’s perspective on each of these views and argue that he does not fully accept any of them. By combining these perspectives we arrive at Quine’s surprisingly subtle view about behaviorism in psychology. (shrink)

This paper introduces a novel conceptualisation of mental imagery; namely, that is grease for the mind’s gears (MGT). MGT is not just a metaphor. Rather, it describes an important and overlooked higher-order function of mental imagery: that it aids various mental faculties discharge their characteristic functional roles. MGT is motivated by reflection on converging evidence from clinical, experimental and social psychology and solves at least two neglected conceptual puzzles about mental imagery. The first puzzle concerns imagery’s architectural promiscuity; that is, (...) its ability to assist diverse mental faculties and perform many different functions when doing so. The second puzzle concerns how to square imagery’s architectural promiscuity with its psychopathological relevance; that is, its being a maintaining cause, and possibly even a partial constituent, of several psychological disorders, including post-traumatic stress disorder, bipolar disorder and major depressive disorder. Mental imagery helps and harms human psychology to extreme degrees and this is something that calls for elucidation. MGT says that instead of facing perplexing heterogeneities here, we instead face a significant unity. On this score, MGT is argued to be superior to the currently dominant conception of imagery in the philosophical literature; namely, as a perception-like state of mind. (shrink)

Suppose that, for every event, whether mental or physical, there is some physical event causally sufficient for it. Suppose, moreover, that physical reductionism in its various forms fails—that mental properties cannot be reduced to physical properties and mental events cannot be reduced to physical events. In this case, how could there be mental causation? More specifically, how could mental events cause other mental events, physical events, and intentional actions? The primary goal of this paper is to answer this question.

Aesthetic evaluations of human bodies have important implications for moral recognition and for individuals’ access to social and material goods. Unfortunately, there is a widespread aesthetic disregard for non-white bodies. Aesthetic evaluations depend on the aesthetic properties we regard objects as having. And it is widely agreed that aesthetic properties are directly accessed in our experience of aesthetic objects. How, then, might we explain aesthetic evaluations that systematically favour features associated with white identity? Critical race philosophers, like Alia Al-Saji, Mariana (...) Ortega, Paul C. Taylor, and George Yancy, argue that this is because the perception of racialized bodies is affected by the social structures in which they are appreciated. The aim of this paper is to propose how social structures can affect aesthetic perception. I argue that mental imagery acquired through the interaction with aesthetic phenomena structures the perception of non-aesthetic properties of bodies, so that aesthetic properties consistent with racist stereotypes are attributed to individuals. (shrink)

An ongoing philosophical discussion concerns how various types of mental states fall within broad representational genera—for example, whether perceptual states are “iconic” or “sentential,” “analog” or “digital,” and so on. Here, I examine the grounds for making much more specific claims about how mental states are structured from constituent parts. For example, the state I am in when I perceive the shape of a mountain ridge may have as constituent parts my representations of the shapes of each peak and saddle (...) of the ridge. More specific structural claims of this sort are a guide to how mental states fall within broader representational kinds. Moreover, these claims have significant implications of their own about semantic, functional, and epistemic features of our mental lives. But what are the conditions on a mental state's having one type of constituent structure rather than another? Drawing on explanatory strategies in vision science, I argue that, other things being equal, the constituent structure of a mental state determines what I call its distributional properties—namely, how mental states of that type can, cannot, or must co‐occur with other mental states in a given system. Distributional properties depend critically on and are informative about the underlying structures of mental states, they abstract in important ways from aspects of how mental states are processed, and they can yield significant insights into the variegation of psychological capacities. (shrink)

Recent research in psycholinguistics suggests that language processing frequently involves mental imagery. This paper focuses on visual imagery and discusses two issues regarding the processing of polysemous words (i.e. words with multiple related meanings or senses) – co-predication and sense-relatedness. It aims to show how mental imagery can illuminate these two issues.

We propose capability as a universal or type intermediate between function and disposition. A capability is, broadly speaking, a disposition that is of a type whose instances can be evaluated on the basis of how well they are realized. A function, on the view we are proposing, is a capability the possession of which is the rationale for the existence of its bearer. To say for example that a water pump has the function to pump water is to say that (...) the pump exists because something was needed that would pump water. A water pump may have many capabilities, including: to be weatherproof, to run without lubricant, to be transportable, and so forth. But its function is to pump water. We focus here on capabilities possessed by humans – such as piano playing or language using – and we explore the relation between capabilities of these sorts and structures in the brain. (shrink)