Para Max Weber, a sociedade não pode ser compreendida em sua totalidade. Max Weber tem como referência uma realidade infinita e complexa, analisada a partir de um determinado ponto de vista. O problema da seleção da realidade nas ciências histórico-sociais, abordado por Max Weber no início da segunda seção dos Estudos críticos sobre a lógica das ciências da cultura, é fundamental para a estrutura de sua metodologia científica. Este momento pré-científico da metodologia é que permitirá a construção de uma possível (...) constelação causal. É o investigador que, dotado de interesse, seleciona a realidade e dá sentido a ela. Demonstra, agindo desta maneira, o que merece ser para ele conhecido no fluxo infinito da realidade. Argumenta Max Weber que a “relação com os valores” permite ao cientista o recorte e ordenação do objeto, conferindo sentido a esta parte da realidade que detém significação geral para o pesquisador. Assim, o argumento principal aqui exposto estabelece a importância do interesse cognitivo para Max Weber, já que em sua metodologia o conhecimento seria sempre fruto de um recorte particular, da seleção de um conjunto específico de problemas. Essa seleção ou recorte particular seria, necessariamente, feito a partir das referências do cientista. (shrink)

Neste artigo, analiso três casos que foram propostos na literatura filosófica como contraexemplos à abordagem dos interesses relativos ao tempo do dano da morte, buscando demonstrar como eles podem ser respondidos. Para tanto, o texto divide-se em quatro seções. Na primeira, introduzo as teses fundamentais da abordagem dos interesses relativos ao tempo sobre o que determina a magnitude do dano decorrente da morte para quem morre, tal como formulado por Jeff McMahan (2002). Na seção seguinte, explico dois pressupostos (...) centrais dessa abordagem, a saber, que a identidade pessoal não é o que fundamenta nossas razões de preocupação egoísta com o futuro e que a unidade psicológica consta entre as relações que fundamentam essa preocupação. Na terceira seção, apresento os (possíveis) contraexemplos, sendo eles o Caso da morte futura (Broome, 2004), o Caso da operação no cavalo Tommy (Harman, 2011) e o Caso do mal maior (Cunha, 2023). Na seção final, defendo que esses casos podem ser respondidos a partir da consideração moral e prudencial de determinados interesses relativos ao tempo futuro. (shrink)

Começo por distinguir entre proibição em abstrato (tipicidade) e proibição em concreto (ilicitude), situando o estado de necessidade justificante ao nível das causas de exclusão da ilicitude. Relaciono a exclusão da ilicitude resultante do estado de necessidade com a noção de ‘bem’ em sentido integral ou agregado. Depois, passo ao ponto principal deste ensaio, aplicando a teoria da diferença, usada no cálculo da indemnização em sede de responsabilidade civil, para aferir se há ou não superioridade do interesse salvaguardado face ao (...) interesse sacrificado. Por fim, defendo essa aplicação de algumas objeções que podem ser levantadas. (shrink)

Cet article s’intéresse au problème de la maintenance, c’est-à-dire au moment où les membres d’un collectif social tentent d’assurer dans le temps l’existence de leur collectif en instituant des règles pour réguler leurs comportements. Ce problème se pose avec acuité lorsque certains membres ne respectent pas ces règles communes. Pour maintenir la coopération sociale, les membres peuvent décider d’instituer des règles secondaires visant à sanctionner les transgressions des règles primaires déjà établies. La maintenance d’un collectif peut ainsi reposer sur l’émergence (...) de pouvoirs déontiques qui donnent aux membres l’autorité de légitimement punir et expulser les transgresseurs. Mais d’où viennent ces règles ? On peut penser qu’elles émergent des émotions éprouvées par les membres envers les transgresseurs. Je le démontre à l’aide d’une étude de cas qui établit que, dans le collectif Occupy Geneva, l’institutionnalisation de normes pour punir, exclure et réintégrer les déviants s’ancraient respectivement dans l’indignation, le mépris et le pardon. -/- This article focuses on the problem of maintenance; that is the moment when the members of a social collective attempt to ensure the existence of their collective over time by instituting rules to regulate their behavior. This problem becomes critical when certain members do not respect the common rules. To maintain social cooperation, members can decide to institute secondary rules aimed at sanctioning the transgressions of the already established primary rules. The maintenance of a collective can thus rely on the emergence of deontic powers that give members the authority to legitimately punish and expel transgressors. But where do these rules come from? The hypothesis is that they emerge from the emotions felt by the members towards the transgressors. I show this with the help of a case study, which establishes that the institutionalization of norms allowing the punishment, the exclusion, and the reintegration of deviants within the “Occupy Geneva” collective, was grounded in indignation, contempt, and forgiveness respectively. (shrink)

Das Interesse, welches den Autobiografien aktuell entgegengebracht wird, erlebt zur Zeit eine Renaissance. Der retrospektive Blick auf die eigene Lebensgeschichte bzw. das geschichtliche Verstehen findet sich sowohl in Wilhelm Diltheys als auch in Georg Mischs Theorie der Autobiografie wieder. Der Zweck der Autobiografie, die Person, die sich hinter der Selbstbiografie befindet, zu verstehen, bringt uns zu einer Autobiografin "par excellence", zu Simone de Beauvoir. Durch Persönlichkeiten wie Beauvoir ist es für uns heute möglich, sowohl in ihr Leben als auch in (...) die Epoche, in der sie gelebt und mitgewirkt hat, Einblick zu gewinnen. Was über Simone de Beauvoir in Erfahrung gebracht werden kann, steht in ihren Büchern. So ist die Relevanz ihrer autobiografischen Schriften, sowohl als literarische Meisterwerke als auch als historische Zeugnisse, unumstritten. Beauvoirs Beweggründe ihre Erinnerungen niederzuschreiben, lassen – wie von Dilthey und Misch angedeutet –, deutlich erkennen, dass in der Selbstbiografik "die Selbstbesinnung den Vorrang [hat]". Simone de Beauvoirs Erinnerungsprozess verweist eindeutig auf die Aufgabe, die Wilhelm Dilthey und Georg Misch der Autobiografie erteilen: "So erscheint die Autobiographie sowohl im Hinblick auf ihre Quellen im Selbstbewußtsein des Menschen, als auch in Anbetracht ihrer Leistung, die im Verstehen des Lebens besteht, nicht bloß als eine eigene Literaturgattung, sondern auch als Mittel zur menschlichen Selbsterkenntnis". (shrink)

L'article s'intéresse aux obstacles épistémologiques qui empêchèrent Wittgenstein d'admettre l'idée moderne de logique modale et, en particulier, les logiques d'attitudes propositionnelles. Tout en proposant un aperçu rétrospectif de la logique des modalités épistémiques, nous verrons que ces obstacles reposent avant tout sur la nature de l'espace logique présenté dans le Tractatus Logico-Philosophicus et le statut métaphysique du sujet. Des passages éclairants seront rappelés pour justi.

Cet article s’intéresse aux émotions dans l’internalisation et l’émergence des normes sociales. Nous y montrons comment les normes sociales ont un impact sur les émotions et comment les émotions ont un impact sur les normes sociales. Pour le faire, trois approches complémentaires mais souvent traitées indépendamment les unes des autres dans la littérature scientifique sont discutées. La première a trait à la façon dont les normes sociales (les normes émotionnelles) régulent les émotions. Cette régulation se comprend comme l’internalisation de la (...) normativité sociale dans les membres d’une société : les normes émotionnelles contribuent à la fabrique des dispositions émotionnelles des membres qui s’ajustent aux normes et aux valeurs valant dans leur société. La deuxième approche a trait au rôle des émotions dans le soutien aux normes sociales. Une fois que l’internalisation des normes et des valeurs est opérée et que les membres ont développé une sensibilité affective aux normes et aux valeurs de leur collectif, les émotions peuvent opérer comme des régulateurs des comportements : les émotions font que les membres se conforment aux normes et aux valeurs. Les normes internalisées suscitent des réactions émotionnelles qui contribuent au maintien de l’ordre normatif. La troisième approche affirme que les émotions contribuent à l’émergence des normes sociales et des valeurs dans une société donnée. En ce sens, les émotions peuvent contribuer à la transformation de l’ordre normatif. Il s’agit donc de la fabrique de la société. (shrink)

Tous les chercheurs intéressés aux fondements de la théorie quantique s’entendent sur le fait que celle-ci a profondément modifié notre conception de la réalité. Là s’arrête, toutefois, le consensus. Le formalisme de la théorie, non problématique, donne lieu à plusieurs interprétations très différentes, qui ont chacune des conséquences sur la notion de réalité. Cet article analyse comment l’interprétation de Copenhague, l’effondrement du vecteur d’état de von Neumann, l’onde pilote de Bohm et de Broglie et les mondes multiples d’Everett modifient, chacun (...) à sa manière, la conception classique de la réalité, dont le caractère local, en particulier, requiert une révision. (shrink)

Cet article s’intéresse aux injustices épistémiques à l’œuvre dans le milieu médical et en particulier dans la pratique du diagnostic. Il s’inscrit dans la continuité des discussions philosophiques liées aux injustices épistémiques, et résonne en particulier avec le travail de Miranda Fricker sur l’injustice herméneutique1. Le but principal est de montrer que l’accès au diagnostic est un enjeu de justice épistémique. Les critiques de la médicalisation dénoncent depuis longtemps des torts épistémiques causés par le milieu médical – par exemple la (...) pathologisation liée au diagnostic. Tout en reconnaissant ces dangers, nous montrons, à travers une analyse de témoignages et de contenus produits par des personnes diagnostiquées de différentes conditions, que des bénéfices épistémiques peuvent aussi découler d’un diagnostic. Ainsi, nous proposons de distinguer entre bienfait thérapeutique et bienfait herméneutique du diagnostic. Ensuite, nous défendons que certains déficits de diagnostics constituent des injustices herméneutiques structurelles. Nous avançons finalement l’idée qu’une approche reconnaissant et valorisant les bienfaits épistémiques du diagnostic peut avoir un impact positif sur nos pratiques médicales, et peut également jeter un éclairage nouveau, plus charitable, sur les pratiques d’autodiagnostic. (shrink)

splorando con interesse il vasto mondo delle scienze filosofiche, l’autore del presente saggio si è proposto di indagare la cosiddetta teoria della sensazione . Tema trattato da molti pensatori, sin dall’antichità esso ha affascinato ed occupato la specula zione di tuttele branche della materia, riscuotendo particolare successo ai giorni nostri con leneuroscienze, il cui progresso sta permettendo di coniugare la riflessione filosofica con lescoperte scientifiche, aprendo nuovi scenari di approfondimento e ridefinizione concettuale.Senza la pretesa di una completa esaustività, la presente (...) trattazione mira a fornireuno sguardo critico e ragionato su come la sensazione sia stata oggetto di riflessione da partedi Aristotele, primo filosofo nel quale trovia mo riferimenti all’argomento da noi trattato, nelle cui opere sono presenti numerosi spunti di analisi ancora attuali.Trattandosi di un argomento molto ampio ed in costante aggiornamento, ci limiteremo a considerare della teoria delle sensazioni l’aspetto inerente alle passioni e lesensazioni aristoteliche. L’inquadramento filosofico verte su un’analisi il più possibile oggettiva, realista e nell’ottica di una comprensione sistemica degli oggetti presi in analisi, nel rispetto del primato della verità ragionata e scientifica rispetto alle opinioni e credenze. (shrink)

ABSTRACT: Recent work in moral theory includes an intriguing new argument that the vagueness of moral properties, together with two well-known and well-received metaethical principles, entails the incredible conclusion that it is impossible to be moral. I show that the argument equivocates between “it is true that A and B are morally indistinguishable” and “it is not false that A and B are morally indistinguishable.” As expected the argument is interesting but unsound. It is therefore not impossible to be moral.RÉSUMÉ: (...) Les travaux récents en théorie morale comprennent un nouvel argument intrigant voulant que le caractère vague des propriétés morales, joint à deux principes métaéthiques bien connus et généralement admis, entraîne une conclusion incroyable, soit qu’il est impossible d’être moral. Je montre que cet argument entretient l’équivoque entre «il est vrai que A et B sont moralement impossibles à distinguer» et «il n’est pas faux que A et B soient moralement impossibles à distinguer». Comme on s’y attendait, l’argument est intéressant mais mal fondé. Il n’est donc pas impossible d’être moral. (shrink)

Die vorliegende Schrift unternimmt eine Revision des vorherrschenden Bildes der Rolle und der Konzeptionen von Moral und Ethik im Wiener Kreis. Dieses Bild wird als zu einseitig und undifferenziert zurückgewiesen. Die Ansicht, die Mitglieder des Wiener Kreises hätten kein Interesse an Moral und Ethik gezeigt, wird widerlegt. Viele Mitglieder waren nicht nur moralisch und politisch interessiert, sondern auch engagiert. Des Weiteren vertraten nicht alle die Standardauffassung logisch-empiristischer Ethik, die neben der Anerkennung deskriptiv-empirischer Untersuchungen durch die Ablehnung jeglicher normativer und inhaltlicher (...) Ethik und der Verfechtung eines extremen Nonkognitivismus geprägt ist. Am meisten entspricht die Standardauffassung den Ansichten Rudolf Carnaps, weniger bereits jenen Karl Mengers, Otto Neuraths oder Philipp Franks. Am weitesten weichen Moritz Schlick, Victor Kraft sowie Herbert Feigl von der Standardauffassung ab. Entgegen dem herkömmlichen Bild weltabgewandter Logiker und Metaethiker wurde im Wiener Kreis sogar Angewandte Ethik betrieben, und dies bereits unter diesem Namen. Neben den ethischen Hauptthemen und Ansichten der jeweiligen Philosophen in ihrer Entwicklung im Rahmen ihres persönlichen und kulturellen Kontextes zeigt die Untersuchung, dass allen Ansätzen eine aufgeklärte und humanistische Version von Moral und Ethik gemeinsam ist. Dieser wissenschaftliche Humanismus, der sich schon in der Programmschrift Wissenschaftliche Weltauffassung. Der Wiener Kreis findet, liegt jedoch in verschiedenen Ausprägungen vor. Was die Abweichungen von der Standardauffassung wesentlich betrifft, ist ihre unterschiedliche Auffassung von Moral als gemeinsames oder individuelles Unternehmen. Carnap führt ein extremer Individualismus zu einem extremen Nonkognitivismus, in dem ihm Menger folgt. Bei Schlick ist die Lage zweideutig, was sich in unterschiedlichen Moralbegriffen widerspiegelt. Bei Kraft und Feigl tritt das Verständnis von Moral als gemeinschaftlich geteilte Praxisform klar hervor. Auf der Basis eines gemeinsamen Begriffs des moralisch Guten, der auch eine Sachkomponente enthält, ist eine Verständigung über moralische Fragen möglich. Von einem extremen Nonkognitivismus kann dort nicht mehr die Rede sein. Mit diesen Ergebnissen verbietet es sich, dem Wiener Kreis allgemein eine Ablehnung normativer Ethik und einen extremen Nonkognitivismus zuzuschreiben. Eine systematische Ethik, die Moral als Gemeinschaftspraxis begreift, steht einigen im Wiener Kreis näher, als das vorherrschende Bild suggerieren möge. Wer meint, mit engem Bezug zur Tradition des Wiener Kreises nur Carnap folgen zu können und Ethik als suspektes Unternehmen betrachten zu müssen, irrt. Ethik war in der Tradition Analytischer Philosophie nicht immer so marginalisiert, wie sie es in manchen ihrer Teilrichtungen heute noch ist und Gegner(innen) der Analytischen Philosophie vorwerfen. Die vorliegende Untersuchung liefert die nötige Revision einer verfänglichen Fehlentwicklung. (shrink)

Van Rensselaer Potter (1911-2001), le biologiste à l’origine du terme « bioéthique » dans les écrits nord-américains, considère que « real bioethics falls in the context of the ideals of […] Aldo Leopold », un forestier, philosophe et poète ayant marqué le XXe siècle. Associer Leopold à Potter a pour effet de placer la bioéthique dans la famille des éthiques de l’environnement, ce qui la différencie du sens conventionnel retenu en médecine et en recherche depuis le Rapport Belmont (1979), une (...) déclaration ayant propulsé l’institutionnalisation de la bioéthique en Amérique du Nord. Cependant, diviser la bioéthique entre le médical et l’environnemental est réducteur. Potter propose au contraire une bioéthique globale s’intéressant aux enjeux situés à leur interface, dont ceux concernant la terre, la vie sauvage, la surpopulation, la consommation, etc. Cet article vise à amorcer un nouveau chantier d’analyse de la pensée de Potter en s’appuyant sur l’héritage de Leopold en biologie. Une synthèse de cette vision potterienne est proposée de manière à considérer son œuvre comme un tout cohérent s’intégrant aux grands débats qui transcendent les XXe et XXIe siècles. Sa vision apparaît comme une sagesse collective et prospective sous la forme d’une science de la survie et d’un code de bioéthique. Dépassant l’éthique de l’environnement, son association avec Leopold offre un modèle de la complexité s’imposant comme cas indissociable du contexte qui l’englobe, en améliorant nos façons d’intervenir en pratique dans un monde en constante transformation, à titre de gouvernance adaptative et de sagesse de la responsabilité. (shrink)

La menzogna è oggetto di interesse di molte discipline, che spaziano dalla filosofia morale alla linguistica, dalla psicologia empirica alla giurisprudenza. Qualunque riflessione sulla menzogna, però, ha bisogno in primo luogo di stabilire l’oggetto della sua analisi: che cosa sia la menzogna, e in cosa differisca da altre forme di inganno e manipolazione. Questo articolo offre un’introduzione al dibattito filosofico sul concetto di menzogna, dalle prime riflessioni di Sant’Agostino fino alla filosofia contemporanea. Tratteremo della connessione fra la menzogna e altri (...) concetti d’interesse filosofico come l’asserzione, la sincerità, le intenzioni del parlante, e la distinzione fra contenuto letterale e arricchimento pragmatico, offrendo al lettore un’introduzione alle più importanti distinzioni concettuali tracciate in più di duemila anni di riflessione filosofica sull’argomento. (Lying is of interest for many disciplines, ranging from moral philosophy to linguistics, from empirical psychology to jurisprudence. However, any reflection on lying needs first to establish the object of its analysis: what lying is, and how it differs from other forms of deceit and manipulation. This article provides an introduction to the philosophical debate on the concept of lying, from the early reflections of St. Augustine to contemporary philosophy. We will discuss the connection between lying and other concepts of philosophical interest such as assertion, sincerity, speaker’s intentions, and the distinction between literal content and pragmatic enrichment, providing the reader with an introduction to the most important conceptual distinctions stemmed from more than two thousand years of philosophical reflection on the matter.). (shrink)

Die Sebastian Franck-Forschung hat sich bisher recht ausführlich mit den Themen "Sebastian Franck als Historiker" oder "Sebastian Franck als Kritiker der Theologie" beschäftigt. Weniger Aufmerksamkeit bekam bisher der Gnostizismus im Denken des radikalen Reformers. Seit der Jahrtausendwende ist allerdings ein stärkeres Interesse an einer bestimmten Strömung des Gnostizismus zu erkennen, nämlich der Hermetik. Es gab einige Arbeiten, die den Einfluss von Hermes Trismegistos bzw. der hermetischen Schriften auf Franck aufzeigen konnten. Dieser Aufsatz geht der Frage des Einflusses des christlichen Gnostizismus (...) auf die Metaphysik von Franck nach. Die Ergebnisse zeigen, dass speziell Basilides und Valentinus einen starken Einfluss auf Franck hatten, der bisher nicht gesehen wurde. Eine große Bedeutung kommt dabei der gnostischen Soteriologie zu. Genauso wie Basilides und Valentinus nimmt Franck die platonische Dreiteilung der Seele in Geist, Seele und Körper an. Der Geist ist göttlich und ist weder entstanden noch kann er vergehen. Diesen Geist oder Christus findet man im Inneren von allen Kreaturen. Durch die Erkenntnis des Geistes oder Christus im Menschen, (=Gnosis) kann sich der Mensch von der Welt befreien. Ebenfalls christlich-gnostisch inspiriert ist der Gottesbegriff und die Lehre von Christus. Franck´s Christologie ist stark von der Nous-Christologie von Basilides beeinflußt, wobei er nicht exakt dem gleichen Doketismus folgt wie Basilides. Dass die Welt vom Demiurgen und nicht von Gott erschaffen wurde, wie Valentinus glaubt, sagt Franck nicht explizit. Franck glaubt aber der Teufel (Demiurg oder böser Engel) habe den Tod und damit die Seele erschaffen, während der unsterbliche Geist des Menschen nicht erschaffen wurde. (shrink)

Das sinnvolle Leben ist nicht nur in der gegenwärtigen Philosophie wieder verstärkt ein Thema, sondern auch in Psychiatrie und Psychotherapie. Bereits seit langer Zeit jedoch spielt es eine zentrale Rolle in der Existenzanalyse und Logotherapie, die der Psychiater Viktor E. Frankl entwickelt hat. Frankls eigenständige Sinntheorie wird in der gegenwärtigen philosophischen Sinndebatte allerdings weitestgehend ignoriert. Das Ziel dieses Artikels ist es, diesen Zustand zu beenden und die heutige philosophische Sinndebatte mit Frankl ins Gespräch zu bringen. Einerseits geht es darum, Frankls (...) Sinntheorie im Lichte der philosophischen Sinndebatte zu verstehen und zu bewerten: Was für eine Art von Sinntheorie vertritt er? Wie ist sie einzuordnen? Wie steht es um ihre innere Kohärenz, die Plausibilität seiner sinntheoretischen Überzeugungen und die Qualität ihrer Begründung? Andererseits soll geprüft werden, inwiefern Frankls Ansatz die gegenwärtige philosophische Sinndiskussion voranbringen kann: Gibt es bei ihm theoretische Elemente, die in der Philosophie zu wenig Beachtung finden? Kann er der philosophischen Sinntheorie wichtige Impulse geben? Die Analyse folgt in ihrer Struktur wesentlichen Elementen der Frankl’schen Sinntheorie, von den grundlegenden formalen und metaethischen Aspekten hin zu inhaltlichen Bestimmungen des Sinns und dem individuellen Umgang mit ihm: Zunächst wird die zentrale Bedeutung des Sinns für das menschliche Leben thematisiert, dann Fragen nach der metaethischen Einordnung, nämlich nach der subjektivistischen oder objektivistischen Ausrichtung sowie der Rolle des Supernaturalismus. Dann stehen mit der Selbsttranszendenz und dem Wertebezug sowie den drei Wertkategorien wesentliche Elemente der Sinnkonstituierung im Fokus der Betrachtung. Die Ergebnisse werden im Schlusskapitel zusammengefasst. Es zeigt sich, dass der theoretische Austausch in beide Richtungen fruchtbar sein kann, Frankls Denken allerdings auch einige Hindernisse bereithält. Sein Ansatz entpuppt sich mit seinem objektivistischen Charakter und der zentralen Rolle von Selbsttranszendenz und Wertbezug als an die heutige Sinndiskussion gut anschlussfähig, seine oftmals fehlenden Begründungen hingegen als gravierender methodischer Makel, bei dem eine Orientierung an modernen philosophischen Standards wünschenswert wäre. Wiederholt entsteht der Eindruck, dass seine Sinntheorie maßgeblich durch sein praktisches, therapeutisches Interesse geprägt ist. Einigen seiner Theoreme wird das Potential zugesprochen, die philosophische Sinntheorie bereichern zu können: Das sind die Situativität und Individualität des Sinns sowie die Gegebenheit der Sinnmöglichkeiten und die Verantwortung für ihre Verwirklichung. (shrink)

Dans cette étude nous nous proposons d’étudier la présence du Christ dans l’Eucharistie dans une perspective métaphysique et ontologique. Dans les deux premières sections nous définirons et montrerons qu’il faut distinguer: le problème de l’Eucharistie et la question fondamentale de l’Eucharistie. Nous défendrons la thèse selon laquelle le problème de l’Eucharistie en est vraiment un seulement pour ceux qui acceptent l’ontologie de l’aristotélisme, plus précisément celle de la transsubstantiation. Or, nous montrerons que l’ontologie de la transsubstantiation suppose des problèmes théoriques (...) insurmontables et nous suggérerons que nous devons nous intéresser plutôt à la question fondamentale de l’Eucharistie. Afin de montrer qu’il est possible de donner une réponse à la question fondamentale de l’Eucharistie, nous esquisserons une solution à partir d’une ontologie des tropes. (shrink)

Este artigo apresenta a maneira pela qual atualmente compreendo um dos pontos mais controverso: da doutrina cartesiana, a saber, sua concepção de liberdade. Meu interesse nas concepções cartesianas de vontade e de liberdade é exclusivamente epistêmico, e não prático; ou melhor, trata-se de pensar esses conceitos, bem como sua relação a partir do ponto de vista estrito do problema do conhecimento, embora - aparentemente - o próprio Descartes não acreditasse que tal separação fosse possível. Através da análise das relações entre (...) entendimento, vontade e liberdade, procuro mostrar que a razão que leva Descartes a enfatizar a distinção entre antes e durante o momento da decisão da vontade na carta de 9 de fevereiro de 1645 ao Padre Mesland reside precisamente na consideração de que a concepção da liberdade humana deve associar às condições de aplicação do conceito formal de liberdade as condições específicas de seu exercício no caso do espírito humano, enquanto substância finita criada inserida na temporalidade. A análise das condições do exercício da liberdade humana, por sua vez, pode explicar a introdução de um tipo peculiar de necessidade epistêmica associada à percepção de conteúdos fictícios e que gera o problema do qual trata a Quinta Meditação, e cujo exame conduziu-me a investigar concepção cartesiana de liberdade. (shrink)

Apesar de ter florescido no século XII, a tradição do Graal, remonta ao século VI, com a história da “Destruição e Conquista da Bretanha”, escrita pelo clérigo Gildas, que não parece querer retratar mais do que fatos da época envolvendo líderes locais com status de Rei, lutas pelo poder, batalhas e assassinatos em família, todavia, se alguma tradição subterrânea (prática comum entre os judeus) havia, envolvendo esses personagens, sobre isso, Gildas, nada falou. -/- A memória desses homens guerreiros volta à (...) tona em meados do ano 828, em “A História dos Britânicos”, de Nennius, e mais tarde na “História dos Reis da Grã-Bretanha”, de Geoffrey of Monmouth, entre os anos de 1138 -1139. A tradição ressurge entre os anos de 1181 e 1190, com Chrétien de Troyes, que escreve “Perceval, a História do Graal”, que fica inacabada com sua morte. Poucos anos depois, entre 1191 e 1202, Robert de Boron escreve a “História do Graal ou José de Arimatéia”, onde introduz elementos cristãos, como o cálice da Última Ceia que recolheu o sangue do Cristo. No mito, José é preso, Cristo o visita e explica os mistérios do cálice. Após deixar a prisão, José viaja com seus sogros e outros seguidores para oeste, fundando uma dinastia de guardiões do Graal, de quem o rei Artur é descendente. Quase em seguida, surge “Parzival”, de Wolfram Schenbach, escrito entre os anos de 1195 – 1215, que, sem dúvida, é a obra mais robusta em simbolismos e que maior interesse desperta; o autor, por exemplo, não se refere ao Graal como “cálice sagrado”, mas o designa como “pedra”, expurgando, por assim dizer, o simbolismo cristão posto no romance por Robert de Boron e introduzindo o simbolismo judaico. -/- Agora, a questão da literatura arturiana parece estar ligada a algum tipo de tradição marginal que remonta aos primórdios do cristianismo, similarmente à queda da Judeia, já que absorve ambos os elementos. Chrétien de Troyes, que iniciou este novo ciclo da tradição, deixa a entender que escreveu sua história a pedido de Philip I, Conde de Flandres, da Casa de Alsace, isso por que o prólogo da obra (316) é dedicada a seu patrono com altos elogios, apresentando-o como o mais bravo dos homens do Império de Roma, dedicatória similar feita a uma obra anterior, encomendada por Maria de Champagne. Outro dado que chama a atenção, é a possibilidade de Chrétien ter sido um judeu convertido, hipótese fundamentada no fato de a cidade de Troyes ter sido um grande centro de comércio e ensino judaicos, mas também pela assinatura em um de seus poemas, “Philomena”, onde se refere como “Crestien li Gois” e o termo “Goy” implicaria um judeu convertido (317). -/- Logo a seguir à obra de Chrétien, Robert de Boron retoma a tradição acrescentando motivos cristãos e, tal como seu antecessor, a serviço de um nobre, Gautier de Montbéliard (318), da Casa de Montfaucon. Apesar de a obra de Robert ter se popularizado pelos elementos novos que introduziu, não é aquela que mais desperta interesse entre os estudiosos, no entanto, a adição de símbolos cristãos em uma tradição a princípio não cristã, pode referir-se a desvio de foco, mais que a qualquer outro objetivo, ideia que é reforçada quando entendemos que os autores escrevem a pedido de determinadas famílias nobres. Quase ao mesmo tempo, surge a obra capital do romance do Graal, escrita pelo alemão Wolfram Schenbach, que, não fugindo à regra, liga sua história à Casa de Anjou, na época, a família mais poderosa na Europa Ocidental e na Terra Santa, onde seus membros se revezavam como reis de Jerusalém. Um dado curioso é que Philip I, Conde de Flandres da Casa de Alsace, patrono da Chrétien de troyes era primo em primeiro grau do Rei Balduíno, de Jerusalém, da Casa de Anjou. -/- Wolfram Schenbach cita Kyot de Provence, identificado como Guiot de Provins, como sendo sua fonte (319). Historicamente, Guiot foi um autor renomado e popular em sua época, monge e porta voz dos Templários, que escreveu, desde canções de amor, a críticas à Igreja e também canções de adoração ao Templo, o que parece indicar uma origem judaica. Segundo Wolfram, kyot encontrou na cidade de Toledo (320) um antigo manuscrito escrito por Flegetanis, um judeu forçado ao batismo cristão, contendo a história “daquilo que era chamado Graal”, esse é um ponto importante quando entendemos que estamos lidando com uma tradição judaica e não cristã. Depois de ler o manuscrito, Kyot passa a investigar alguns dados nele contido, em vários centros da Europa, buscando principalmente as obras de escrita latina, encontrando finalmente, na França, nos anais da Casa de Anjou (321) ; a história de Mazadan e o registro de sua família (322). -/- O que essa informação quer nos dizer, nas entrelinhas, é que os registros familiares de Mazadan, foram reconhecidos como sendo os mesmos dos manuscritos de Flegetanis, no entanto, alguns estudiosos de “Parzival” dão como não confiável a referência ao personagem Kyot de Provence, não o identificando a Guiot de Provins (323), talvez porque Wolfram não faz qualquer referência ao poeta até o livro oito, para, abruptamente, citá-lo no livro nove, onde explica toda a história. Quero dizer que a referência feita no livro nove e não antes, como seria habitual, denota um antigo simbolismo judaico de utilizar o algarismo “nove” como expressão da verdade (324), veja, por exemplo, a fundação da Ordem do Templo por simbólicos “nove” cavaleiros, não mais, não menos. Das obras, portanto, sobre o romance do Graal, aquela que merece estudo e investigação é Parzival, se quisermos um motivo dentre tantos, a “coisa” que os outros autores chamam Graal, Wolfram não denomina “cálice”, mas “pedra”. -/- William: Lancio; pensei ter entendido quando você falou sobre o simbolismo do cálice associado ao romance do Graal. Mas agora estou confuso, quando diz que o cálice foi um motivo cristão adaptado a essa tradição e a que merece estudo e investigação é aquela em que o Graal não é simbolizado pelo cálice e sim por uma pedra. -/- Lancio: William, quando falamos ou escrevemos sobre simbolismo, o discurso ganha muitas e diferentes interpretações e todas estarão sempre em conformidade com a capacidade daqueles ou daquelas que nos ouvem ou nos leem, mas, todos aqueles que forem além da leitura ou do simples ouvir, questionarão e esses saberão mais. Quando me referi ao cálice como símbolo, associando-o à tradição do Graal, o fiz como ilustração simbólica a uma ritualística, nesse caso; o cálice é aquele que toma variadas formas, que é maleável a diversas leituras e interpretações, que é histórico e é judeu, não é fábula e por isso é também pedra. -/- William: desculpe, Lancio, eu continuo sem entender. A que cálice que também é pedra você se refere? -/- Lancio: o mesmo símbolo que sempre representou a tradição do Graal, não em Robert de Boron, mas em Wolfram Schenbach. Novamente, William, o cálice, antes de ser um símbolo cristão pela fábula de José de Arimatéia, é um símbolo judaico e quando discorri sobre esse simbolismo, era o cálice judaico ou o que se designou chamar de cálice, que Wolfram chamou de “pedra”, o símbolo em questão. -/- William: por maior esforço de memória, eu não consigo compreender a substituição de cálice por pedra dentro do mesmo simbolismo. Quando você deu o exemplo do coração como cálice, sim, é passível de entendimento, mas substituir o coração por pedra e manter o mesmo significado simbólico? -/- Lancio: a dúvida corajosa é a boa dúvida e isso em qualquer disciplina, por ser ela capaz de provocar perguntas capitais. Em poucas palavras, com o que já ouviu; você será capaz de entender o simbolismo do cálice. Primeiro devemos buscar, nas tradições judaicas, um ato ritualístico em que o cálice participe e não é difícil encontrá-lo, pois há no seio do judaísmo uma tradição em que o cálice ou vaso de ouro, como também é chamado, participa, refere-se ao sacrifício das frutas frescas, (omer), contudo, esse simbolismo em que está inscrito o cálice, nada diz à nossa investigação, é uma tradição judaica e nela se encerra, mas não podemos dizer o mesmo da sua representação nas moedas cunhadas pelos seguidores de Judas, o Galileu, quando estes tomaram Jerusalém e o Templo em 66 DC, dando início à primeira revolta contra Roma, proporcionando ao reino judeu, um breve período independência (326). Assim, torna-se ele, o cálice, símbolo daquela revolta e mais do que isso, torna-se o cálice um símbolo em si mesmo, capaz de servir à lembrança e à memória. Quando fiz referência ao simbolismo do cálice, era a esse simbolismo que me reportava e quanto à sua metamorfose em pedra, falarei agora. -/- Wolfram chama aquilo que representa o Graal, não de “cálice”, mas de “lapsit exiliis”, cuja tradução, apesar dos esforços de pesquisa e imaginação, definitivamente não está resolvida. -/- O nome “lapsit exillis” reúne assim como o nome “Lazalies”, “Mazadan” ou “Terdelaschoye”, um sentido propositadamente ambíguo, por isso há sempre dificuldade quanto a seu estudo (337), se é possível encontrar um tímido consenso sobre o significado da palavra lapsit, como sendo “pedra”, no que se refere à palavra composta, entretanto, não há consenso algum quanto ao significado, sendo muitas e corajosas, as interpretações que se tem buscado dar, inclusive com o sentido de “pedra do exílio” ou “pedra exilada”(338), que embora esteja no cesto das interpretações fantasiosas, devo dizer que não deveria, porque “pedra” é uma palavra largamente utilizada nos escritos judaicos com sentido além do literal, significando família, isso é possível devido a composição das palavras na língua hebraica, constituídas em sua maioria por duas ou mais palavras menores, assim pedra, “even”, soletrado, alef, beit, nun, é um acrônimo para av - ben, que significa “pai e filho”, representando a palavra pedra, esse conceito. -/- Esse simbolismo permeia toda a literatura judaica cristã (339). Quando, por exemplo, se diz em determinado versículo que Jacob pegou “pedras” e colocou sob sua cabeça como travesseiro e em outro versículo que Jacob ao acordar tirou a “pedra”, no singular, que tinha posto anteriormente sob sua cabeça; isso revela uma aparente discrepância, no entanto, isso significa, à luz dos intérpretes da Lei, que as “pedras”,no plural, significam os 12 filhos de Jacob, as 12 tribos de Israel que se fundiram em um só povo, uma só nação, uma só “pedra.”(340) Portanto, chamar o Graal por “lapsit exiliis” ou “pedra exilada” ou “pedra do exílio” ou ainda “pedra no exílio”, pelo simbolismo hebreu, significa o mesmo que dizer; família exilada, família do exílio ou família no exílio, termo aplicável ao povo judeu em geral e às famílias judias em particular, mas por ser o romance do Graal uma tradição relacionada a uma família específica, é a essa família que devemos buscar. (shrink)

visão tradicional da fi losofi a moderna considera a distinção entre o homem e os animais como resultante da posse da razão. Isto está de acordo com uma concepção do lugar do ser humano na natureza como um lugar de destaque e superioridade em relação às outras formas de vida. Por outro lado, a gradual substituição desta postura leva a uma aproximação entre os seres vivos e a uma destituição do lugar de domínio que se julgava ser ao homem devido. (...) Tudo isso, naturalmente, vai resultar em uma crítica ao conceito tradicional de razão, como a faculdade exclusivamente humana de encontrar a verdade. Ao que parece, a fi losofi a não está em condições de, sozinha, julgar até que ponto a origem comum com os outros seres vivos é relevante para a teoria do conhecimento. Entretanto, é do maior interesse descobrir até que ponto se pode estender esta analogia entre o ser humano e os animais. Diante das similaridades reveladas pelas ciências, procurar este elemento de distinção no meio ambiente cultural parece bem mais viável do que procurar entre as capacidades cognitivas do sujeito. (shrink)

A noção de objecto abstracto desempenha um papel central em diferentes debates filosóficos contemporâneos, da metafísica à estética, passando pela filosofia da linguagem. A sua origem está contudo relacionada com a filosofia da matemática e em particular, com o trabalho de Frege nos fundamentos da aritmética. O nosso primeiro objectivo será assim o de explicar o contributo desta noção para o entendimento Fregeano da realidade matemática. Veremos também que, em virtude de certas dificuldades inerentes ao projeto Fregeano, a dada altura (...) a natureza do universo matemático passou a ser entendida nos termos da chamada teoria dos conjuntos. Com este material à nossa disposição, podemos então discutir o papel desempenhado pela noção de objecto abstracto em certos debates filosóficos contemporâneos. Em particular, procuraremos ilustrar o interesse actual da noção, discutindo a distinção abstracto/concreto. (shrink)

Nietzsche apresenta, no decorrer de sua obra, um persistente interesse pelo problema da linguagem, abordando sua origem terrena e sua dimensão demasiado humana, sua ligação ao âmbito instintivo de uma espécie animal e seu caráter artificial e plástico. O objetivo deste artigo é sugerir que tal tema relaciona-se à tentativa nietzschiana de superação da metafísica, em duas frentes. Negativamente, no reconhecimento dos limites da linguagem e da influência de certas seduções gramaticais em nossas concepções do que seria a estrutura fundamental (...) do mundo. Positivamente, na elaboração de uma sintomatologia e de sua arte do estilo, elementos importantes de sua crítica da cultura e postura filosófica. Pretendemos, assim, indicar que a tematização e uso nietzschiano da linguagem possui papel central na elaboração de sua tarefa filosófica de intervenção cultural. (shrink)

Mon objectif dans cette étude est de montrer l'influence que la philosophie positive d'Auguste Comte a exercée sur la pensée du jeune Brentano durant la période de Würzburg (1866-1874). J'examine d'abord quelques-uns des facteurs qui ont amené Brentano à s'intéresser à la philosophie de Comte et je résume, dans un deuxième temps, les grandes lignes de l'article de Brentano sur Comte dont la version française est reproduite dans ce numéro. Dans la troisième partie de cette étude, je commente brièvement quelques (...) passages de la Psychologie d'un point de vue empirique où Brentano discute de thèmes comtiens. Je conclue cette étude par quelques remarques sur les traces laissées par le positivisme de Comte dans l'œuvre de Brentano. (shrink)

Gegen die verbreitete Vorstellung, dass Negativität im Interesse von mehr Selbstverwirklichung, Produktivität und Positivität überwunden oder be-grenzt werden muss, eröffnet dieser Band eine andere Perspektive. Er geht den verschiedenen Formen des Negativen in Kunst, Recht und Politik nach, um zu zeigen, dass es nicht allein eine Negativität gibt, die dem Gelingen im Weg steht oder zu dessen sicher beherrschtem Mittel wird. Die Beiträge des Bandes erweisen Negativität vielmehr als eine Kraft der Befreiung, die ein Gelingen anderer Art ermöglicht.

Herman Dooyeweerd (1894-1977) foi um filósofo neerlandês que, em diálogo com a filosofia alemã e o pensamento neocalvinista, desenvolveu uma reflexão original sobre as leis e a ordem do cosmos. A filosofia de Dooyeweerd é conhecida como “Filosofia da Ideia de Lei” ou “Filosofia da Ideia Cosmonômica”. A partir de sua teoria modal – que identifica quinze aspectos ônticos em que coisas concretas, eventos, relações e esferas sociais funcionam ou existem – Dooyeweerd desenvolveu uma filosofia político-social crítica às teorias sociais (...) individualistas e universalistas. O problema da presente pesquisa é: que objeto teórico caracteriza a filosofia político-social de Herman Dooyeweerd? A hipótese de investigação é que a preocupação político-social dooyeweerdiana diz respeito ao “problema da ordem”, i.e., a identificação teórica da ordem político-social nos limites das normas transcendentais divinas. O objetivo é analisar a concepção de Herman Dooyeweerd sobre a ordem político-social. Argumenta-se que a filosofia política de Dooyeweerd nem é nem se preocupa em ser comunitarista. O interesse de Herman Dooyeweerd é apreender teoricamente, a partir da análise da estrutura dos modos de experiência, quais são os princípios, as estruturas, as funções e a natureza das coisas, dos eventos e das relações e esferas sociais. Dooyeweerd busca compreender a estrutura típica de cada relação social, a fim de compreender os princípios de uma ordenação política plural e harmoniosa. Conclui-se que a preocupação da filosofia político-social de Herman Dooyeweerd é a compreensão da ordem dentro dos parâmetros cosmonômicos da criação divina. (shrink)

La théorie démocratique contemporaine entretient une relation ambivalente avec les élections. Alors que les points de vue agrégatifs et minimalistes les considèrent comme une institution centrale de la démocratie représentative , les conceptions plus riches de la démocratie n’ont pas nécessairement de penchant pour elles. Les théories délibératives ont tendance à négliger les élections pour se concentrer sur la délibération publique, c’est-à-dire sur le processus continu de formation de l’opinion et d’échange de raisons qui se produit entre les élections . (...) Les théories participatives ont également tendance à les écarter en faveur d’une vision moins agonistique et plus coopérative de l’action politique . Par conséquent, peu d’attention normative a été accordée dans la littérature récente à ce moment très distinctif de la vie démocratique, à quelques notables exceptions près . Une conséquence naturelle est que la plupart des théoriciens font appel à des expériences délibératives telles que les jurys de citoyens et les mini-publics comme réponse efficace aux préoccupations démocratiques actuelles . Le tirage au sort peut ainsi être présenté comme une alternative préférable à l’élection, car il garantit une représentation descriptive, évite la capture de l’État par des élites puissantes et promet des résultats substantiellement meilleurs. Alors que de nombreux théoriciens s’intéressent aux moyens de compléter les institutions électorales par des organes délibératifs non électoraux , certains chercheurs se débarrasseraient volontiers des élections . Le moment est-il venu de les abandonner ? Cet article se concentre sur une affirmation spécifique que beaucoup de partisans du tirage au sort ont avancée, à savoir que celui-ci serait plus égalitaire que les élections, et vise à la rejeter. D’autres chercheurs ont déjà critiqué le tirage au sort pour diverses raisons. Landa et Pevnick , ainsi qu’Umbers objectent qu’il ne permet pas d’obtenir les améliorations instrumentales du gouvernement promises par ses promoteurs ; Ceva et Ottonelli , ainsi que Lafont nient que les critiques lotocratiques des élections reflètent une compréhension adéquate de l’autorité démocratique en tant que forme d’autonomie collective ; et Umbers soutient également que la lotocratie est en contradiction avec les principes de justice distributive et d’égalité sociale . En complément à ces critiques récentes, nous soutenons que la vision de l’égalité politique qui sous-tend le tirage au sort est problématique et peu convaincante. (shrink)

Im März 2020 änderte sich das Leben für viele (nicht nur in Deutschland) radikal. Das Virus SARS-CoV-2, besser bekannt als „COVID-19-“ oder „Corona-Virus“, breitete sich als Verursacher einer zwischenzeitlich global virulenten Pandemie in unvermuteter Geschwindigkeit aus. Es verwundert nicht, dass viele in dieser unsicheren Zeit auf der Suche nach Orientierung nach scheinbar bekannten Mustern fahnden. Ein solches Muster glaubten offenbar einige, in Camus’ Roman "Die Pest" finden zu können, ein Roman, der – dem Titel nach – auch von einer Seuche (...) zu erzählen scheint. Befasst man sich mit dem Werk von Albert Camus, dem Philosophen und Literaturnobelpreisträger, kommt man schwerlich umhin, eines der Grundprobleme der Philosophie als einer akademischen Disziplin zu thematisieren, an der zweifelsohne ein öffentliches Interesse besteht, die sich aber in der Rolle des Um-Rat-Gefragten notorisch unwohl zu fühlen scheint. In diesem Beitrag werden die Thesen Albert Camus’ zur Relevanz der Kunst, zu deren Spannungsverhältnis zur akademischen Philosophie und zur Rolle beider in unserer krisengeschüttelten Gesellschaft untersucht. (shrink)

Une des contributions phares de Luc Bégin à l’éthique publique est d’avoir bien documenté les obstacles auxquels les gardiens institutionnels québécois doivent porter une attention particulière. Bégin s’est notamment intéressé aux conditions dans lesquelles les ordres professionnels, comme l’Ordre des ingénieurs du Québec, sont moins susceptibles de protéger le public contre des pratiques répréhensibles (corruption, collusion, etc.). Je poursuis les réflexions de Bégin à partir d’un point de vue « épistémique ». Je montre d’abord comment les ordres professionnels ont tendance (...) à produire des connaissances sur l’état de la profession à partir des informations partagées par leurs propres membres. J’analyse comment cette pratique peut générer un biais du survivant, et obscurcir des problèmes centraux à une profession. Finalement, je propose des pistes de solution à ce problème pour les ordres professionnels. (shrink)

Il est notoire que dans l’histoire de l’esprit à la constitution de laquelle Fontenelle participe activement, Descartes occupe une place toute particulière, notamment en ce qui a trait à la fabrication du concept de modernité et de la philosophie qui y est associée. Pourtant, et c’est ce que nous nous proposons d’explorer ici, il faut encore prendre la mesure de ce qui, dans la philosophie cartésienne, correspond au sens propre à cette modernité et le départager de ce qui ne sert (...) qu’à tracer le portrait d’une figure exemplaire constitutive de l’écriture de l’histoire à l’âge classique. Ce que nous proposons, donc, c’est de distinguer trois registres discursifs faisant jouer au nom « Descartes » des fonctions différentes et attachées à des enjeux philosophiques hétérogènes, lesquels permettent de saisir les tensions à l’œuvre dans le traitement réservé à Descartes par Fontenelle. Le premier de ces registres concerne la figure historique de Descartes en tant que fondateur d’une manière de penser qui définirait la modernité elle-même ; le second porte sur la nature de cette fondation, qui est constamment rapportée par Fontenelle à la question de la méthode, alors même qu’il en détourne l’esprit ; le troisième, enfin, intéresse le contenu de la philosophie cartésienne et les raisons de l’attachement de Fontenelle à la théorie des tourbillons en dépit du progrès du newtonianisme chez ses contemporains. (shrink)

Esta coletânea é um tributo a Peter Frederick Strawson pelo centenário de seu nascimento (1919-2019). Diferentemente de outras coletâneas, esta propõe colocar em relevo a interlocução de Strawson com a tradição filosófica. Em outras palavras, por um lado, queremos evidenciar as discussões que Strawson travou com os seus contemporâneos (Austin, Quine, Russell e Wittgenstein), e, por outro, a influência que recebeu e as críticas que dirigiu àqueles que o precederam na história da filosofia (Aristóteles, Descartes, Hume, Kant). Poderíamos ter enriquecido (...) a lista acima com o nome de muitos outros filósofos com os quais Strawson teve contato, mas julgamos que o trabalho ficaria bastante extenso. Por esse motivo, optamos por aqueles nomes mais significativos que figuram na construção da história intelectual de Strawson. O presente volume reúne nove capítulos que levam como título o nome de Strawson e do filósofo com o qual ele dialogou ao longo de suas obras. Essa opção na nomeação dos capítulos por si só já permite colocar em evidência os principais filósofos pelos quais Strawson se interessou e com os quais se confrontou ao longo de seu trabalho filosófico. Com exceção do capítulo sobre Wittgenstein, que é uma versão revisada de um texto publicado anteriormente, todos os outros capítulos são inéditos e foram escritos especialmente para esta coletânea. O volume inclui na abertura a tradução de “Um fragmento de autobiografia intelectual”, de P. F. Strawson. Quando elegemos como título desta obra, Strawson e a tradição filosófica, não estamos insinuando que Strawson é um historiador da filosofia e muito menos que se interesse por historiografia. O título desta obra apenas quer indicar que Strawson, por um lado, transita na história da filosofia com alguma facilidade, além de nutrir um grande apreço por ela e, por outro, que ele discute com os principais nomes da história da filosofia no que concerne aos temas de seu interesse. A sua proposta filosófica é alimentada e irrigada por esse conhecimento, o que lhe dá a possibilidade de assumir na maioria das vezes posições ponderadas e equilibradas acerca de temas complexos por ele tratados. ​ ISBN: 978-85-5696-689-6. Nº de pág.: 244. (shrink)

Im Blick des Eros wird die Energie der Libido für die ganze Wahrnehmungstätigkeit verfügbar gemacht. Die Wende des Interesses von der unmittelbaren Befriedigung zur Schau des Bildes bedeutet eine Änderung des Relevanzfeldes, denn der Eros versucht, in der Schau des Bildes selbst eine höhere Art von Befriedigung zu finden. Die menschliche revolutio findet statt, indem der Eros die Befriedigung im „blossen ‚Genusse‘ der Welt als Bild“ sucht, d. h. indem er begehrt, die Bilder eines Objekts wahrzunehmen. Der Eros ersetzt (...) die unmittelbare Befriedigung des instinktiven Verfahrens durch die distanzierte Schau des Bildes, so dass die organische Befriedigung zu einer visuellen Befriedigung wird, d. h. zu einer Befriedigung im Schönen. Während der Instinkt nur das eigene Bedürfnis sieht, sieht der Eros den Gegenstand der Sehnsucht. Während der erstere nach der unmittelbaren Befriedigung sucht, möchte der letztere das sehen, was ihn befriedigt. Auf diese Weise bestimmt der Eros einen zeitlichen Abstand zwischen Reiz und Reaktion. Er verschiebt das Moment der Befriedigung nach vorne und zeugt somit eine Zeitspanne, in die sich die erleuchtende und leitende Logik der Agape hineindrängen kann. (shrink)

O presente trabalho pretende analisar as relações entre loucura e obra no jovem Foucault, isto é, no Foucault dos anos 1950 que realiza seu curso sobre antropologia (La Question Anthropologique) em Lille e na ENS entre 1952 (ou 1951) e 1955. Para estabelecer o problema, o texto começa com uma contextualização inicial sobre os inéditos de Foucault disponibilizados desde 2013 na BNF. Então o texto constrói o problema a partir de comentadores (especiamente Jean-Baptiste Vuillerod) e encontra na figura de Karl (...) Jaspers um interlocutor importante, em torno do qual Foucault gira para estabelecer suas próprias posições. Jaspers, psiquiatra e filósofo, contém teses sobre a loucura, a obra e a civilização diretamente ligadas aos interesses do jovem Foucault. Tanto a leitura de Jaspers sobre Nietzsche, quanto a das relações entre loucura e obra, serão importantes para o jovem Foucault, pois é por meio de Jaspers - dentre outros - que uma psicologia da loucura e da obra (seja qual for seu paradigma) desemboca na análise de figuras como Maurice Blanchot, na leitura singular que Foucault faz de Nietzsche e nos problemas que o levarão a uma história da loucura. *** *** -/- This article aims to analyze the relation between madness and work (oeuvre) in the “young Foucault”, focusing on the Foucault’s lessons of Anthropology taken in Lille and at the ENS between 1952 (or 1951) and 1955, under the title La Question Anthropologique. In order to place this problem, the text begins with an initial contextualization of Foucault’s unpublished works, only made available since 2013 at Bibliothèque Nationale de France. Then the article passes to the question of the madness and work according to some commentators (especially Jean-Baptiste Vuillerod) and finds in the figure of Karl Jaspers an important author, whose reference serves for Foucault to compose his own positions. Jaspers, psychiatrist, and philosopher, contains theses on madness, work and civilization directly linked to the interests of the young Foucault. Both Jaspers’ reading of Nietzsche and considerations about madness and work will be important for the young Foucault, as it is through Jaspers (among others) that the psychological and existential positions on madness and work leads Foucault to the analysis of figures like Maurice Blanchot, to his own reading of Nietzsche and the problem of a history of madness. (shrink)

Les études dites de réception se trouvent aujourd’hui dans une situation paradoxale. Au premier regard le tableau paraît souriant. Anciens ou modernes, les textes sont aujourd’hui communément abordés sous l’angle de leurs lectures immédiates (réception médiatique notamment) et, surtout, de leurs aménagements posthumes (avatars éditoriaux, propositions herméneutiques, usages sociaux). La multiplication de pareils travaux manifeste un engouement qui ne semble pas près de se démentir. Spectaculaire si l’on considère le nombre de thèses et de colloques qui entretiennent cette vague, pareil (...) essor ne suffit pourtant pas à lever tous les doutes. Loin de faire l’unanimité, les études dites de réception suscitent toujours une certaine méfiance. Ne seraient-elles pas le Cheval de Troie d’un relativisme conduisant à niveler toutes les formes de critiques et d’interprétations? Outre la crainte d’une dangereuse indifférenciation, un soupçon plus radical remet en cause leur bien-fondé : s’intéresser à l’histoire des gestes critiques et des modes de lecture, n’est-ce pas un indice d’épuisement pour des champs disciplinaires n’ayant d’autre objet que leur propre histoire? Ce dossier fait le pari inverse. Il doit son impulsion à la conviction qu’un regard patient et informé sur les actes de lecture de nos prédécesseurs éclaire, en retour, nos propres pratiques. Accuser réception : ce titre voudrait suggérer, par-delà les procès en illégitimité, la nécessité de prendre en compte la vie longue des textes pour mieux comprendre ce que nous faisons quand, après tant d’autres et parfois dans leur ombre, nous lisons les textes du passé. Rassemblant les contributions de spécialistes venus d’horizons divers comme l’histoire de la philosophie occidentale, celles de la poésie chinoise, des littératures médiévales et modernes ou encore de l’herméneutique biblique, ce dossier, qui mêle études monographiques et réflexions transversales, analyse la constitution de certains paradigmes critiques, mais également celle de territoires disciplinaires fondés sur des traditions interprétatives parfois oubliées. Il espère montrer que la question des réceptions n’est pas réductible à la somme figée des commentaires formulés sur un texte, un auteur ou une période. Posée de manière dynamique, elle donne à voir la production des héritages qui nous ont été transmis et permet ainsi d’arpenter autrement les paysages qui sont devenus les nôtres. Textes réunis par Stéphane Zékian et Thierry Roger et mis en ligne avec le soutien de l'Université de Lausanne. (shrink)

Il est rare, en philosophie, qu'on rencontre un problème ayant reçu une solution définitive. Dans le cadre de la philosophie contemporaine du langage, cependant, la critique de Russell à Meinong fait souvent figure d'exception à la règle - ce que l'on ne peut, eu égard à certains aspects de la philosophie de Meinong, que déplorer. Selon l'interprétation courante, la théorie des descriptions définies de Russell - que Ramsey qualifia de “paradigme de philosophie” - aurait mis hors jeu une fois pour (...) toutes la doctrine ontologique de Meinong, caractérisée par des thèses d’apparence paradoxale telles que : “il y a des choses telles qu’il n’y a pas de telles choses”, “l’objet est au-delà de l’être et du non-être”, “l’être-ainsi [le fait d’avoir des propriétés] précède l’existence (Dasein)”. Récemment pourtant, on a tenté, de toutes parts, de faire revivre la doctrine meinongienne. Je pense ici aux diverses propositions, toutes d’inspiration meinongienne, avancées par Castañeda 1989, Parsons 1980, Rapaport 1978, Routley 1980 et Zalta 1983. Mais bien que toutes ces propositions aient développé certaines intuitions meinongiennes de manière certainement plus raffinée d’un point de vue formel que Meinong lui-même, elles ont été perçues comme de purs modèles théoriques sans aucun doute intéressants, mais incapables en tant que tels de déplacer les termes de la question, comme Russell l’avait fait à l’égard de Meinong. Ainsi naît l’exigence de repenser le thème complet et d’évaluer dans quelle mesure la critique de Russell pose vraiment de sérieuses difficultés aux thèses meinongiennes. Nous verrons ainsi ce qu’il faut, dans ces dernières, considérer comme mort, et ce qui, au contraire, jouit toujours d'une validité objective. Si ce qui suit est plausible, nous découvrirons que ces thèses résistent pour la plupart aux critiques de Russell, à condition qu’on les considère de façon adéquate. (shrink)

Il est courant de diviser le champ d’investigation de l’éthique entre trois sous- domaines : la méta-éthique, l’éthique normative et l’éthique appliquée. L’éthique appliquée est le domaine le plus concret : on y traite par exemple des questions de savoir s’il faut autoriser l’avortement, l’euthanasie, la peine de mort... L’éthique normative traite de ces questions à un niveau plus abstrait : elle se demande ce qui fait qu’une action ou un type d’action est moralement bonne ou mauvaise. La relation entre (...) l’éthique normative et l’éthique appliquée est un peu comme la relation entre la science pure, comme la physique, et l’ingénierie (Timmons : 17). Le domaine le plus abstrait de l’éthique est la méta-ethique : elle ne s’occupe par de la question de savoir ce qui fait qu’une action est bonne ou mauvaise (éthique normative) et encore moins de la question de savoir si le suicide est moralement bon ou mauvais. Elle s’intéresse à trois types de questions. Les premières sont métaphysiques : qu’est-ce qu’une valeur, qu’une norme (sont-ce des propriétés naturelles comme la masse, des propriétés non naturelles ? Des choses qui n’existent pas ?) ? Existe-t-il des valeurs objectives ? Les secondes sont épistémologiques : comment connaissons-nous les valeurs et les normes ? Par la raison ? L’intuition ? Les émotions ? Dans la mesure où la méta-éthique semble être le domaine le plus abstrait de l’éthique, la prudence pédagogique voudrait qu’on l’étudie en dernier : commencer par un cas concret, puis remonter petit à petit vers des questions plus abstraites. Pour des raisons qui vous apparaîtront j’espère au fur et à mesure, j’ai choisi de commencer néanmoins par des questions qui relève de la méta-éthique. Nous aborderons l’éthique normative et l’éthique appliquée dans la deuxième partie du cours. (shrink)

La questione dell’autorità, tema classico delle filosofie dell’educazione, del diritto e della politica, non pare aver trovato altrettanta attenzione da parte della filosofia morale. Tale difetto di interesse potrebbe avere a che fare con un certo sospetto che la nozione tradizionalmente suscita, sospetto riconducibile a una presunta alternativa tra l’autorità e la libertà: quanto più è forte e solida la prima, tanto meno lo sarebbe la seconda. Si tratta di un’alternativa legata a un appiattimento dei due termini sulla loro configurazione (...) formale e politica, per cui la libertà si presenta come un dato, e dunque un diritto, originario e immediato. Dal punto di vista sostanziale, sostiene Stefano Biancu in La genealogia dell'umano, la libertà ha una sua genealogia: si sviluppa e matura nel tempo, grazie anche a mediazioni esteriori, simbolicamente istituite, le quali assumono per il soggetto e per la collettività la figura dell’autorità. Autorità è ciò che genera libertà e umanità: questa è la conclusione a cui giunge un secolo di studi sul tema, ma è anche l’intuizione fondamentale di una peculiare filosofia italiana dell’autorità che, iniziata da Vico nel XVIII secolo, conosce significative riprese nel XX secolo e apre prospettive future in vista di un’antropologia e di un’etica dell’autorità. (shrink)

Os Ensaios Políticos de Hume tiveram uma enorme audiência e considerável influência sobre seus contemporâneos. Mas as reflexões de Hume sobre a política nem sempre tiveram a atenção que merecem, situação que ultimamente vem se revertendo graças a uma série de estudos que iluminam a sua importância. É por isso mais que oportuna a publicação desta edição dos Ensaios, enriquecida com o estudo de João Paulo Monteiro, que, de forma pioneira em língua portuguesa, soube situar o interesse de Hume pela (...) política no quadro mais amplo de suas preocupações filosóficas, bem como mostrar a relevância de sua ciência política, entendida como uma ciência do possível, fundada na experiência histórica, dedicada ao estudo das leis constitucionais e de seus efeitos sobre a sociedade, de forma comprometida com as questões e impasses políticos de seu tempo. Maria Isabel Limongi. (shrink)

Os corpos no cinema estão sob a ordem de um olhar soberano que nos diz para onde devemos olhar e como devemos fazer isso. É um olhar poderoso que tudo sabe e tudo pode. Um olhar que nos posiciona não como simples espectadores, mas como sujeitos. É a partir daí que buscamos compreender como se arquitetam o medo, ou seja, qual é a ordem do cinema de horror, tecido com a pena do medo? Nessa arquitetura, os corpos aparecem como lugares (...) para vigiar e punir em espaços utópicos e heterotópicos. Espaços de memórias. Espaços de poder vigiar e punir. Espaço onde se impõe uma posição de sujeito, um poder sobre o sujeito. Portanto, os corpos no cinema de horror são artefatos para uma arqueologia do medo, escrita pelo poder do horror sobre estes corpos. Daí nosso interesse por esses lugares. Para demonstrar essa arqueologia, utilizaremos dois filmes franceses, produzidos em 2007, Frontière(s) e À l’interieur como espaços de horror construídos para o medo pelas vias da utopia e heterotopias pensadas por Michel Foucault, filósofo do presente, do nosso presente para compreender como se arquitetam tal medo por meio de sua história arqueológica, prática de um espaço chamado Labedisco/UESB. (shrink)

Consistindo em um processo ético-jurídico de deliberação coletiva, o que se impõe à manifestação da Vontade Geral como um fenômeno histórico-cultural é a condição de imanência que a caracteriza em um movimento dinâmico-dialético que demanda uma formação econômico-social que possibilite a emergência de valores e práticas, condutas e comportamentos, necessidades e objetivos que, tendo como fundamento o interesse comum, se lhe correspondam, convergindo para uma forma de autodeterminação que guarda possibilidade de promover a superação da alienação das capacidades humanas no (...) contexto das relações socioprodutivas, a saber, a autogestão. Tal experiência social de autodeterminação coletiva, conforme assinala o artigo, envolve tanto a esfera política quanto o âmbito econômico e encerra a noção que implica desde a igualdade substancial até a efetiva participação política, sobrepondo-se ao viés mercadológico da organização econômico-social vigente e à estrutura burocrática corporificada pelo Estado no sistema capitalista. (shrink)

O presente artigo insere-se no contexto do Programa de Mestrado Profissional (PROF-FILO UFABC) e articula parte da discussão feita na dissertação. Seu objetivo é correlacionar o avanço das Tecnologias Digitais de Informação e Comunicação e o enfraquecimento das Democracias Liberais do Ocidente, tendo como pano de fundo a governamentalidade algorítmica. Em um primeiro momento, a partir do conceito de governamentalidade do filósofo francês Michel Foucault faremos um diálogo com os pensadores alemães Ulrich Beck e Jürgen Habermas, discutindo de que forma (...) foram criados atalhos decisórios fora dos processos políticos no âmbito do conhecimento tecnocientífico alinhado aos interesses do Capital. Em um segundo momento, enquanto consequência desses atalhos, será abordado o risco que a hegemonia oligopolista das Big Techs traz para a vida social através de uma nova governamentalidade, agora algorítmica, em diálogo com as pensadoras Shoshana Zuboff e Antoinette Rouvroy. Essa nova governamentalidade, cujo foco deixa de ser a produção de corpos dóceis e úteis e passa a ter como alvo a construção de subjetividades via psicopolítica – conceito do filósofo sul-coreano Byung-Chul Han – tem como subprodutos não apenas as Fakenews, ou a possibilidade de disseminação ideológica extremista que tem ameaçado a democracia, mas uma franca queda no caráter deliberativo na formação da opinião pública, afetando também a qualidade da democracia. Por fim, refletimos sobre possíveis alternativas e antídotos para a situação atual em que nos encontramos, recorrendo ao conceito de cosmotécnica do filósofo chinês Yuk Hui. (shrink)

Seit 2018 regt sich im anglo-amerikanischen Raum vermehrt das Interesse, Sport als quasi-rechtliches Regelsystem zu untersuchen. Man geht davon aus, dass die Probleme und Lösungen in Sportsystemen den Vergleich mit Rechtssystemen erlauben. Tagungen, Aufsätze und Bücher zum Thema „Jurisprudence of Sport“ deuten darauf hin, dass hier ein neuer Forschungsbereich entsteht. Dieser Beitrag bietet eine Einführung in die Thematik.

Il breve saggio si propone di esaminare la centralità della figura materna nell’opera di un ingegnoso costruttore di storie della letteratura italiana del Novecento: Alberto Moravia. La scelta dell’Autore nasce dalla rilevanza della tematica nella sua opera, in cui peraltro è quasi sempre assente il punto di vista femminile delle “voci” delle donne. Ciò sembra paradossale e questa circostanza è di grande interesse critico. In particolare, a dispetto delle interpretazioni più canoniche, secondo cui Moravia – negli scritti realizzati tra il (...) 1929 e il 1964 – ha inteso compiere una “distruzione” dell’immagine materna nel quadro di una visione pessimista della famiglia borghese, dovremo considerare un più complesso e articolato universo materno nello scrittore romano, in cui è possibile ricostruire cinque modelli – la “madre autoritaria”, la “madre-non madre”, la “madre padrona”, la “madre-angelo custode” e la “madre-seduttrice” –, ben esemplificati nei principali romanzi ma che si ritrovano nei racconti che Moravia scrive ininterrottamente dagli anni Trenta agli anni Sessanta, la cui mole ha determinato, ancor oggi, una mancanza di studi sistematici. In secondo luogo, la tematica della madre sarà esaminata nelle trasposizioni cinematografiche italiane delle opere letterarie di Moravia. Va ricordato che il rapporto dello scrittore con il cinema fu particolarmente intenso. Per un verso, la “settima arte” rivestì un ruolo non secondario nella formazione ed esperienza estetica dell’Autore romano, che al cinema si interessò anche professionalmente nelle vesti di critico cinematografico, a partire dal primo dopoguerra, dapprima, per La nuova Europa e Libera stampa, poi, per L’Europeo e L’Espresso, a cui dobbiamo aggiungere l’attività di saggista per numerose riviste specializzate. Per altro verso, il cinema italiano non solo ha attinto a “mani basse” dall’opera di Moravia per sceneggiature di pellicole, che furono pietre miliari della sua storia. L’elenco dei romanzi e racconti adattati al grande schermo rende conto della grande influenza nella cultura italiana degli anni Cinquanta e Sessanta: La provinciale (1953) di Mario Soldati, La romana (1954) di Luigi Zampa, Peccato che sia una canaglia (1954) di Alessandro Blasetti, Racconti romani (1955) di Gianni Franciolini, La ciociara (1960) di Vittorio de Sica, La giornata balorda (1960) di Mauro Bolognini, Risate di gioia (1960) di Mario Monicelli, Agostino (o la perdita dell’innocenza) (1962) di Mauro Bolognini, La noia (1963) di Damiano Damiani, Gli indifferenti (1964) di Francesco Maselli, Le ore nude (1964) di Marco Vicario, La donna invisibile (1969) di Paolo Spinola, Una ragazza piuttosto complicata (1969) di Damiano Damiani, L’amore coniugale (1970) di Dacia Maraini, Il conformista (1970) di Bernardo Bertolucci, e molti altri ancora. Come avremo modo soltanto di accennare, il successo della letteratura moraviana nel mondo del cinema italiano si deve a molteplici fattori, tra cui la raffigurazione dei personaggi e degli ambienti, la focalizzazione su certe tematiche e, non da ultimo, lo stile narrativo, particolarmente adatto alle trasposizioni cinematografiche. Come caso di studio, ci soffermeremo, infine, sulla figura materna della versione filmica de La noia di Damiani, con l’obiettivo di verificare se nel passaggio dal libro alla pellicola, quella particolare connotazione della madre autoritaria abbia subito delle alterazioni. L’ipotesi che muove l’analisi è che la stesura delle sceneggiature, la raffigurazione dei personaggi e la messa in scena delle sequenze filmiche facciano emergere un riadattamento adeguato al largo pubblico, con il sovvertimento dell’andamento cronologico, alcune “lacune” di ordine psicologico nella raffigurazione dei protagonisti e un certo cedimento moralistico alla cultura ancora dominante negli anni ’50 e ’60, in cui la figura materna, sia quando è incattivita dalla povertà che quando è inaridita dalla ricchezza, anela comunque agli affetti familiari, trovando in essi una qualche forma di redenzione. (shrink)

Literatur ist ein sehr vielschichtiges und lebendiges Phänomen, das beständig im Wandel ist. So wie sie im Laufe der Jahrhunderte und in den verschiedenen Kulturkreisen unter-schiedliche Formen angenommen und anderen Funktionen gedient hat, liegt es in ihrer Natur, immer wieder neue Ausdrucksformen zu entwickeln, die den sich ändernden Be-dürfnissen und Rahmenbedingungen gerecht werden können. Auch die theoretische Aus-einandersetzung mit der Literatur ist Veränderungen unterworfen, die manchmal wellen-förmige Bewegungen anzunehmen scheinen. Neue Fragestellungen geraten in den Mittel-punkt des Interesses, einzelne Aspekte (...) werden besonders beachtet, während andere in Vergessenheit geraten – um eventuell zu einem späteren Zeitpunkt in neuer Form wieder-aufzutauchen. In der Philosophie der Literatur gilt es seit Längerem als weithin anerkannt, dass der Text die entscheidende Größe sei, und dass die Tatsache, dass an der Produktion und Rezeption von literarischen Kunstwerken Menschen beteiligt sind, die mit diesen Werken Ziele verfolgen und Wünsche und Interessen verwirklichen wollen, ignoriert werden kön-ne. Im vorliegenden Beitrag will ich auf die gegenwärtige Diskussion in der Philosophie der Literatur eingehen und für einen Perspektivenwechsel argumentieren: Um dem Phä-nomen Literatur gerecht zu werden, sollten wir versuchen, es ganzheitlich in das Blickfeld zu bekommen. Literatur ist mehr als bloß Text. Sie ist eine soziale Praxis, die einen festen Stellenwert in unserer Gesellschaft hat und stellt ein Medium dar, in dem wir uns mit an-deren austauschen und auf sie abstimmen können. Mein Hauptaugenmerk liegt auf der Debatte um den kognitiven Gehalt der Literatur, weil hier die negativen Auswirkungen der Verkürzung der vorherrschenden Perspektive besonders augenscheinlich sind. (shrink)

Vous pensez peut-être que la peine de mort est injuste ? Ou que l’avortement est moralement acceptable ? Se pourrait-il alors que vous vous trompiez ? C’est en tout cas l’avis des théoriciens de l’erreur. D’après ces philosophes, tous les jugements moraux sont faux parce qu’ils présupposent à tort l’existence de faits moraux à la fois objectifs et non naturels. Organisé autour de ce défi nihiliste, le présent ouvrage aborde les principales théories métaéthiques comme autant de tentatives, plus ou moins (...) fructueuses, de sauver la morale. Les théories qu’on y rencontre combinent invariablement une thèse psychologique (sur la nature des jugements moraux) et une thèse ontologique (sur l’existence d’une réalité morale conforme auxdits présupposés). Dans le style argumentatif sobre et précis qui caractérise la philosophie analytique, ce manuel de métaéthique – le premier en langue française – entreprend d’évaluer minutieusement un ensemble de théories sur la morale. Bien que destiné en premier lieu aux enseignants de philosophie et à leurs étudiants, il se veut accessible à tous ceux qu’intéresse l’éthique. (shrink)

Der Kerngedanke der politischen Theorie des Wilhelm von Humboldt ist äußerst schlicht und übersichtlich: In seinen "Ideen zu einem Versuch, die Gränzen der Wirksamkeit des Staats zu bestimmen" heißt es, dass die Funktion des Staats auf die Erhaltung der inneren und auswärtigen Sicherheit beschränkt werden soll. Diese Staatsauffassung findet ihre Begründung in einer Anthropologie, die dem Menschen das Recht und zugleich die Aufgabe zuweist, durch das spontane Zusammenwirken mit den anderen seine Potenzialitäten zur Entfaltung zu bringen. Schlicht und übersichtlich wie (...) diese Staats- und Menschenlehre auch scheinen mag, ist es an ihr außerordentlich interessant, einerseits welche Leitgedanken ihr zugrunde liegen, und andererseits welche theoretischen Neuigkeiten sie erzielt. Hier möchte ich insbesondere vier Aspekte hervorheben: 1- Individualismus: Der Angelpunkt der gesamten Philosophie Humboldts ist das Individuum, aus dem allerdings nie ein selbstgenügsames Subjekt wird; 2- Liberalismus: Humboldt formuliert als erster den Katalog der Motive des Liberalismus des 19. Jahrhunderts; 3- Gesetzmäßigkeitsprinzip: im Sinne seiner Ausformulierung des Rechts- und Freiheitsbegriffs erarbeitet Humboldt ein Gesetzmäßigkeitsprinzip anthropologischen Charakters; 4- Legitimationsprinzip: in Anlehnung an die Prämissen, aus denen sich das neue Gesetzmäßigkeitsprinzip ergibt, setzt Humboldt ein neues Legitimationsprinzip, das unserem Begriffspaar „materielle Verfassung-formelle Verfassung“ sehr ähnelt. (shrink)

Le présent ouvrage fait suite aux deux précédents volumes de l’auteur : (2015) Droit des affaires en Afrique subsaharienne et économie planétaire, et (2016) : Démocratie électorale en Afrique subsaharienne Entre droit, pouvoir et argent, publiés par les Éditions Globethics. Bien que Pascal Mukonde convoque le thème du contrat du point de vue strictement juridique et dans le contexte du droit africain en RD. Congo, sur une ligne de recherche systématique (p.75), nous souhaitons mentionner comme préliminaire, la place de l’éthique (...) vis-à-vis des concepts juridiques, dans ce livre centré sur la notion de contrat. Le contrat est en effet un concept central dans l’histoire de la philosophie, partagé entre les normes du droit et un type de collaboration politique. Il est intéressant de comparer la valeur éthique du concept de partenariat, dans l’expression « contrat de partenariat », que nous mettons par hypothèse en rapport avec une finalité de développement, car parmi les risques d’un contrat de partenariat, en particulier entre le public et le privé, il n’est pas seulement question de risques économiques : il y a aussi celui éthique de réputation, par exemple lorsqu’il y a corruption des agents (cf. ci-dessous p. 130), c’est-à-dire des obstacles au développement liés au caractère non transparent des pratiques. (shrink)

Das Unbewusste ist wieder in aller Munde: Populärwissenschaftliche Bücher, die den unbewussten Geist thematisieren, werden internationale Bestseller 1 und es gibt sicherlich keine populärwissenschaftliche Psychologie-Zeitschrift, die nicht schon mehrfach über das Thema berichtet hat2 . Dieses neue Interesse am unbewussten Geist ist vor allem neuen Erkenntnissen aus der kognitiven Psychologie und der Sozialpsychologie zu verdanken.

O último livro escrito por Nietzsche, Ecce homo: como alguém se torna o que se é, é uma de suas obras mais controversas, tendo sido tomada como sinal de prepotência, como autoexposição egocêntrica e como prenúncio do colapso que interrompeu sua trajetória intelectual em janeiro de 1889. As controvérsias foram alimentadas, em parte, pela peculiar narrativa encontrada no livro – ele conta a si sua vida e obra em tom elogioso e hiperbólico –, em parte, pelo fato de que a (...) tardia publicação de Ecce homo, ocorrida apenas em 1908, favoreceu o contraste com o apócrifo A vontade de poder – reunião de anotações publicada em 1901 como ‘obra principal’ de Nietzsche. Nosso propósito neste artigo é refletir sobre as possíveis contribuições do teor ‘autobiográfico’ e ‘autocrítico’ de Ecce homo para o caminho de pensamento do filósofo alemão. Nossa hipótese é que a narrativa experimentada no livro possui uma íntima relação com temas precedentes da obra nietzschiana e com a tarefa da transvaloração de todos os valores. Por meio de uma autoencenação, da colocação de um certo ‘Nietzsche’ em cena, o filósofo avança em sua crítica à metafísica – e à sua versão popular, a moral cristã – enquanto realça a mundanidade de sua perspectiva, seu caráter contingente e seu condicionamento pelas “pequenas coisas”, decisão que nos parece carregar uma relevante dimensão filosófica: Nietzsche assume a parcialidade e explicita o interesse envolvido em sua tomada de posição no seio da cultura. (shrink)

A summarizing English version on “Theory of Innovation and the Evolution of General Human Capabilities, such as Cognition-based Empathy” is included in the download. Den biologisch modernen Menschentyp charakterisieren sehr allgemeine Fähigkeiten, wie begriffliche Sprache, strategisches Denken und kognitionsgestützte Empathie. Neurobiologisch kann Empathiefähigkeit als eine Verbindung von Repräsentationen von Mitmenschen mit dem je eigenen Gefühlszentren im Gehirn angesehen werden. In Grundzügen ist sie vor vielleicht 100 000 Jahren als Folge von Mutationen der Erbsubstanz DNA entstanden. Für solche genetische Innovationen spielten (...) wohl nicht nur lokale Veränderungen des Genoms eine Rolle, sondern auch seltene größere Umordnungen, besonders neue Zufallskombinationen von Regelbereichen in der DNA. Dies könnte in seltenen Einzelfällen eine Art Weichenstellung für eine neue Richtung der Evolution bewirken, die dann in vielen kleinen Schritten ausgeprägt wurde. Interessant ist die Analogie solcher biologischer mit technischer Innovation: Auch in ihr, Beispiel Dampfschiff, spielt die (seltene) Neukombination von Grundfähigkeiten eine Initialrolle für die Ausbreitung einer Innovation. (shrink)